Italie
Elon Musk conteste la décision des juges italiens d’invalider la rétention des migrants en Albanie. Aurait-il tort ?
Ces centres accueillent les migrants aux portes de l’Europe en attendant que leurs demandes d’asile soient étudiées.
Cette stratégie a porté ses fruits : le nombre d’arrivées clandestines a chuté de 65 %.
Aujourd’hui, l’Italie se réveille, tout étonnée, dans la situation de la France d’il y a trente ans.
C’est bien contre le gouvernement Meloni que cette campagne de mer est lancée.
La magistrature, aussi politisée en France qu’en Italie, peut défaire la politique migratoire d’un gouvernement.
Y a-t-il des bisbilles sérieuses entre les deux leaders, comme le répètent à l’envi nombre de médias italiens ?
Le bilan migratoire de ces dix premiers mois de gouvernement Meloni est contrasté, si l’on s’en tient aux chiffres.
On peut espérer qu’enfin, en Europe, le vent se lève et vire à droite.
Au sommet même de l’État, les responsables l’utilisent et ils s’emploient vigoureusement à lutter contre ce fléau.
Au-delà de l’aspect juridique, cette décision interroge sur le droit à l’oubli dans nos États démocratiques.
Combattre le fléau migratoire, l’Italienne Giorgia Meloni, présidente du Conseil, le veut, manifestement. D’où l’arsenal juridique qu’elle présente au peuple qui l’a élue.
Mais tout fantasme est-il bon et surtout faisable ? Les trois partis italiens en sont une évidente démonstration.
Dans un récent entretien à La Stampa, le Premier ministre polonais, Mateusz Morawiecki, a affirmé : « Meloni et moi changerons l’Europe : le pouvoir aux seuls pays forts, ça suffit. »
Le gouvernement italien, malgré la pression internationale et surtout bruxelloise, entend mettre sur pied une politique de régulation stricte de l’immigration clandestine…
Fort opportunément, les médias français, par de misérables contre-feux, tentent de lier l’actuel gouvernement italien à un quelconque objectif de favoriser l’évasion fiscale.
Un mois après son élection, c’est un bâton de dynamite qui explose à la figure de Soumahoro et, par extension, à celle de toute la gauche immigrationniste italienne.
Le gouvernement italien, dans la foulée de son refus d’accueillir l’Ocean Viking et à la suite des remontrances que lui a adressées la France, planche sur un plan de lutte contre l’immigration illégale qui redouble depuis la fin de la crise du Covid.
Si ce gouvernement accepte de se laisser dicter sa politique migratoire, sujet éminemment régalien, par les ONG et ne peut s’opposer à cet afflux continu de clandestins alors qu’il a toutes les cartes en main pour cela, qui pourra le faire ?
Giorgia Meloni, l’ex-jeune militante du MSI du quartier populaire de la Garbatella à Rome, est entrée magistralement dans la cour des grands.
Aussitôt la gauche italienne, qui, fait rarissime, a refusé d’applaudir lors de son élection comme il est de coutume en Italie, s’est déchaînée.
Un par un, les peuples d’Europe secouent le joug du mondialisme. Il faut tenter de tirer les leçons de ce séisme.
À dix jours des législatives italiennes, une échéance majeure aussi pour l’Europe, Vincenzo Sofo, mari de Marion Maréchal, député européen et membre de Fratelli d’Italia, le parti de Giorgia Meloni, nous livre en exclusivité son analyse sur les enjeux du scrutin et sa vision de la politique française.
La France et l’Italie ne se contentent pas de se coucher devant les institutions de Bruxelles, il faut aussi qu’elles organisent leur propre impuissance.
L’histoire donne raison à Giorgia Meloni et elle est en pole position car, étant dans l’opposition, elle n’a pas l’usure du pouvoir pour elle…
À se demander si la crise politique italienne, qui a des racines profondes et multiples, n’a pas été alimentée par cette crise énergétique qui a joué ici le rôle de détonateur.
Le film suit la trajectoire de Nicola, un jeune Napolitain des quartiers pauvres dont la mère commerçante subit régulièrement le racket des bandes organisées…
Les populistes n’ont pas encore l’habitude du pouvoir. Ils pensent, en général, que l’on a gagné quand on arrive au pouvoir, alors que c’est seulement à ce moment-là que les choses sérieuses commencent.
