Joe Biden

Biden, qui reprochait son agressivité diplomatique à Trump, fait finalement la même chose que lui sur le plan commercial, les droits de l’homme en plus.

Ah, si Jeanne Calment était toujours de ce monde, bien sûr qu’il l’aurait choisie pour vice-présidente.

Contrairement à ce qui a été martelé par les grands médias pendant quatre ans, l’homme dangereux à la tête des États-Unis n’était pas Trump, c’est aujourd’hui Biden.

Plus de 100.000 clandestins ont été arrêtés en février par les gardes-frontières, soit 28 % de plus qu’en janvier, avant la prise de fonction de Joe Biden.
Ces propos ont été qualifiés d’« insulte » aux Russes et d’« attaque » contre son pays par le président de la chambre basse du Parlement russe, Viatcheslav Volodine.

Mercredi 17 mars, le président des États-Unis, Joe Biden, a affirmé, lors d’une interview, que Vladimir Poutine était « un tueur » et qu’il en
C’était bien la peine de railler Donald Trump, ses propos à l’emporte-pièce et la très personnelle manière qu’il avait de parler d’abord et de réfléchir ensuite.
Pour les républicains, Joe Biden est responsable de cette situation : en promettant un accueil plus généreux que Donald Trump, il a en d’avoir provoqué un appel d’air.

Chose promise, chose faite : par ses promesses et les décrets pris dès son entrée en fonction, Joe Biden a ouvert grand les vannes à l’immigration massive, et particulièrement à celle de mineurs non accompagnés.

C’est vrai qu’il en a fallu, du courage, pour déballer tout ça.

Biden veut redonner à l’Amérique son rôle de gendarme du monde, se plaçant, à l’instar de Clinton ou de Bush, comme celui qui dit le bien ou le mal.

Avec son plan, Biden joue à quitte ou double !

Trump voulait laisser de l’autonomie aux Européens, pas Biden.

À peine élu, Joe Biden a signé un décret permettant, de nouveau, au gouvernement américain de financer les ONG offrant des services d’avortements dans le monde.

Ainsi Joe Biden a-t-il réservé son premier coup de téléphone européen à Emmanuel Macron.

Le 20 janvier, jour de son intronisation, Joe Biden a signé un décret qui autorise désormais les athlètes transgenres biologiquement masculins à concourir dans les sports féminins.

Un spectacle à la fois navrant et pathétique de déjà-vu, une sorte de musée Grévin genderisé, un mixte très kitsch de politique et de reality-show…

Le gouvernement de l’octogénaire en herbe de la Maison-Blanche s’annonce donc comme une vitrine dédiée aux minorités.

Il faudrait être bien naïf pour croire qu’un changement de locataire à la Maison-Blanche puisse changer quoi que ce soit à la couleur des orientations géostratégiques de Washington.

Joe Biden affiche sa volonté de remettre en place un leadership mondial américain aux accents bellicistes. Cela ne peut que nous inquiéter après le mandat de Donald Trump marqué par des années sans aventure militaire.
Durant le mandat de Trump, la capitalisation de Facebook a augmenté de 150 %, celle d’Amazon de 450 %, celle de Microsoft de plus de 300 %.
La digue Trump, déjà fissurée durant quatre ans par les inlassables coups de boutoir de la propagande, s’est effondrée, conséquence d’élections dignes de la plus bananière des républiques.

Il faut que les Français perçoivent d’où vient la menace : elle sera plus présente avec Biden qu’avec Trump !

Qui pourrait imaginer que les deux candidats que tout oppose puissent se serrer la main avec le plus large et le plus hypocrite des sourires devant le monde entier ?

Joe Biden va devoir apprendre à jouer aux échecs, ce jeu jadis inventé par les Perses.
L’isolationnisme de Donald Trump n’avait pas que des inconvénients.

Les recours judiciaires sont donc quasiment désormais épuisés pour le président Trump.

