Jaïr Bolsonaro
Comme souvent en la matière, le premier à monter au front est Liliam Thuram, l’un de nos champions tricolores, millésime 1998…
À un an de l’élection présidentielle, les opposants au président Jair Bolsonaro (élu en 2018 avec un peu plus de 55 % des voix) ont manifesté aux cris de « Fora Bolsonaro » (« Dehors Bolsonaro ») dans la plupart des grandes villes du pays…
Un Brésil fragmenté mais pourtant tout en nuances, dans la main d’un Jair Bolsanoro très controversé dont nous pourrions encore longtemps entendre parler.
… preuve de la chance que nous avons, nous, Français, d’avoir à notre tête un homme tel qu’Emmanuel Macron !
Depuis maintenant un an et demi, critiquer le modèle brésilien semble être devenu la norme.
Pour l’ambassadrice des pôles, aujourd’hui, Satan s’appelle Donald Trump et son épigone a pour nom Jair Bolsonaro.
La polémique autour de l’offense faite à Brigitte ira-t-elle jusqu’à la convocation d’une réunion extraordinaire du Conseil de sécurité des Nations unies ?
C’était pourtant gentil, cette initiative des grands moralisateurs faite aux petits inconséquents : une enveloppe de vingt millions de dollars pour aider à éteindre les feux qui ravagent l’Amazonie.
L’essentiel est de s’agiter et de bien montrer à quel point on s’agite bien au jeu de « Étonnez la galerie ».
Quand Monsieur Bolsonaro évoque la désinformation, dans sa défense, il a donc bien raison car les faits parlent pour lui.
Vous vous rendez compte, le « poumon vert de la planète » est en feu et elle est coincée au milieu de l’Atlantique sur un p… de voilier…
Emmanuel Macron souhaite-t-il instaurer un droit d’ingérence environnemental, à l’imitation du droit d’ingérence humanitaire inventé par Kouchner en son temps ?
Bref, le G7 de structure et de budget n’est qu’un site de rencontre, une agence périodique de voyages et de spectacles dont il ne sortira rien.
Comme l’avait montré Henry Kissinger, la politique internationale impose le réalisme et doit viser l’équilibre. L’un et l’autre passent par les nations.
La France paye aujourd’hui une sorte de mépris hautain, au passage doublé de crasse incurie en matière de politique étrangère.
Devant l’opposition unanime le nouveau pouvoir brésilien a dû reculer.
Les élections européennes en France ont témoigné de la décadence profonde de notre pays.
S’il y a des gilets jaunes au Brésil, ils y trouveront difficilement leur compte !
Jair Bolsonaro se veut disciple de Donald Trump, sauf en matière de protectionnisme, semble-t-il…
L’homme rode son spectacle. À propos de l’élection de Jair Bolsonaro, au Brésil, il croque ce dernier « démocrate illibéral ».
Avec l’élection de Bolsonaro au Brésil, la questions se posera tôt ou tard car ce nouveau président, encore plus atypique que Donald Trump, a eu des mots durs et vrais contre la Chine.
Être « populiste » consiste avant tout à défendre son peuple. Ce n’est manifestement pas le cas de Jair Bolsonaro, malgré des promesses de campagne dignes de celles d’un Emmanuel Macron.
Un tremblement de terre politique parfaitement prévisible en raison de la situation catastrophique du Brésil où l’ont conduit la démagogie et la corruption de la gauche au pouvoir.
Ce dimanche 28 octobre, Jair Bolsonaro a largement remporté l’élection présidentielle au Brésil. Réaction de Marine Le Pen au micro de Boulevard Voltaire. Quelle est
Un cycle s’achève. Pendant longtemps, le vent de l’Histoire a soufflé à gauche. Aujourd’hui, il souffle dans le sens contraire.
L’intérêt supérieur national aura donc transcendé les différences ethniques et sexuelles.
Ronaldinho publie un post Instagram de soutien à Bolsonaro, portant un maillot floqué de son numéro 17, engendrant plus de deux millions de « likes » et plus de 100 000 commentaires.
