Jean-Luc Mélenchon
Il n’y a pas à tortiller. Avant de s’en prendre aux bronches, le coronavirus attaque le cervelet.
En somme, c’est d’une « créolisation heureuse » qu’il s’agit, pour reprendre des mots à la mode.
Il a commencé sa carrière politique en chantant « L’Internationale sera le genre humain » ; il la termine en voulant introduire dans la Constitution « la liberté de genre ».
Jean-Luc Mélenchon souhaite que l’on puisse librement changer de genre. Il propose ainsi d’inscrire cette liberté dans la Constitution. Jean-Luc Mélenchon a eu une idée
Le président de la République n’a pas encore répondu.
Un écueil de taille : est-il possible, voire crédible, de défendre une civilisation chrétienne, mais sans chrétiens ?
Jean-Marie Le Pen a regardé le débat Mélenchon-Zemmour. Il livre son analyse et ses impressions au micro de Boulevard Voltaire.
Je serais tentée de dire que vous êtes trop sincère, trop fidèle à vos convictions pour affronter des girouettes qui tournent au gré du vent.
Marlène Schiappa tient à corriger Éric Zemmour en direct et sur Twitter. Elle estime sa définition du regroupement familial « fausse et fantasmagorique ».
C’est un beau débat entre deux adversaires de grande culture qui se respectent mais ne se font pas de cadeaux.
Monsieur Mélenchon est-il en train de se diaboliser, puisqu’il se rapproche, du coup, de Marine Le Pen dont il a toujours dénoncé les prises de position sur la préférence nationale ?
La scène se déroule le 10 juillet, sur le parvis de l’hôtel de ville de Paris.
Jean-Luc Mélenchon tente d’expliquer qu’il y a une autre France – suivez son regard – qui n’est ni colonialiste ni impérialiste ni paternaliste.
Il ne savait pas vers où, et c’était déjà trop tard, mais il marchait. Il paraît que c’est la mémoire musculaire.
Jean-Luc Mélenchon voit des complots partout : instrumentalisation d’attentats en vue de l’élection présidentielle, sabotage d’Orange, vidéo de Papacito et jusqu’à cette gifle donnée au
C’est quoi, au juste, le fond de la pensée mélenchonnesque : l’Élysée qui fait passer des castings terroristes ?
Elle l’est « en ce sens qu’elle s’en prend non pas aux causes pour lesquelles ces malheureux ont été assassinés mais aux institutions comme l’institution judiciaire », a poursuivi le chef des députés LFI.
« La population française est et sera métissée. Nous sommes ce peuple qui se créolise en ce moment même. C’est le résultat de l’amour. »
Irresponsabilité ?
À un an de l’élection présidentielle, les sondages se suivent et se ressemblent, avec une Marine Le Pen de plus en plus menaçante. La Macronie
Invité de la chaîne Franceinfo, le 30 mars, Jean-Luc Mélenchon s’est énervé contre le journaliste Gilles Bornstein, après une question insistante sur François Ruffin. Ce
Car Jean-Luc Mélénchon n’aime pas le haineux. Il est comme ça, Jean-Luc. Fair-play en toutes circonstances.
Il faut dire que ces deux-là ne s’aiment pas et que Naulleau a un passé de pugilat avec La France insoumise, qu’il accuse aisément de menées « indigénistes ». Entre autres.
Et qui figure en couverture du premier numéro du Journal de l’insoumission en version papier ? Mélenchon Jean-Luc.
Alors, il revient à Canossa, la tête couverte de cendres, pour lécher les bottes de ceux qu’il accusait, hier encore, d’être « devenus les bagagistes de Valeurs actuelles » et de faciliter « l’escalade zemmouriste »…
Sacré paradoxe, tout de même, que l’armée soit la solution à tous les problèmes, y compris pour les ténors de la gauche radicale.
Dans cet attelage islamo-gauchiste, qui, des tenants du quinoa ou de la charia, tient l’autre ?
Première victoire, donc : Jean-Luc Mélenchon a obtenu son « investiture populaire » (sic) en cinq jours. 150.000 signatures de « gens »…
Il n’y a pas à tortiller. Avant de s’en prendre aux bronches, le coronavirus attaque le cervelet.
