JO2024
Jusqu’à présent, on a vu des danses ridicules, les Invalides sans croix, un drapeau brisé et Aya Nakamura.
Autour de la table, les plans B se succèdent. L’enjeu est de taille.
65 % des Français s’inquiètent pour la sécurité de l’événement : inquiétude injustifiée ?
Comme si le carnet de bal n’affichait pas assez complet, voilà que les syndicats s’invitent à la danse.
Tous les ingrédients semblent donc réunis pour faire de cette cérémonie un magnifique fiasco.
Estomper les couleurs de la France pour faire la part belle à la diversité, voilà l’idée.
Entre élections, compétitions sportives et grands procès médiatiques, il y en aura pour tous les goûts !
Voilà qui devrait nous donner un avant-goût de ce qui attend le réaménagement des lieux en prévision des JO.
On aura les Jeux, mais pas le pain qui va avec…
Laurent Nuñez annonce ce mercredi aux automobilistes et aux riverains à quelle sauce ils seront mangés.
La ligne est claire : « Nous ne voulons pas qu’on touche à nos boîtes. »
C’est juridiquement à l’employeur de vérifier la situation de ses salariés, surtout s’ils sont étrangers.
Jusqu’à présent, on a vu des danses ridicules, les Invalides sans croix, un drapeau brisé et Aya Nakamura.
Autour de la table, les plans B se succèdent. L’enjeu est de taille.
65 % des Français s’inquiètent pour la sécurité de l’événement : inquiétude injustifiée ?
Comme si le carnet de bal n’affichait pas assez complet, voilà que les syndicats s’invitent à la danse.
Tous les ingrédients semblent donc réunis pour faire de cette cérémonie un magnifique fiasco.
Estomper les couleurs de la France pour faire la part belle à la diversité, voilà l’idée.
Entre élections, compétitions sportives et grands procès médiatiques, il y en aura pour tous les goûts !
Voilà qui devrait nous donner un avant-goût de ce qui attend le réaménagement des lieux en prévision des JO.
On aura les Jeux, mais pas le pain qui va avec…
Laurent Nuñez annonce ce mercredi aux automobilistes et aux riverains à quelle sauce ils seront mangés.
La ligne est claire : « Nous ne voulons pas qu’on touche à nos boîtes. »
C’est juridiquement à l’employeur de vérifier la situation de ses salariés, surtout s’ils sont étrangers.
Pour ne rien rater
Les plus lus du jour
Un vert manteau de mosquées
Lire la vidéo