Comme souvent en la matière, le premier à monter au front est Liliam Thuram, l’un de nos champions tricolores, millésime 1998…
À un an de l’élection présidentielle, les opposants au président Jair Bolsonaro (élu en 2018 avec un peu plus de 55 % des voix) ont manifesté aux cris de « Fora Bolsonaro » (« Dehors Bolsonaro ») dans la plupart des grandes villes du pays…
Un Brésil fragmenté mais pourtant tout en nuances, dans la main d’un Jair Bolsanoro très controversé dont nous pourrions encore longtemps entendre parler.
… preuve de la chance que nous avons, nous, Français, d’avoir à notre tête un homme tel qu’Emmanuel Macron !
Depuis maintenant un an et demi, critiquer le modèle brésilien semble être devenu la norme.
Pour l’ambassadrice des pôles, aujourd’hui, Satan s’appelle Donald Trump et son épigone a pour nom Jair Bolsonaro.
La polémique autour de l’offense faite à Brigitte ira-t-elle jusqu’à la convocation d’une réunion extraordinaire du Conseil de sécurité des Nations unies ?
C’était pourtant gentil, cette initiative des grands moralisateurs faite aux petits inconséquents : une enveloppe de vingt millions de dollars pour aider à éteindre les feux qui ravagent l’Amazonie.
L’essentiel est de s’agiter et de bien montrer à quel point on s’agite bien au jeu de « Étonnez la galerie ».
Quand Monsieur Bolsonaro évoque la désinformation, dans sa défense, il a donc bien raison car les faits parlent pour lui.
Vous vous rendez compte, le « poumon vert de la planète » est en feu et elle est coincée au milieu de l’Atlantique sur un p… de voilier…
Emmanuel Macron souhaite-t-il instaurer un droit d’ingérence environnemental, à l’imitation du droit d’ingérence humanitaire inventé par Kouchner en son temps ?
Bref, le G7 de structure et de budget n’est qu’un site de rencontre, une agence périodique de voyages et de spectacles dont il ne sortira rien.
Comme l’avait montré Henry Kissinger, la politique internationale impose le réalisme et doit viser l’équilibre. L’un et l’autre passent par les nations.
La France paye aujourd’hui une sorte de mépris hautain, au passage doublé de crasse incurie en matière de politique étrangère.
Devant l’opposition unanime le nouveau pouvoir brésilien a dû reculer.
Les élections européennes en France ont témoigné de la décadence profonde de notre pays.
S’il y a des gilets jaunes au Brésil, ils y trouveront difficilement leur compte !
Jair Bolsonaro se veut disciple de Donald Trump, sauf en matière de protectionnisme, semble-t-il…
L’homme rode son spectacle. À propos de l’élection de Jair Bolsonaro, au Brésil, il croque ce dernier « démocrate illibéral ».
Avec l’élection de Bolsonaro au Brésil, la questions se posera tôt ou tard car ce nouveau président, encore plus atypique que Donald Trump, a eu des mots durs et vrais contre la Chine.
Être « populiste » consiste avant tout à défendre son peuple. Ce n’est manifestement pas le cas de Jair Bolsonaro, malgré des promesses de campagne dignes de celles d’un Emmanuel Macron.
Un tremblement de terre politique parfaitement prévisible en raison de la situation catastrophique du Brésil où l’ont conduit la démagogie et la corruption de la gauche au pouvoir.
Ce dimanche 28 octobre, Jair Bolsonaro a largement remporté l’élection présidentielle au Brésil. Réaction de Marine Le Pen au micro de Boulevard Voltaire. Quelle est
Un cycle s’achève. Pendant longtemps, le vent de l’Histoire a soufflé à gauche. Aujourd’hui, il souffle dans le sens contraire.
L’intérêt supérieur national aura donc transcendé les différences ethniques et sexuelles.
Ronaldinho publie un post Instagram de soutien à Bolsonaro, portant un maillot floqué de son numéro 17, engendrant plus de deux millions de « likes » et plus de 100 000 commentaires.
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