Joe Biden
Quel que soit le récit auquel nous adhérons – monde multipolaire contre monde unipolaire ou lutte des démocraties contre les autocraties -, un constat cruel s’impose : c’est à Moscou et à Washington que se décide l’avenir de l’Europe.
Joe Biden est au moins fort d’une équipe connaissant son métier. D’où ce changement de braquet le poussant à parler aux délaissés du rêve américain ; ceux qui firent la victoire de Ronald Reagan en 1980 et celle de l’inclassable Donald Trump en 2016.
Le combat des républicains américains est aussi le nôtre.
Comme souvent en la matière, le premier à monter au front est Liliam Thuram, l’un de nos champions tricolores, millésime 1998…
Le citoyen européen pourrait, une fois encore, être le dindon de la farce de ce « poker menteur ».
Ce voyage, c’est peut-être l’occasion de prendre de bonnes idées chez le grand ami Biden.
Joe Biden, qui aura 80 ans durant ce mois de novembre, accumule les gaffes depuis le début de sa prise de fonction à la Maison-Blanche.
Quoi qu’il en soit, si les démocrates devaient perdre la majorité à la Chambre des représentants et au Sénat, Joe Biden ne bénéficierait pas d’un 49-3 à l’américaine et ne pourrait plus faire ce qu’il veut…
Si la situation internationale n’était pas si inquiétante, on dirait que cet homme a malgré tout le don de remettre un peu de poésie dans la vie de tous les jours.
La candidate républicaine Liz Cheney, fille de l’ancien vice-président Dick Cheney, a perdu la primaire face à son adversaire ouvertement pro-Trump.
Une demande déjà formulée l’été précédent, les élus évoquant un « déclin mental » corroboré par une série d’oublis et de bourdes.
Joe Biden incarne jusqu’à la caricature le moralisme progressiste occidental qui s’arroge le droit de donner des leçons au monde entier sans jamais balayer devant sa porte.
Très critiquée aux États-Unis, la rencontre entre Joe Biden et Mohammed ben Salmane n’a donc débouché sur rien.
Les grands principes énoncés ici et là sont à géométrie variable et l’ajustement de la variable est étroitement lié aux intérêts américains.
Dans le cadre du sommet de l’OTAN qui se tient, à Madrid, dans un contexte militaire très tendu entre l’Occident et la Russie, Joe Biden
Le comte de Ségur rapporte qu’à la veille d’envahir la Russie, le 24 juin 1812, l’Empereur tomba de cheval sur la rive du Niémen.
Biden a donc pris soin, dans sa tribune, de changer de ton et de faire passer des messages à Moscou : « Nous ne recherchons pas une guerre entre l’OTAN et la Russie… »
Les personnes noires comprennent qu’elles n’ont pas été nommées pour les bonnes raisons et que les démocrates n’ont aucun désir de prendre en compte leur avis.
Au nom de son cœur qui saigne et des larmes qui lui viennent tellement facilement, invoquant Dieu à la moindre occasion, le président Biden a pris l’habitude de se lâcher : il dit, sans filtre, ce qui lui passe par la tête.
Joe Biden n’a aucun plan d’action prévu pour la frontière mexicaine, tout n’est qu’incohérences.
La mesure prise par l’administration Biden fait craindre une explosion des passages illégaux à la frontière mexicaine et une crise humanitaire sans précédent.
La révocation de la mesure 42 fait craindre aux républicains un raz-de-marée de clandestins sans précédent, venus d’Amérique centrale et d’Haïti
Ce mardi 5 avril, Barack Obama, 44e président des États-Unis, était de retour à la Maison-Blanche.
Les propos hasardeux du président américain ont des conséquences en Europe – continent sur lequel se déroule le conflit armé -, ils perturbent la stratégie des Européens qui maintiennent coûte que coûte le dialogue avec Vladimir Poutine.
La venue éclair de Joe Biden à Bruxelles est surtout le symbole de l’alignement européen sur la politique américaine, que souligne de façon éclatante la présence du président américain au Conseil européen.
Le 16 mars dernier, Joe Biden n’avait pas hésité à qualifier Vladimir Poutine de « criminel de guerre »…
Le dossier chinois était un premier pas. Quid du dossier liant les Biden avec l’Ukraine en cette période très tendue ?
47 % des Américains se considèrent républicains, face à 42 % de démocrates.
