Jean-Luc Mélenchon
Tant que c’est pour sa promotion, pas besoin de compter, on est là pour banquer !
Malgré tous ses efforts pour faire peuple, le gars Jean-Luc n’a pas réussi à employer trois vrais ouvriers du bâtiment pour jouer la scène…
Il n’est pas interdit de se livrer à une réflexion sur les relations entre la politique et les religions…
Si ce débat revient sur la table, à huit jours du scrutin, c’est principalement pour des raisons électorales.
Chez tous ceux qui veulent établir un système d’éducation unique, je crois déceler une « tentation totalitaire » sous-jacente qui me gêne aux entournures.
Devant les écrans, les Français oublient-ils qui sont ces deux personnages ?
L’Amérique latine vient de s’inviter dans cette fin de campagne électorale avec la proposition numéro 62 du programme de
À un peu plus d’une semaine du premier tour de l’élection présidentielle, c’est le gag de ce vendredi.
Après Emmanuel Macron, c’est au tour de Jean-Luc Mélenchon d’intéresser le microcosme médiatico-sondagiste.
C’est faire à de tels individus un honneur bien étrange, cher Jean-Luc Mélenchon, que de proclamer aujourd’hui qu’ils étaient la France.
Je suis surpris par l’extrême mansuétude dont bénéficie le camarade Mélenchon sur les plateaux de télévision…
Comment diable ce trotskiste peut-il tutoyer les favoris des sondages dans la course en tête à la présidentielle ?
Comme tout homme de gauche qui fait primer l’idéologie sur le réel…
Tant que c’est pour sa promotion, pas besoin de compter, on est là pour banquer !
Malgré tous ses efforts pour faire peuple, le gars Jean-Luc n’a pas réussi à employer trois vrais ouvriers du bâtiment pour jouer la scène…
Il n’est pas interdit de se livrer à une réflexion sur les relations entre la politique et les religions…
Si ce débat revient sur la table, à huit jours du scrutin, c’est principalement pour des raisons électorales.
Chez tous ceux qui veulent établir un système d’éducation unique, je crois déceler une « tentation totalitaire » sous-jacente qui me gêne aux entournures.
Devant les écrans, les Français oublient-ils qui sont ces deux personnages ?
L’Amérique latine vient de s’inviter dans cette fin de campagne électorale avec la proposition numéro 62 du programme de
À un peu plus d’une semaine du premier tour de l’élection présidentielle, c’est le gag de ce vendredi.
Après Emmanuel Macron, c’est au tour de Jean-Luc Mélenchon d’intéresser le microcosme médiatico-sondagiste.
C’est faire à de tels individus un honneur bien étrange, cher Jean-Luc Mélenchon, que de proclamer aujourd’hui qu’ils étaient la France.
Je suis surpris par l’extrême mansuétude dont bénéficie le camarade Mélenchon sur les plateaux de télévision…
Comment diable ce trotskiste peut-il tutoyer les favoris des sondages dans la course en tête à la présidentielle ?
Comme tout homme de gauche qui fait primer l’idéologie sur le réel…
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