Jean-Michel Blanquer
Les Français en ont assez du spectacle que donne la politique, qui ne sert pas la démocratie.
Que vaut le rempart de deux-trois barrières de sécurité posées devant pour stopper un djihadiste fanatisé ?
Pour autant, les mélenchonistes et autres indigénistes sont-ils les seuls responsables de cette dérive mortifère ? Rien n’est moins sûr…
Le ministre d’une République qui a déjà tant pratiqué de reculades aura du mal à convaincre qu’il n’y en aura plus d’autres…
Jean-Michel Blanquer appelle ça des supporters… Les vrais apprécieront !
Théoriquement marqué à droite, Christophe Kerrero est un esprit souple, qui ne s’embarrasse guère des clivages politiques, adepte du « en même temps » cher à Emmanuel Macron.
Le vivier des ministrables est si pauvre, dans la majorité, qu’on est obligé d’aller chercher une personnalité qui a sans doute des qualités, mais qu’on n’imagine pas a priori comme le « premier flic de France ».
La ligne éditoriale est ainsi définie dès le matin dans la salle de bains.
La session du baccalauréat 2020 sera une session extraordinaire. Mais sa gestion restera scandaleuse.
Le macronisme est en marche subrepticement vers un totalitarisme doux.
On peut reprocher beaucoup de choses à Jean-Michel Blanquer, d’avoir perdu, en cours de route, une partie de ses bonnes intentions et de s’être macronisé. Mais pas d’avoir voulu faire un peu le ménage !
Et l’on pourra être encore plus choqué de voir que la propagande se fait désormais ouvertement…
Ces mesures risquent fort de créer un sacré bordel, au point qu’on se demande comment Jean-Michel Blanquer a pu les concevoir.
Le ministre prévoit donc des congés d’été du 13 juillet au 15 août, toutes zones confondues.
La crise du coronavirus pourrait être l’occasion de révolutionner l’enseignement : pour le meilleur ou pour le pire ?
Chacun jugera si Jean-Michel Blanquer joue un jeu politicien ou s’il exprime tout haut ses convictions profondes.
Interrogé, à la fin de l’entretien, sur l’attribution du César du meilleur réalisateur à Roman Polanski, Jean-Michel Blanquer a osé prendre une position en rupture avec la bien-pensance et recadrer, au passage, Frank Riester.
Jean-Michel Blanquer doit se « démacroniser ».
À ce rythme, dans quelques années, n’entreront dans cette carrière dévalorisée que ceux qui n’auront pas trouvé mieux.
Là où passe un pédagogue, la culture ne pousse plus…
Dans ce conflit qui s’annonce long, le gouvernement ne pourra pas s’arc-bouter derrière ces formules magiques qui n’ont rien de rassurant.
Bien évidemment, la machine à victimisation accélérée s’est mise en branle.
Semblable au Jupiter des Anciens, il rend fous ceux qu’il veut perdre.
Un président de la République ne peut se contenter de fredonner, au sujet du foulard islamique : « Tout va très bien, Madame la Marquise ! »
On peut d’ores et déjà prendre les paris que, dans les semaines et les mois qui vont venir, le port du voile va se propager à grande vitesse dans le pays…
Et pourquoi, le ministre de l’Éducation nationale ne serait pas bienvenu dans le 93 ?
Vous avez compris, vous qui êtes hostiles au port du voile lors des sorties scolaires, c’est vous qui représentez un danger pour la France !
On ne peut pas vivre, cohabiter, coexister comme si on ne savait pas que la deuxième religion de France, dans son expression furieuse, est mortifère et l’a tragiquement prouvé.
Les Français en ont assez du spectacle que donne la politique, qui ne sert pas la démocratie.
Que vaut le rempart de deux-trois barrières de sécurité posées devant pour stopper un djihadiste fanatisé ?
Pour autant, les mélenchonistes et autres indigénistes sont-ils les seuls responsables de cette dérive mortifère ? Rien n’est moins sûr…
Le ministre d’une République qui a déjà tant pratiqué de reculades aura du mal à convaincre qu’il n’y en aura plus d’autres…
Jean-Michel Blanquer appelle ça des supporters… Les vrais apprécieront !
Théoriquement marqué à droite, Christophe Kerrero est un esprit souple, qui ne s’embarrasse guère des clivages politiques, adepte du « en même temps » cher à Emmanuel Macron.
Le vivier des ministrables est si pauvre, dans la majorité, qu’on est obligé d’aller chercher une personnalité qui a sans doute des qualités, mais qu’on n’imagine pas a priori comme le « premier flic de France ».
La ligne éditoriale est ainsi définie dès le matin dans la salle de bains.
La session du baccalauréat 2020 sera une session extraordinaire. Mais sa gestion restera scandaleuse.
Le macronisme est en marche subrepticement vers un totalitarisme doux.
On peut reprocher beaucoup de choses à Jean-Michel Blanquer, d’avoir perdu, en cours de route, une partie de ses bonnes intentions et de s’être macronisé. Mais pas d’avoir voulu faire un peu le ménage !
Et l’on pourra être encore plus choqué de voir que la propagande se fait désormais ouvertement…
Ces mesures risquent fort de créer un sacré bordel, au point qu’on se demande comment Jean-Michel Blanquer a pu les concevoir.
Le ministre prévoit donc des congés d’été du 13 juillet au 15 août, toutes zones confondues.
La crise du coronavirus pourrait être l’occasion de révolutionner l’enseignement : pour le meilleur ou pour le pire ?
Chacun jugera si Jean-Michel Blanquer joue un jeu politicien ou s’il exprime tout haut ses convictions profondes.
Interrogé, à la fin de l’entretien, sur l’attribution du César du meilleur réalisateur à Roman Polanski, Jean-Michel Blanquer a osé prendre une position en rupture avec la bien-pensance et recadrer, au passage, Frank Riester.
Jean-Michel Blanquer doit se « démacroniser ».
À ce rythme, dans quelques années, n’entreront dans cette carrière dévalorisée que ceux qui n’auront pas trouvé mieux.
Là où passe un pédagogue, la culture ne pousse plus…
Dans ce conflit qui s’annonce long, le gouvernement ne pourra pas s’arc-bouter derrière ces formules magiques qui n’ont rien de rassurant.
Bien évidemment, la machine à victimisation accélérée s’est mise en branle.
Semblable au Jupiter des Anciens, il rend fous ceux qu’il veut perdre.
Un président de la République ne peut se contenter de fredonner, au sujet du foulard islamique : « Tout va très bien, Madame la Marquise ! »
On peut d’ores et déjà prendre les paris que, dans les semaines et les mois qui vont venir, le port du voile va se propager à grande vitesse dans le pays…
Et pourquoi, le ministre de l’Éducation nationale ne serait pas bienvenu dans le 93 ?
Vous avez compris, vous qui êtes hostiles au port du voile lors des sorties scolaires, c’est vous qui représentez un danger pour la France !
On ne peut pas vivre, cohabiter, coexister comme si on ne savait pas que la deuxième religion de France, dans son expression furieuse, est mortifère et l’a tragiquement prouvé.
Pour ne rien rater
Les plus lus du jour
LES PLUS LUS DU JOUR
Un vert manteau de mosquées