Joe Biden
Malgré les appels belliqueux de BHL, dont on feint d’oublier les meurtrières erreurs, l’Union européenne ne fait pas encore la guerre, mais désormais, elle achète et fournit des armes à un belligérant en dehors de ses compétences reconnues par les traités.
Cette semaine est décidément bien chargée : Valérie Pécresse passionnée par un agriculteur, Raphaël Enthoven prêt à faire la guerre, la ville de Paris en « zone apaisée » et, toujours en pointe, Sandrine Rousseau.
Joe Biden joue sa dernière carte. Le coup de poker diplomatique sera-t-il possible ?
L’Amérique nous pousse-t-elle à la guerre ? L’essayiste Nikola Mirkovic publie L’Amérique empire. Il revient sur la politique américaine qu’il qualifie d’impérialiste et de belliqueuse
Un an après, même la presse américaine qui le soutint tant doit reconnaître que le mandat est bien mal engagé.
Force est de constater que pour tous les titres de presse américains, de tous bords, Trump est le seul compétiteur possible.
Tous rejoignent Newsweek : « Aucun président de l’ère moderne, pas Jimmy Carter, pas même Donald Trump, n’est tombé en disgrâce si rapidement et si tôt dans une présidence. » Joe Biden le reconnaît d’ailleurs lui-même…
Pour Mike Pompeo, secrétaire d’État du président Trump et ancien directeur de la CIA, « la vice-présidente déshonore les États-Unis sur la scène internationale ».
On attendait des excuses, on a été servis ! Une séance publique où le Président français, la main gauche crispée sur le genou, doit avaler cet évident mensonge.
Fin septembre, Ben Schreckinger, reporter pour le journal américain de centre gauche Politico, publiait un livre-enquête sur l’ascension de la première famille des États-Unis : The Bidens.
Pendant quatre ans, ils ont fusillé Trump jour après jour, parce qu’il était « populiste », parce que son style était vulgaire, qu’il n’était pas digne de l’oligarchie mondialiste et progressiste qui doit diriger la planète.
L’Amérique s’est ridiculisée et son président joue encore les fiers-à-bras.
Pour imaginer ce que serait la première femme présidente des USA, fermez les yeux et pensez à la verve d’Anne Hidalgo, la sagacité de Marlène Schiappa et le progressisme des deux. Ça laisse rêveur, n’est-ce pas ?
Ancien militaire Marine de 42 ans, DeSantis est un gouverneur très apprécié par une large majorité des Floridiens. Il est, de plus, pressenti pour occuper un jour la fonction suprême à Washington.
Une belle victoire pour la fin du règne de Merkel qui a clairement montré à l’Europe que l’on pouvait résister aux diktats américains.
Course à la pleurniche, excuses publiques, chasse aux sorcières…
Il est vrai que l’actuelle alliance de fait russo-chinoise, singulièrement déséquilibrée aux dépens de Moscou, n’a pu prendre corps que par l’incurie d’une administration américaine en proie à un tropisme antirusse remontant aux heures de l’URSS…
La fin d’un état de grâce ?
Voici que quelques mois plus tard, c’est ce même Biden, auréolé de sa victoire tant attendue par le monde libre (Français en tête), qui fait part de ses soupçons et jette son pavé dans la mer de Chine !
Permettre la fin du chantier de Nord Stream 2, sauf retournement, est une concession majeure.
Les évêques ne sont pas unanimes sur le sujet.
Au vu des principales mesures prises dans les domaines essentiels, on pourrait qualifier sa politique de socialo-mondialo-progressiste, à un niveau inédit…
Bref, si Donald Trump était « clivant », comme on dit, Joe Biden ne l’est pas moins…
Même Xi Jingping s’y est mis, annonçant prudemment l’objectif d’une neutralité carbone d’ici 2060 (on a le temps de voir venir).
Pour les victimes mondiales de l’ingérence américaine, la plus grande terreur n’est pas le suprémacisme blanc mais le suprémacisme de la Maison-Blanche.
Biden profite donc de la politique de Trump, mais qui donc le souligne, en France ?
Nos bons « démocrates » se sont réjouis, à tort, de l’échec de Joe Trump, qui avait l’avantage d’être un ennemi identifié : ils feraient mieux de préparer leurs mouchoirs pour accueillir Donald Biden, un prétendu « ami »…
À la place de Donald Trump, on se claquerait les cuisses de rire.
