Jean-Pierre Chevènement
Dommage que les responsables politiques attendent systématiquement leur retrait des affaires pour dire enfin la vérité.
Niché au cœur du Ve arrondissement de Paris, non loin de la sublime église Saint-Étienne-du-Mont…
Le monde d’En marche ! est vieux, lourd, incapable de se bonifier et de se transformer.
Le ralliement de Chevènement est emblématique de la stratégie macronienne : ratisser le plus large possible en multipliant les profils les plus divers (et les plus opposés)…
Si l’on devait dresser la liste des responsables politiques qui sont allés serrer la main de dictateurs à travers le monde, il faudrait, ici, plus d’un article.
On doit lui reconnaître des qualités qui le distinguent de nos gouvernants mondialistes : son respect de la souveraineté française, son patriotisme et, ce qui est rare en politique, la fidélité à ses convictions.
Il veut faire croire qu’il est indispensable – ou s’en convaincre lui-même.
On serait bien en peine de trouver dans les Évangiles, textes fondateurs du christianisme, le moindre appel au meurtre ciblé.
L’homme est intelligent, respecté, son patriotisme républicain n’est pas en cause. Il n’est pas, pour autant, infaillible.
Jean-Pierre Chevènement, représentant spécial de la France depuis 2012, vient d’être décoré de l’Ordre de l’Amitié par Wladimir Poutine.
Dommage que les responsables politiques attendent systématiquement leur retrait des affaires pour dire enfin la vérité.
Niché au cœur du Ve arrondissement de Paris, non loin de la sublime église Saint-Étienne-du-Mont…
Le monde d’En marche ! est vieux, lourd, incapable de se bonifier et de se transformer.
Le ralliement de Chevènement est emblématique de la stratégie macronienne : ratisser le plus large possible en multipliant les profils les plus divers (et les plus opposés)…
Si l’on devait dresser la liste des responsables politiques qui sont allés serrer la main de dictateurs à travers le monde, il faudrait, ici, plus d’un article.
On doit lui reconnaître des qualités qui le distinguent de nos gouvernants mondialistes : son respect de la souveraineté française, son patriotisme et, ce qui est rare en politique, la fidélité à ses convictions.
Il veut faire croire qu’il est indispensable – ou s’en convaincre lui-même.
On serait bien en peine de trouver dans les Évangiles, textes fondateurs du christianisme, le moindre appel au meurtre ciblé.
L’homme est intelligent, respecté, son patriotisme républicain n’est pas en cause. Il n’est pas, pour autant, infaillible.
Jean-Pierre Chevènement, représentant spécial de la France depuis 2012, vient d’être décoré de l’Ordre de l’Amitié par Wladimir Poutine.
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