Jeunesse
Plus qu’une simple fracture politique, il s’agit ici et aussi d’une fracture sociale.
Qu’auront pensé ces chers jeunes de cette débauche de bonnes intentions électoralistes ? Sur la chaine YouTube de France Inter, le comptage des vues par vidéo donne une réponse assez claire.
Il est grand temps de nous faire admettre que la France de grand-papa, c’est fini. Bienvenue dans la France « village global ».
Ils s’appellent Paul, Thaïs, Julien, Aliette, Thomas, Juliette, Baudouin ou Aliénor…
La série Sex Education de la chaîne payante américaine serait un modèle du genre.
La presse raffole de ces expressions pour qualifier une génération. La jeunesse peut, ainsi, être, selon les experts, X, Y ou Z, Millenials, identitaire, connectée, fantôme, Covid ou sacrifiée… Cette jeunesse est-elle vraiment unique ?
Ils sont jeunes, amoureux du patrimoine religieux et animés d’une foi qui les pousse à restaurer des croix.
Cette petite voix commence à se distiller dans les médias pour nous inciter à penser que « toutes les vies n’ont pas le même prix ».
En Hongrie, le ministre de la Famille, Katalin Novák, vient d’annoncer une exonération d’impôts pour les moins de vingt-cinq ans, ce qui aurait comme conséquence, dit-elle, une augmentation du revenu de ces jeunes de 22 %.
À l’issue de la Grande Guerre, la génération des 20 ans ne comptait plus que 48 % de survivants. Et, pour beaucoup de survivants, parfois pire que la mort, les terribles séquelles physiques et psychologiques.
Face à leurs ancêtres qui montaient à l’assaut dans les tranchées avec un masque, ils ont triste mine, même s’ils ne sont pas coupables.
La canicule est prétexte à tous les Philippulus du climat de prêcher l’apocalypse.
Plus qu’une simple fracture politique, il s’agit ici et aussi d’une fracture sociale.
Qu’auront pensé ces chers jeunes de cette débauche de bonnes intentions électoralistes ? Sur la chaine YouTube de France Inter, le comptage des vues par vidéo donne une réponse assez claire.
Il est grand temps de nous faire admettre que la France de grand-papa, c’est fini. Bienvenue dans la France « village global ».
Ils s’appellent Paul, Thaïs, Julien, Aliette, Thomas, Juliette, Baudouin ou Aliénor…
La série Sex Education de la chaîne payante américaine serait un modèle du genre.
La presse raffole de ces expressions pour qualifier une génération. La jeunesse peut, ainsi, être, selon les experts, X, Y ou Z, Millenials, identitaire, connectée, fantôme, Covid ou sacrifiée… Cette jeunesse est-elle vraiment unique ?
Ils sont jeunes, amoureux du patrimoine religieux et animés d’une foi qui les pousse à restaurer des croix.
Cette petite voix commence à se distiller dans les médias pour nous inciter à penser que « toutes les vies n’ont pas le même prix ».
En Hongrie, le ministre de la Famille, Katalin Novák, vient d’annoncer une exonération d’impôts pour les moins de vingt-cinq ans, ce qui aurait comme conséquence, dit-elle, une augmentation du revenu de ces jeunes de 22 %.
À l’issue de la Grande Guerre, la génération des 20 ans ne comptait plus que 48 % de survivants. Et, pour beaucoup de survivants, parfois pire que la mort, les terribles séquelles physiques et psychologiques.
Face à leurs ancêtres qui montaient à l’assaut dans les tranchées avec un masque, ils ont triste mine, même s’ils ne sont pas coupables.
La canicule est prétexte à tous les Philippulus du climat de prêcher l’apocalypse.