Joe Biden
De quoi faire basculer les États-Unis du côté de la belligérance, alors que Zelensky envisageait une solution négociée.
Quand la HSLF dit que Trump a promulgué « plusieurs mesures historiques de protection des animaux », on peut la croire.
Depuis son débat complètement raté face à Donald Trump, fin juin, le président sortant subissait une forte pression.
Gil Blas de Santillane – mais qui connaît encore Gil Blas ? – est le héros éponyme du célèbre roman picaresque de Lesage – mais qui
Le plus grand service que Biden puisse rendre aux démocrates est d’annoncer son abandon aux élections.
Le New York Times appelle Biden à se retirer de la course présidentielle.
À la fin du débat, la femme de Joe Biden l’a félicité comme un garçonnet.
Retrouvez chaque vendredi les perles politiques de la semaine.
De Biden ou de Trump, quel est le candidat idéal ? L’embarras du choix est ici à prendre dans son acception négative.
Englué, Joe Biden devait réagir, tant les attentes des Américains sont grandes.
De manière plus sérieuse, les consignes de vote des vedettes peuvent-elles influencer le vote des citoyens ?
Comme disait Audiard : « Quand les types de 130 kilos disent certaines choses, les types de 60 kilos les écoutent »…
Le déclin cognitif du président américain n’est en rien nouveau et sans surprise, il ne s’est pas amélioré avec le temps
Les spéculations sur l’état de sa santé mentale sont relancées.
Il s’agit d’une crise démographique, sécuritaire, humanitaire, législative, électorale et même constitutionnelle.
Qu’il le veuille ou non, Joe Biden est déjà engagé dans une guerre régionale qui n’a pas débuté le 7 octobre.
Tout l’enjeu pour Joe Biden est désormais d’éviter un effondrement du front pendant la campagne présidentielle.
Aux États-Unis, les crises ne se contentent pas de s’accumuler, elles interagissent entre elles.
Avec Trump, les logiques habituelles ne fonctionnent pas. Il fait exploser les cadres et les repères.
Les républicains étant minoritaires au Sénat et divisés sur le lancement de l’enquête, elle a peu de chances d’aboutir.
Lors de sa conférence de presse au Vietnam, le président américain a soudainement basculé dans une réalité parallèle.
Un scénario qui s’expliquerait par le sentiment qu’aucune des deux parties n’acceptera de reconnaître sa défaite
Le Point s’est saisi de la question des reniements des grands de ce monde
Les naïfs s’étonneront que les démocrates choisissent un homme de 80 ans qui multiplie les gaffes.
C’est officiel : à 80 ans, Joe Biden annonce sa candidature pour la présidentielle du 5 novembre 2024.
L’enjeu déchire l’Amérique : le joli mur de Biden ou l’affreux rempart de Donald Trump ?
Quel que soit le récit auquel nous adhérons – monde multipolaire contre monde unipolaire ou lutte des démocraties contre les autocraties -, un constat cruel s’impose : c’est à Moscou et à Washington que se décide l’avenir de l’Europe.
Joe Biden est au moins fort d’une équipe connaissant son métier. D’où ce changement de braquet le poussant à parler aux délaissés du rêve américain ; ceux qui firent la victoire de Ronald Reagan en 1980 et celle de l’inclassable Donald Trump en 2016.
De quoi faire basculer les États-Unis du côté de la belligérance, alors que Zelensky envisageait une solution négociée.
Quand la HSLF dit que Trump a promulgué « plusieurs mesures historiques de protection des animaux », on peut la croire.
Depuis son débat complètement raté face à Donald Trump, fin juin, le président sortant subissait une forte pression.
Gil Blas de Santillane – mais qui connaît encore Gil Blas ? – est le héros éponyme du célèbre roman picaresque de Lesage – mais qui
Le plus grand service que Biden puisse rendre aux démocrates est d’annoncer son abandon aux élections.
Le New York Times appelle Biden à se retirer de la course présidentielle.
À la fin du débat, la femme de Joe Biden l’a félicité comme un garçonnet.
Retrouvez chaque vendredi les perles politiques de la semaine.
De Biden ou de Trump, quel est le candidat idéal ? L’embarras du choix est ici à prendre dans son acception négative.
Englué, Joe Biden devait réagir, tant les attentes des Américains sont grandes.
De manière plus sérieuse, les consignes de vote des vedettes peuvent-elles influencer le vote des citoyens ?
Comme disait Audiard : « Quand les types de 130 kilos disent certaines choses, les types de 60 kilos les écoutent »…
Le déclin cognitif du président américain n’est en rien nouveau et sans surprise, il ne s’est pas amélioré avec le temps
Les spéculations sur l’état de sa santé mentale sont relancées.
Il s’agit d’une crise démographique, sécuritaire, humanitaire, législative, électorale et même constitutionnelle.
Qu’il le veuille ou non, Joe Biden est déjà engagé dans une guerre régionale qui n’a pas débuté le 7 octobre.
Tout l’enjeu pour Joe Biden est désormais d’éviter un effondrement du front pendant la campagne présidentielle.
Aux États-Unis, les crises ne se contentent pas de s’accumuler, elles interagissent entre elles.
Avec Trump, les logiques habituelles ne fonctionnent pas. Il fait exploser les cadres et les repères.
Les républicains étant minoritaires au Sénat et divisés sur le lancement de l’enquête, elle a peu de chances d’aboutir.
Lors de sa conférence de presse au Vietnam, le président américain a soudainement basculé dans une réalité parallèle.
Un scénario qui s’expliquerait par le sentiment qu’aucune des deux parties n’acceptera de reconnaître sa défaite
Le Point s’est saisi de la question des reniements des grands de ce monde
Les naïfs s’étonneront que les démocrates choisissent un homme de 80 ans qui multiplie les gaffes.
C’est officiel : à 80 ans, Joe Biden annonce sa candidature pour la présidentielle du 5 novembre 2024.
L’enjeu déchire l’Amérique : le joli mur de Biden ou l’affreux rempart de Donald Trump ?
Quel que soit le récit auquel nous adhérons – monde multipolaire contre monde unipolaire ou lutte des démocraties contre les autocraties -, un constat cruel s’impose : c’est à Moscou et à Washington que se décide l’avenir de l’Europe.
Joe Biden est au moins fort d’une équipe connaissant son métier. D’où ce changement de braquet le poussant à parler aux délaissés du rêve américain ; ceux qui firent la victoire de Ronald Reagan en 1980 et celle de l’inclassable Donald Trump en 2016.