Italie

Quelle aurait été la déclaration de cet ex-ministre italien si le preneur d’otage n’avait pas été empêché de commettre son crime grâce à l’intervention in extremis de la police ?

À ceux qui trouveraient cruel, qu’on songe à renvoyer Ousseynou Sy vers sa terre d’origine, on signalera que le pays de Léopold Sédar Senghor est l’un des plus prospères du continent africain.
Puis, il reprend son incantation mystique…

Les électeurs de la région autonome de Sardaigne ont été appelés, ce dimanche 24 février 2019, à élire leur président ainsi que les membres de leur assemblée.

Les bambini italiens ont un « papà » et une « mamma », nos écoliers français eux, attendront sagement à la grille de l’école que parent 1 ou parent 2 vienne les chercher…

Un tel résultat indique clairement que la politique conduite par Matteo Salvini est plébiscitée par une large frange des électeurs.

Faut-il y voir une persistance de l’ancestral tropisme atlantiste de l’Italie ?

L’intelligentsia de gauche en a fait une figure christique.

Du point de vue de Salvini, qui voudrait voir se former un grand bloc de droite après les prochaines élections au Parlement européen, ces discussions s’inscrivent dans la suite logique de ses discussions avec le Premier ministre hongrois Viktor Orbán…

Emmanuel Macron, champion malgré lui de l’Europe techno-libérale depuis l’annonce de la mise à la retraite prochaine d’Angela Merkel, se retrouve ainsi dans la position du repoussoir idéal pour tous les « lépreux » du Vieux Continent.

Et si on parlait un peu du budget italien…

Un défi ouvert à Bruxelles…

Les crèches sont de retour ! Dans les écoles et dans les lieux publics ! « Fake news ». C’est à Trente que cela se passe…

Désormais, la crise historique majeure des gilets jaunes, en France, pourrait bien inciter Bruxelles à plus de « compréhension ». Et à faire semblant de croire aux assurances de Rome.

Matteo Salvini commence malgré tout à se poser les bonnes questions car son propre électorat, composé de gens sérieux de droite et d’entrepreneurs dans le nord de l’Italie, est fortement préoccupé par la hausse des taux.

L’Italie commémore, depuis 1919, cette journée du 4 novembre appelée « Journée de l’Unité nationale et des forces armées ».

Plus la panique gagne les mondialistes destructeurs des peuples, plus ils basculent dans l’abracadabrant, moins les peuples y adhèrent.

Il y a, comme ça, des jours où l’on se sentirait volontiers italien.

Parce que l’Italie d’aujourd’hui semble nous dire « Basta! »

Ou bien le gouvernement italien fait ce qu’il a dit et la zone euro explose, puis l’Union européenne ; ou bien il ne le fait pas, et c’est l’Italie qui explose, dans la rue.

Entre les gouvernements populistes et les gouvernements mondialistes de l’Union européenne, les hostilités sont ouvertes.

Depuis le blocage du Diciotti, aucune embarcation n’a quitté les côtes libyennes.

Le parquet a décidé d’ouvrir une enquête, non pas à l’encontre des migrants qui tentent d’entrer illégalement sur le territoire national, mais bien en visant le ministre Salvini…

Prétendre donner des leçons aux peuples, outre la sotte vanité et la maladresse insigne, est, au minimum, une lamentable erreur diplomatique.

La coalition italienne exige que l’Union européenne efface 250 milliards d’euros de la dette publique de l’Italie, sinon Rome sortira de la zone euro.

Il est vrai que la gouvernance compassionnelle s’accompagne aussi de la dilution des responsabilités.

L’Italie n’est pas le maillon faible de l’usine à gaz bruxelloise : elle en devient le peuple fort, prêt à s’en émanciper.

À qui appartient le sol ? L’histoire n’a toujours donné qu’une seule réponse : aux vivants.

Quelle aurait été la déclaration de cet ex-ministre italien si le preneur d’otage n’avait pas été empêché de commettre son crime grâce à l’intervention in extremis de la police ?

À ceux qui trouveraient cruel, qu’on songe à renvoyer Ousseynou Sy vers sa terre d’origine, on signalera que le pays de Léopold Sédar Senghor est l’un des plus prospères du continent africain.
Puis, il reprend son incantation mystique…

Les électeurs de la région autonome de Sardaigne ont été appelés, ce dimanche 24 février 2019, à élire leur président ainsi que les membres de leur assemblée.

Les bambini italiens ont un « papà » et une « mamma », nos écoliers français eux, attendront sagement à la grille de l’école que parent 1 ou parent 2 vienne les chercher…

Un tel résultat indique clairement que la politique conduite par Matteo Salvini est plébiscitée par une large frange des électeurs.

Faut-il y voir une persistance de l’ancestral tropisme atlantiste de l’Italie ?

L’intelligentsia de gauche en a fait une figure christique.

Du point de vue de Salvini, qui voudrait voir se former un grand bloc de droite après les prochaines élections au Parlement européen, ces discussions s’inscrivent dans la suite logique de ses discussions avec le Premier ministre hongrois Viktor Orbán…

Emmanuel Macron, champion malgré lui de l’Europe techno-libérale depuis l’annonce de la mise à la retraite prochaine d’Angela Merkel, se retrouve ainsi dans la position du repoussoir idéal pour tous les « lépreux » du Vieux Continent.

Et si on parlait un peu du budget italien…

Un défi ouvert à Bruxelles…

Les crèches sont de retour ! Dans les écoles et dans les lieux publics ! « Fake news ». C’est à Trente que cela se passe…

Désormais, la crise historique majeure des gilets jaunes, en France, pourrait bien inciter Bruxelles à plus de « compréhension ». Et à faire semblant de croire aux assurances de Rome.

Matteo Salvini commence malgré tout à se poser les bonnes questions car son propre électorat, composé de gens sérieux de droite et d’entrepreneurs dans le nord de l’Italie, est fortement préoccupé par la hausse des taux.

L’Italie commémore, depuis 1919, cette journée du 4 novembre appelée « Journée de l’Unité nationale et des forces armées ».

Plus la panique gagne les mondialistes destructeurs des peuples, plus ils basculent dans l’abracadabrant, moins les peuples y adhèrent.

Il y a, comme ça, des jours où l’on se sentirait volontiers italien.

Parce que l’Italie d’aujourd’hui semble nous dire « Basta! »

Ou bien le gouvernement italien fait ce qu’il a dit et la zone euro explose, puis l’Union européenne ; ou bien il ne le fait pas, et c’est l’Italie qui explose, dans la rue.

Entre les gouvernements populistes et les gouvernements mondialistes de l’Union européenne, les hostilités sont ouvertes.

Depuis le blocage du Diciotti, aucune embarcation n’a quitté les côtes libyennes.

Le parquet a décidé d’ouvrir une enquête, non pas à l’encontre des migrants qui tentent d’entrer illégalement sur le territoire national, mais bien en visant le ministre Salvini…

Prétendre donner des leçons aux peuples, outre la sotte vanité et la maladresse insigne, est, au minimum, une lamentable erreur diplomatique.

La coalition italienne exige que l’Union européenne efface 250 milliards d’euros de la dette publique de l’Italie, sinon Rome sortira de la zone euro.

Il est vrai que la gouvernance compassionnelle s’accompagne aussi de la dilution des responsabilités.

L’Italie n’est pas le maillon faible de l’usine à gaz bruxelloise : elle en devient le peuple fort, prêt à s’en émanciper.

À qui appartient le sol ? L’histoire n’a toujours donné qu’une seule réponse : aux vivants.
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