Elon Musk conteste la décision des juges italiens d’invalider la rétention des migrants en Albanie. Aurait-il tort ?
Ces centres accueillent les migrants aux portes de l’Europe en attendant que leurs demandes d’asile soient étudiées.
Cette stratégie a porté ses fruits : le nombre d’arrivées clandestines a chuté de 65 %.
Aujourd’hui, l’Italie se réveille, tout étonnée, dans la situation de la France d’il y a trente ans.
C’est bien contre le gouvernement Meloni que cette campagne de mer est lancée.
La magistrature, aussi politisée en France qu’en Italie, peut défaire la politique migratoire d’un gouvernement.
Y a-t-il des bisbilles sérieuses entre les deux leaders, comme le répètent à l’envi nombre de médias italiens ?
Le bilan migratoire de ces dix premiers mois de gouvernement Meloni est contrasté, si l’on s’en tient aux chiffres.
On peut espérer qu’enfin, en Europe, le vent se lève et vire à droite.
Au sommet même de l’État, les responsables l’utilisent et ils s’emploient vigoureusement à lutter contre ce fléau.
Au-delà de l’aspect juridique, cette décision interroge sur le droit à l’oubli dans nos États démocratiques.
Combattre le fléau migratoire, l’Italienne Giorgia Meloni, présidente du Conseil, le veut, manifestement. D’où l’arsenal juridique qu’elle présente au peuple qui l’a élue.
Mais tout fantasme est-il bon et surtout faisable ? Les trois partis italiens en sont une évidente démonstration.
Dans un récent entretien à La Stampa, le Premier ministre polonais, Mateusz Morawiecki, a affirmé : « Meloni et moi changerons l’Europe : le pouvoir aux seuls pays forts, ça suffit. »
Le gouvernement italien, malgré la pression internationale et surtout bruxelloise, entend mettre sur pied une politique de régulation stricte de l’immigration clandestine…
Fort opportunément, les médias français, par de misérables contre-feux, tentent de lier l’actuel gouvernement italien à un quelconque objectif de favoriser l’évasion fiscale.
Un mois après son élection, c’est un bâton de dynamite qui explose à la figure de Soumahoro et, par extension, à celle de toute la gauche immigrationniste italienne.
Le gouvernement italien, dans la foulée de son refus d’accueillir l’Ocean Viking et à la suite des remontrances que lui a adressées la France, planche sur un plan de lutte contre l’immigration illégale qui redouble depuis la fin de la crise du Covid.
Si ce gouvernement accepte de se laisser dicter sa politique migratoire, sujet éminemment régalien, par les ONG et ne peut s’opposer à cet afflux continu de clandestins alors qu’il a toutes les cartes en main pour cela, qui pourra le faire ?
Giorgia Meloni, l’ex-jeune militante du MSI du quartier populaire de la Garbatella à Rome, est entrée magistralement dans la cour des grands.
Aussitôt la gauche italienne, qui, fait rarissime, a refusé d’applaudir lors de son élection comme il est de coutume en Italie, s’est déchaînée.
Un par un, les peuples d’Europe secouent le joug du mondialisme. Il faut tenter de tirer les leçons de ce séisme.
À dix jours des législatives italiennes, une échéance majeure aussi pour l’Europe, Vincenzo Sofo, mari de Marion Maréchal, député européen et membre de Fratelli d’Italia, le parti de Giorgia Meloni, nous livre en exclusivité son analyse sur les enjeux du scrutin et sa vision de la politique française.
La France et l’Italie ne se contentent pas de se coucher devant les institutions de Bruxelles, il faut aussi qu’elles organisent leur propre impuissance.
L’histoire donne raison à Giorgia Meloni et elle est en pole position car, étant dans l’opposition, elle n’a pas l’usure du pouvoir pour elle…
À se demander si la crise politique italienne, qui a des racines profondes et multiples, n’a pas été alimentée par cette crise énergétique qui a joué ici le rôle de détonateur.
Le film suit la trajectoire de Nicola, un jeune Napolitain des quartiers pauvres dont la mère commerçante subit régulièrement le racket des bandes organisées…
Les populistes n’ont pas encore l’habitude du pouvoir. Ils pensent, en général, que l’on a gagné quand on arrive au pouvoir, alors que c’est seulement à ce moment-là que les choses sérieuses commencent.
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