Jean-Luc Mélenchon
Mélenchon n’est bien sûr pas un parangon de « gentillesse », mais du moins a-t-il du sens politique.
Mélenchon était autrement plus convaincant lorsque ses yeux se tournaient vers Caracas ou La Havane.
Zemmour ne serait-il pas mort, alors ?
Imaginez une seconde un homme politique de droite dire cela. Mélenchon, lui, a le monopole de l’usage de certains mots.
Sur neuf questions sur dix, c’est la débandade pour le patron de La France insoumise.
Donc, c’est dit, sûr, c’est validé, c’est misogyne…
Quelle que soit l’issue du conflit, il aura des conséquences politiques.
Cette semaine encore, la NUPES enflamme l’Assemblée nationale. Tandis qu’Anne Hidalgo se félicite de dégoûter les Parisiens de leur ville, BFMTV rejoint le côté obscur de la force…
Où sont-ils, ceux que La France insoumise se targue de défendre à chaque fois qu’elle s’exprime face à la diversité des cités et banlieues ?
Jean-Luc Mélenchon n’en finit pas de mourir. Il pourrait avoir la décence élémentaire de le faire en coulisses.
Comme quoi le passé a encore de l’avenir, même à gauche.
Tous avec Jean-Michel Aphatie pour réparer l’outrage par une victoire franche et massive du RN aux prochaines présidentielles.
Et si, demain, Marine Le Pen parvenait enfin à ses fins, que se passerait-il ?
Proférer des critiques sur le fonctionnement interne de La France insoumise n’est pas sans risque, et les principaux visés n’ont pas attendu pour réagir.
Plusieurs banques ont été saccagées, des poubelles ont été incendiées.
Au train où ces gens s’épurent les uns les autres, on sera bientôt dans Dix Petits Nègres…
Les mauvaises langues verront là les prémices d’une guerre des chefs provoquée par les annonces de départ du Líder Máximo.
Le grand gourou d’une France insoumise portant de moins en moins bien son nom ajoute une dernière louche de repentance, plaidant « coupable pour des époques où on ignorait qu’on était des criminels »… Fichtre ! Tout ça pour avoir pris l’avion.
La mauvaise nouvelle, c’est qu’il n’a pas l’air d’avoir envie de raccrocher. La bonne, c’est qu’aucun de ses seconds couteaux , incultes et vulgaires, ne semble prêt à reprendre le flambeau.
Âgée de 30 ans, Fatima-Ezzahra Benomar est une militante marocaine des droits des femmes.
Nous avons plus que jamais besoin de De Gaulle, mais certainement pas d’un de Gaulle à la sauce Mélenchon.
« Merci Jean-Luc Mélenchon pour son soutien constant à la politique d’une seule Chine », a écrit l’ambassade sur le réseau social.
Quitte à employer le mot martyre, on aurait aimé surtout que Jean-Luc Mélenchon s’indigne du vrai martyre, cette fois, à l’encontre de l’Église catholique au Nigeria.
Il ne s’agit pas de nier le succès du RN mais de préparer les victoires à venir.
Entre Marine Le Pen et Mélenchon , ce furent deux salles, deux ambiances. La première appelle au rassemblement et le deuxième à la révolution. Comme si l’extrémisme avait brutalement fini de changer de couleur.
L’autre victime de cette élection pourrait bien être aussi celle de la sphère médiatico-politique, qui n’en pinçait que pour Jean-Luc Macron et Emmanuel Mélenchon.
La boîte à fusibles est en train de dangereusement chauffer, dans les états-majors de la NUPES et d’Ensemble.
Les élections législatives de ce dimanche 12 juin débouchent sur un paysage parlementaire inacceptable pour l’ensemble des électeurs de droite de ce pays et lourd de menaces pour la suite.
Mélenchon n’est bien sûr pas un parangon de « gentillesse », mais du moins a-t-il du sens politique.
Mélenchon était autrement plus convaincant lorsque ses yeux se tournaient vers Caracas ou La Havane.
Zemmour ne serait-il pas mort, alors ?
Imaginez une seconde un homme politique de droite dire cela. Mélenchon, lui, a le monopole de l’usage de certains mots.
Sur neuf questions sur dix, c’est la débandade pour le patron de La France insoumise.
Donc, c’est dit, sûr, c’est validé, c’est misogyne…
Quelle que soit l’issue du conflit, il aura des conséquences politiques.
Cette semaine encore, la NUPES enflamme l’Assemblée nationale. Tandis qu’Anne Hidalgo se félicite de dégoûter les Parisiens de leur ville, BFMTV rejoint le côté obscur de la force…
Où sont-ils, ceux que La France insoumise se targue de défendre à chaque fois qu’elle s’exprime face à la diversité des cités et banlieues ?
Jean-Luc Mélenchon n’en finit pas de mourir. Il pourrait avoir la décence élémentaire de le faire en coulisses.
Comme quoi le passé a encore de l’avenir, même à gauche.
Tous avec Jean-Michel Aphatie pour réparer l’outrage par une victoire franche et massive du RN aux prochaines présidentielles.
Et si, demain, Marine Le Pen parvenait enfin à ses fins, que se passerait-il ?
Proférer des critiques sur le fonctionnement interne de La France insoumise n’est pas sans risque, et les principaux visés n’ont pas attendu pour réagir.
Plusieurs banques ont été saccagées, des poubelles ont été incendiées.
Au train où ces gens s’épurent les uns les autres, on sera bientôt dans Dix Petits Nègres…
Les mauvaises langues verront là les prémices d’une guerre des chefs provoquée par les annonces de départ du Líder Máximo.
Le grand gourou d’une France insoumise portant de moins en moins bien son nom ajoute une dernière louche de repentance, plaidant « coupable pour des époques où on ignorait qu’on était des criminels »… Fichtre ! Tout ça pour avoir pris l’avion.
La mauvaise nouvelle, c’est qu’il n’a pas l’air d’avoir envie de raccrocher. La bonne, c’est qu’aucun de ses seconds couteaux , incultes et vulgaires, ne semble prêt à reprendre le flambeau.
Âgée de 30 ans, Fatima-Ezzahra Benomar est une militante marocaine des droits des femmes.
Nous avons plus que jamais besoin de De Gaulle, mais certainement pas d’un de Gaulle à la sauce Mélenchon.
« Merci Jean-Luc Mélenchon pour son soutien constant à la politique d’une seule Chine », a écrit l’ambassade sur le réseau social.
Quitte à employer le mot martyre, on aurait aimé surtout que Jean-Luc Mélenchon s’indigne du vrai martyre, cette fois, à l’encontre de l’Église catholique au Nigeria.
Il ne s’agit pas de nier le succès du RN mais de préparer les victoires à venir.
Entre Marine Le Pen et Mélenchon , ce furent deux salles, deux ambiances. La première appelle au rassemblement et le deuxième à la révolution. Comme si l’extrémisme avait brutalement fini de changer de couleur.
L’autre victime de cette élection pourrait bien être aussi celle de la sphère médiatico-politique, qui n’en pinçait que pour Jean-Luc Macron et Emmanuel Mélenchon.
La boîte à fusibles est en train de dangereusement chauffer, dans les états-majors de la NUPES et d’Ensemble.
Les élections législatives de ce dimanche 12 juin débouchent sur un paysage parlementaire inacceptable pour l’ensemble des électeurs de droite de ce pays et lourd de menaces pour la suite.
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