Malgré les appels belliqueux de BHL, dont on feint d’oublier les meurtrières erreurs, l’Union européenne ne fait pas encore la guerre, mais désormais, elle achète et fournit des armes à un belligérant en dehors de ses compétences reconnues par les traités.
Cette semaine est décidément bien chargée : Valérie Pécresse passionnée par un agriculteur, Raphaël Enthoven prêt à faire la guerre, la ville de Paris en « zone apaisée » et, toujours en pointe, Sandrine Rousseau.
Joe Biden joue sa dernière carte. Le coup de poker diplomatique sera-t-il possible ?
L’Amérique nous pousse-t-elle à la guerre ? L’essayiste Nikola Mirkovic publie L’Amérique empire. Il revient sur la politique américaine qu’il qualifie d’impérialiste et de belliqueuse
Un an après, même la presse américaine qui le soutint tant doit reconnaître que le mandat est bien mal engagé.
Force est de constater que pour tous les titres de presse américains, de tous bords, Trump est le seul compétiteur possible.
Tous rejoignent Newsweek : « Aucun président de l’ère moderne, pas Jimmy Carter, pas même Donald Trump, n’est tombé en disgrâce si rapidement et si tôt dans une présidence. » Joe Biden le reconnaît d’ailleurs lui-même…
Pour Mike Pompeo, secrétaire d’État du président Trump et ancien directeur de la CIA, « la vice-présidente déshonore les États-Unis sur la scène internationale ».
On attendait des excuses, on a été servis ! Une séance publique où le Président français, la main gauche crispée sur le genou, doit avaler cet évident mensonge.
Fin septembre, Ben Schreckinger, reporter pour le journal américain de centre gauche Politico, publiait un livre-enquête sur l’ascension de la première famille des États-Unis : The Bidens.
Pendant quatre ans, ils ont fusillé Trump jour après jour, parce qu’il était « populiste », parce que son style était vulgaire, qu’il n’était pas digne de l’oligarchie mondialiste et progressiste qui doit diriger la planète.
L’Amérique s’est ridiculisée et son président joue encore les fiers-à-bras.
Pour imaginer ce que serait la première femme présidente des USA, fermez les yeux et pensez à la verve d’Anne Hidalgo, la sagacité de Marlène Schiappa et le progressisme des deux. Ça laisse rêveur, n’est-ce pas ?
Ancien militaire Marine de 42 ans, DeSantis est un gouverneur très apprécié par une large majorité des Floridiens. Il est, de plus, pressenti pour occuper un jour la fonction suprême à Washington.
Une belle victoire pour la fin du règne de Merkel qui a clairement montré à l’Europe que l’on pouvait résister aux diktats américains.
Course à la pleurniche, excuses publiques, chasse aux sorcières…
Il est vrai que l’actuelle alliance de fait russo-chinoise, singulièrement déséquilibrée aux dépens de Moscou, n’a pu prendre corps que par l’incurie d’une administration américaine en proie à un tropisme antirusse remontant aux heures de l’URSS…
La fin d’un état de grâce ?
Voici que quelques mois plus tard, c’est ce même Biden, auréolé de sa victoire tant attendue par le monde libre (Français en tête), qui fait part de ses soupçons et jette son pavé dans la mer de Chine !
Permettre la fin du chantier de Nord Stream 2, sauf retournement, est une concession majeure.
Les évêques ne sont pas unanimes sur le sujet.
Au vu des principales mesures prises dans les domaines essentiels, on pourrait qualifier sa politique de socialo-mondialo-progressiste, à un niveau inédit…
Bref, si Donald Trump était « clivant », comme on dit, Joe Biden ne l’est pas moins…
Même Xi Jingping s’y est mis, annonçant prudemment l’objectif d’une neutralité carbone d’ici 2060 (on a le temps de voir venir).
Pour les victimes mondiales de l’ingérence américaine, la plus grande terreur n’est pas le suprémacisme blanc mais le suprémacisme de la Maison-Blanche.
Biden profite donc de la politique de Trump, mais qui donc le souligne, en France ?
Nos bons « démocrates » se sont réjouis, à tort, de l’échec de Joe Trump, qui avait l’avantage d’être un ennemi identifié : ils feraient mieux de préparer leurs mouchoirs pour accueillir Donald Biden, un prétendu « ami »…
À la place de Donald Trump, on se claquerait les cuisses de rire.
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