En somme, c’est d’une « créolisation heureuse » qu’il s’agit, pour reprendre des mots à la mode.
Il a commencé sa carrière politique en chantant « L’Internationale sera le genre humain » ; il la termine en voulant introduire dans la Constitution « la liberté de genre ».
Jean-Luc Mélenchon souhaite que l’on puisse librement changer de genre. Il propose ainsi d’inscrire cette liberté dans la Constitution. Jean-Luc Mélenchon a eu une idée
Le président de la République n’a pas encore répondu.
Un écueil de taille : est-il possible, voire crédible, de défendre une civilisation chrétienne, mais sans chrétiens ?
Jean-Marie Le Pen a regardé le débat Mélenchon-Zemmour. Il livre son analyse et ses impressions au micro de Boulevard Voltaire.
Je serais tentée de dire que vous êtes trop sincère, trop fidèle à vos convictions pour affronter des girouettes qui tournent au gré du vent.
Marlène Schiappa tient à corriger Éric Zemmour en direct et sur Twitter. Elle estime sa définition du regroupement familial « fausse et fantasmagorique ».
C’est un beau débat entre deux adversaires de grande culture qui se respectent mais ne se font pas de cadeaux.
Monsieur Mélenchon est-il en train de se diaboliser, puisqu’il se rapproche, du coup, de Marine Le Pen dont il a toujours dénoncé les prises de position sur la préférence nationale ?
La scène se déroule le 10 juillet, sur le parvis de l’hôtel de ville de Paris.
Jean-Luc Mélenchon tente d’expliquer qu’il y a une autre France – suivez son regard – qui n’est ni colonialiste ni impérialiste ni paternaliste.
Il ne savait pas vers où, et c’était déjà trop tard, mais il marchait. Il paraît que c’est la mémoire musculaire.
Jean-Luc Mélenchon voit des complots partout : instrumentalisation d’attentats en vue de l’élection présidentielle, sabotage d’Orange, vidéo de Papacito et jusqu’à cette gifle donnée au
C’est quoi, au juste, le fond de la pensée mélenchonnesque : l’Élysée qui fait passer des castings terroristes ?
Elle l’est « en ce sens qu’elle s’en prend non pas aux causes pour lesquelles ces malheureux ont été assassinés mais aux institutions comme l’institution judiciaire », a poursuivi le chef des députés LFI.
« La population française est et sera métissée. Nous sommes ce peuple qui se créolise en ce moment même. C’est le résultat de l’amour. »
Irresponsabilité ?
À un an de l’élection présidentielle, les sondages se suivent et se ressemblent, avec une Marine Le Pen de plus en plus menaçante. La Macronie
Invité de la chaîne Franceinfo, le 30 mars, Jean-Luc Mélenchon s’est énervé contre le journaliste Gilles Bornstein, après une question insistante sur François Ruffin. Ce
Car Jean-Luc Mélénchon n’aime pas le haineux. Il est comme ça, Jean-Luc. Fair-play en toutes circonstances.
Il faut dire que ces deux-là ne s’aiment pas et que Naulleau a un passé de pugilat avec La France insoumise, qu’il accuse aisément de menées « indigénistes ». Entre autres.
Et qui figure en couverture du premier numéro du Journal de l’insoumission en version papier ? Mélenchon Jean-Luc.
Alors, il revient à Canossa, la tête couverte de cendres, pour lécher les bottes de ceux qu’il accusait, hier encore, d’être « devenus les bagagistes de Valeurs actuelles » et de faciliter « l’escalade zemmouriste »…
Sacré paradoxe, tout de même, que l’armée soit la solution à tous les problèmes, y compris pour les ténors de la gauche radicale.
Dans cet attelage islamo-gauchiste, qui, des tenants du quinoa ou de la charia, tient l’autre ?
Première victoire, donc : Jean-Luc Mélenchon a obtenu son « investiture populaire » (sic) en cinq jours. 150.000 signatures de « gens »…
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