Les Etats-Unis sont, désormais, menacés de perdre leur réputation de « première démocratie du monde »…

Biden, qui reprochait son agressivité diplomatique à Trump, fait finalement la même chose que lui sur le plan commercial, les droits de l’homme en plus.

Ah, si Jeanne Calment était toujours de ce monde, bien sûr qu’il l’aurait choisie pour vice-présidente.

Contrairement à ce qui a été martelé par les grands médias pendant quatre ans, l’homme dangereux à la tête des États-Unis n’était pas Trump, c’est aujourd’hui Biden.

Plus de 100.000 clandestins ont été arrêtés en février par les gardes-frontières, soit 28 % de plus qu’en janvier, avant la prise de fonction de Joe Biden.
Ces propos ont été qualifiés d’« insulte » aux Russes et d’« attaque » contre son pays par le président de la chambre basse du Parlement russe, Viatcheslav Volodine.

Mercredi 17 mars, le président des États-Unis, Joe Biden, a affirmé, lors d’une interview, que Vladimir Poutine était « un tueur » et qu’il en
C’était bien la peine de railler Donald Trump, ses propos à l’emporte-pièce et la très personnelle manière qu’il avait de parler d’abord et de réfléchir ensuite.
Pour les républicains, Joe Biden est responsable de cette situation : en promettant un accueil plus généreux que Donald Trump, il a en d’avoir provoqué un appel d’air.

Chose promise, chose faite : par ses promesses et les décrets pris dès son entrée en fonction, Joe Biden a ouvert grand les vannes à l’immigration massive, et particulièrement à celle de mineurs non accompagnés.

C’est vrai qu’il en a fallu, du courage, pour déballer tout ça.

Biden veut redonner à l’Amérique son rôle de gendarme du monde, se plaçant, à l’instar de Clinton ou de Bush, comme celui qui dit le bien ou le mal.

Avec son plan, Biden joue à quitte ou double !

Trump voulait laisser de l’autonomie aux Européens, pas Biden.

À peine élu, Joe Biden a signé un décret permettant, de nouveau, au gouvernement américain de financer les ONG offrant des services d’avortements dans le monde.

Ainsi Joe Biden a-t-il réservé son premier coup de téléphone européen à Emmanuel Macron.

Le 20 janvier, jour de son intronisation, Joe Biden a signé un décret qui autorise désormais les athlètes transgenres biologiquement masculins à concourir dans les sports féminins.

Un spectacle à la fois navrant et pathétique de déjà-vu, une sorte de musée Grévin genderisé, un mixte très kitsch de politique et de reality-show…

Le gouvernement de l’octogénaire en herbe de la Maison-Blanche s’annonce donc comme une vitrine dédiée aux minorités.

Il faudrait être bien naïf pour croire qu’un changement de locataire à la Maison-Blanche puisse changer quoi que ce soit à la couleur des orientations géostratégiques de Washington.

Joe Biden affiche sa volonté de remettre en place un leadership mondial américain aux accents bellicistes. Cela ne peut que nous inquiéter après le mandat de Donald Trump marqué par des années sans aventure militaire.
Durant le mandat de Trump, la capitalisation de Facebook a augmenté de 150 %, celle d’Amazon de 450 %, celle de Microsoft de plus de 300 %.
La digue Trump, déjà fissurée durant quatre ans par les inlassables coups de boutoir de la propagande, s’est effondrée, conséquence d’élections dignes de la plus bananière des républiques.

Il faut que les Français perçoivent d’où vient la menace : elle sera plus présente avec Biden qu’avec Trump !

Qui pourrait imaginer que les deux candidats que tout oppose puissent se serrer la main avec le plus large et le plus hypocrite des sourires devant le monde entier ?

Joe Biden va devoir apprendre à jouer aux échecs, ce jeu jadis inventé par les Perses.
L’isolationnisme de Donald Trump n’avait pas que des inconvénients.

Les recours judiciaires sont donc quasiment désormais épuisés pour le président Trump.

Les Etats-Unis sont, désormais, menacés de perdre leur réputation de « première démocratie du monde »…
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