Jean-Luc Mélenchon
Une nouvelle polémique oppose Jean-Luc Mélenchon, ayant qualifié les forces de l’odre de « barbares », à Christophe Castaner, le ministre de l’Intérieur, qui lui
Jean-Luc Mélenchon confond volontiers justice et politique au point de faire passer les infractions qui lui sont reprochées pour de la politique…
L’Amérique latine, c’est sa fontaine de jouvence. Il l’aime de tout son petit cœur, aujourd’hui plus qu’hier et bien moins que demain.
Au moins, le rhum brésilien aura été servi à bonne température. Ce qui permet de toujours passer agréablement le temps et d’éviter d’en perdre à faire de la politique.
Il est vrai que le coup de mou couvait depuis longtemps…
Un fossé se creuse sur la question de l’immigration : l’un veut toujours plus d’immigration, l’autre en veut toujours moins.
Du côté de La France insoumise de M. Mélenchon, on refuse de rompre avec les vieilles méthodes : stalinien un jour, stalinien toujours !
Le parti de Mélenchon ne pourra ressusciter de ses cendres qu’après avoir compris les enjeux contemporains et les attentes de son électorat.
Emmanuel Macron entendait mobiliser afin de transformer cette élection en une sorte de référendum « pour » ou « contre » l’Europe, « pour » ou « contre » lui. Les Français l’ont entendu : la liste menée par Emmanuel Macron a perdu.
Ainsi donc Nathalie Loiseau a fait une gaffe, une boulette, une bévue. C’est la France insoumise qui a levé le lièvre et dénoncé Loiseau.
L’orateur n’a rien dit de précis, excepté qu’il voulait sauver la gauche et les marchands de chaises.
Une chance pour le téléspectateur, il y a Mélenchon et Le Pen, les seuls à faire de la politique.
Des manifestations sont organisées en France pour protester contre la situation en Algérie. Réaction de Jean Messiha, qui analyse par ailleurs la situation en Algérie.
Ce n’est pas la première fois que les socialistes font le coup.
Le parallélisme des formes ne serait donc pas le fort de la gauche ?
Si le scénario à l’italienne devait avoir lieu, celui-ci émergerait via un partenariat entre l’émanation politique des gilets jaunes et le Rassemblement national.
Sans doute existe-t-il des convergences sociales entre les électorats RN et LFI. Mais trop de divergences les séparent sur les questions migratoires.
Il endosse le gilet aux couleurs des cocus, espérant se refaire une santé politique sur les ronds-points…
Le bon sens a déserté le pays.
On ne pourra pas se débarrasser si facilement d’Emmanuel Macron, tout simplement parce que personne de crédible aux yeux des Français n’apparaît pour l’instant sur le « marché » politique.
Plus que jamais, il y a donc au sein de La France insoumise deux tendances bien distinctes et de plus en plus antagonistes.
Les partis d’opposition, quoi qu’on pense de leur projet politique et de leurs motivations, ont le souci de ne pas se couper du peuple. En cela, ils se montrent plus démocrates que Macron.
Des résistants en peau de lapin sortent de leur tranchée moquettée et hurlent aux pires heures de notre histoire…
Le chien de Pavlov sort de sa niche, la truffe à l’air mais la queue entre les jambes.
L’avenir de l’Europe et de la France est entre leurs mains.
Alors Mélenchon a tenté de rectifier le tir, fait sur son blog le gentil, pris un ton patelin mais les postillons étaient encore là, collés à l’écran.
Les frères la gratouille, comme les appelait feu Mitterrand, aiment bien maîtriser leur communication.
M. Mélenchon fait de la politique. Qui pourrait le lui reprocher ?
Une nouvelle polémique oppose Jean-Luc Mélenchon, ayant qualifié les forces de l’odre de « barbares », à Christophe Castaner, le ministre de l’Intérieur, qui lui
Jean-Luc Mélenchon confond volontiers justice et politique au point de faire passer les infractions qui lui sont reprochées pour de la politique…
L’Amérique latine, c’est sa fontaine de jouvence. Il l’aime de tout son petit cœur, aujourd’hui plus qu’hier et bien moins que demain.
Au moins, le rhum brésilien aura été servi à bonne température. Ce qui permet de toujours passer agréablement le temps et d’éviter d’en perdre à faire de la politique.
Il est vrai que le coup de mou couvait depuis longtemps…
Un fossé se creuse sur la question de l’immigration : l’un veut toujours plus d’immigration, l’autre en veut toujours moins.
Du côté de La France insoumise de M. Mélenchon, on refuse de rompre avec les vieilles méthodes : stalinien un jour, stalinien toujours !
Le parti de Mélenchon ne pourra ressusciter de ses cendres qu’après avoir compris les enjeux contemporains et les attentes de son électorat.
Emmanuel Macron entendait mobiliser afin de transformer cette élection en une sorte de référendum « pour » ou « contre » l’Europe, « pour » ou « contre » lui. Les Français l’ont entendu : la liste menée par Emmanuel Macron a perdu.
Ainsi donc Nathalie Loiseau a fait une gaffe, une boulette, une bévue. C’est la France insoumise qui a levé le lièvre et dénoncé Loiseau.
L’orateur n’a rien dit de précis, excepté qu’il voulait sauver la gauche et les marchands de chaises.
Une chance pour le téléspectateur, il y a Mélenchon et Le Pen, les seuls à faire de la politique.
Des manifestations sont organisées en France pour protester contre la situation en Algérie. Réaction de Jean Messiha, qui analyse par ailleurs la situation en Algérie.
Ce n’est pas la première fois que les socialistes font le coup.
Le parallélisme des formes ne serait donc pas le fort de la gauche ?
Si le scénario à l’italienne devait avoir lieu, celui-ci émergerait via un partenariat entre l’émanation politique des gilets jaunes et le Rassemblement national.
Sans doute existe-t-il des convergences sociales entre les électorats RN et LFI. Mais trop de divergences les séparent sur les questions migratoires.
Il endosse le gilet aux couleurs des cocus, espérant se refaire une santé politique sur les ronds-points…
Le bon sens a déserté le pays.
On ne pourra pas se débarrasser si facilement d’Emmanuel Macron, tout simplement parce que personne de crédible aux yeux des Français n’apparaît pour l’instant sur le « marché » politique.
Plus que jamais, il y a donc au sein de La France insoumise deux tendances bien distinctes et de plus en plus antagonistes.
Les partis d’opposition, quoi qu’on pense de leur projet politique et de leurs motivations, ont le souci de ne pas se couper du peuple. En cela, ils se montrent plus démocrates que Macron.
Des résistants en peau de lapin sortent de leur tranchée moquettée et hurlent aux pires heures de notre histoire…
Le chien de Pavlov sort de sa niche, la truffe à l’air mais la queue entre les jambes.
L’avenir de l’Europe et de la France est entre leurs mains.
Alors Mélenchon a tenté de rectifier le tir, fait sur son blog le gentil, pris un ton patelin mais les postillons étaient encore là, collés à l’écran.
Les frères la gratouille, comme les appelait feu Mitterrand, aiment bien maîtriser leur communication.
M. Mélenchon fait de la politique. Qui pourrait le lui reprocher ?
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