Quel que soit le récit auquel nous adhérons – monde multipolaire contre monde unipolaire ou lutte des démocraties contre les autocraties -, un constat cruel s’impose : c’est à Moscou et à Washington que se décide l’avenir de l’Europe.
Joe Biden est au moins fort d’une équipe connaissant son métier. D’où ce changement de braquet le poussant à parler aux délaissés du rêve américain ; ceux qui firent la victoire de Ronald Reagan en 1980 et celle de l’inclassable Donald Trump en 2016.
Le combat des républicains américains est aussi le nôtre.
Comme souvent en la matière, le premier à monter au front est Liliam Thuram, l’un de nos champions tricolores, millésime 1998…
Le citoyen européen pourrait, une fois encore, être le dindon de la farce de ce « poker menteur ».
Ce voyage, c’est peut-être l’occasion de prendre de bonnes idées chez le grand ami Biden.
Joe Biden, qui aura 80 ans durant ce mois de novembre, accumule les gaffes depuis le début de sa prise de fonction à la Maison-Blanche.
Quoi qu’il en soit, si les démocrates devaient perdre la majorité à la Chambre des représentants et au Sénat, Joe Biden ne bénéficierait pas d’un 49-3 à l’américaine et ne pourrait plus faire ce qu’il veut…
Si la situation internationale n’était pas si inquiétante, on dirait que cet homme a malgré tout le don de remettre un peu de poésie dans la vie de tous les jours.
La candidate républicaine Liz Cheney, fille de l’ancien vice-président Dick Cheney, a perdu la primaire face à son adversaire ouvertement pro-Trump.
Une demande déjà formulée l’été précédent, les élus évoquant un « déclin mental » corroboré par une série d’oublis et de bourdes.
Joe Biden incarne jusqu’à la caricature le moralisme progressiste occidental qui s’arroge le droit de donner des leçons au monde entier sans jamais balayer devant sa porte.
Très critiquée aux États-Unis, la rencontre entre Joe Biden et Mohammed ben Salmane n’a donc débouché sur rien.
Les grands principes énoncés ici et là sont à géométrie variable et l’ajustement de la variable est étroitement lié aux intérêts américains.
Dans le cadre du sommet de l’OTAN qui se tient, à Madrid, dans un contexte militaire très tendu entre l’Occident et la Russie, Joe Biden
Le comte de Ségur rapporte qu’à la veille d’envahir la Russie, le 24 juin 1812, l’Empereur tomba de cheval sur la rive du Niémen.
Biden a donc pris soin, dans sa tribune, de changer de ton et de faire passer des messages à Moscou : « Nous ne recherchons pas une guerre entre l’OTAN et la Russie… »
Les personnes noires comprennent qu’elles n’ont pas été nommées pour les bonnes raisons et que les démocrates n’ont aucun désir de prendre en compte leur avis.
Au nom de son cœur qui saigne et des larmes qui lui viennent tellement facilement, invoquant Dieu à la moindre occasion, le président Biden a pris l’habitude de se lâcher : il dit, sans filtre, ce qui lui passe par la tête.
Joe Biden n’a aucun plan d’action prévu pour la frontière mexicaine, tout n’est qu’incohérences.
La mesure prise par l’administration Biden fait craindre une explosion des passages illégaux à la frontière mexicaine et une crise humanitaire sans précédent.
La révocation de la mesure 42 fait craindre aux républicains un raz-de-marée de clandestins sans précédent, venus d’Amérique centrale et d’Haïti
Ce mardi 5 avril, Barack Obama, 44e président des États-Unis, était de retour à la Maison-Blanche.
Les propos hasardeux du président américain ont des conséquences en Europe – continent sur lequel se déroule le conflit armé -, ils perturbent la stratégie des Européens qui maintiennent coûte que coûte le dialogue avec Vladimir Poutine.
La venue éclair de Joe Biden à Bruxelles est surtout le symbole de l’alignement européen sur la politique américaine, que souligne de façon éclatante la présence du président américain au Conseil européen.
Le 16 mars dernier, Joe Biden n’avait pas hésité à qualifier Vladimir Poutine de « criminel de guerre »…
Le dossier chinois était un premier pas. Quid du dossier liant les Biden avec l’Ukraine en cette période très tendue ?
47 % des Américains se considèrent républicains, face à 42 % de démocrates.
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