Jack Lang
Immortel, sans être académicien : un exploit !
« Si je meurs un jour… » : lui-même n’en est pas sûr.
Reconnaissons à Jack Lang une certaine constance dans ses engagements, une grande opinion de ses divers mandats, assez cohérente avec la haute opinion qu’il a de lui-même…
Jack Lang vient d’apporter un soutien de poids au projet le plus mirifique de la décennie : faire de Saint-Denis la capitale européenne de la culture en 2028.
Il est merveilleux, ce Jack Lang ! Il n’assume rien !
Alors, Sonia Mabrouk lui rafraîchit la mémoire : n’a-t-il pas signé lui aussi, en 1977, la fameuse tribune réclamant la dépénalisation de la pédophilie ?
Dans la série des grands comiques involontaires de ce temps, plus cocasse encore que Sibeth, Jack Lang tient incontestablement une place de choix.
Ainsi passe la gloire d’un vieil éléphant socialiste.
Lang, il faut le dire, c’est comme le sparadrap du capitaine Haddock : impossible de s’en défaire.
Secrets de polichinelle sur lesquels ces belles consciences de gauche fermaient les yeux quand Jack Lang les entraînait dans son sillage coûteux et festif…
Le parquet de Paris vient d’ouvrir une enquête préliminaire à l’encontre de Jack Lang pour « abus de biens sociaux ».
Les surenchères sont ouvertes. Le maire de Paris peut faire office de flèche. Elle n’a pas le vertige. Jack Lang a les qualités requises pour remplacer le coq en attendant que l’original soit réparé.
Même en matière de costumes, il semble y avoir deux poids et deux mesures. Rappelez-vous la campagne présidentielle…
Évidemment, le papillonnant Jack Lang, créateur de la fête de la Musique en 1982, est tout à fait enchanté de la façon dont le Président a traité l’affaire.
Voulait-il exprimer sa vision de quartiers entiers habités par une population venue d’outre-Méditerranée ?
Immortel, sans être académicien : un exploit !
« Si je meurs un jour… » : lui-même n’en est pas sûr.
Reconnaissons à Jack Lang une certaine constance dans ses engagements, une grande opinion de ses divers mandats, assez cohérente avec la haute opinion qu’il a de lui-même…
Jack Lang vient d’apporter un soutien de poids au projet le plus mirifique de la décennie : faire de Saint-Denis la capitale européenne de la culture en 2028.
Il est merveilleux, ce Jack Lang ! Il n’assume rien !
Alors, Sonia Mabrouk lui rafraîchit la mémoire : n’a-t-il pas signé lui aussi, en 1977, la fameuse tribune réclamant la dépénalisation de la pédophilie ?
Dans la série des grands comiques involontaires de ce temps, plus cocasse encore que Sibeth, Jack Lang tient incontestablement une place de choix.
Ainsi passe la gloire d’un vieil éléphant socialiste.
Lang, il faut le dire, c’est comme le sparadrap du capitaine Haddock : impossible de s’en défaire.
Secrets de polichinelle sur lesquels ces belles consciences de gauche fermaient les yeux quand Jack Lang les entraînait dans son sillage coûteux et festif…
Le parquet de Paris vient d’ouvrir une enquête préliminaire à l’encontre de Jack Lang pour « abus de biens sociaux ».
Les surenchères sont ouvertes. Le maire de Paris peut faire office de flèche. Elle n’a pas le vertige. Jack Lang a les qualités requises pour remplacer le coq en attendant que l’original soit réparé.
Même en matière de costumes, il semble y avoir deux poids et deux mesures. Rappelez-vous la campagne présidentielle…
Évidemment, le papillonnant Jack Lang, créateur de la fête de la Musique en 1982, est tout à fait enchanté de la façon dont le Président a traité l’affaire.
Voulait-il exprimer sa vision de quartiers entiers habités par une population venue d’outre-Méditerranée ?