Joe Biden
Malgré des apparences parfois trompeuses et un style pour le moins particulier, Donald Trump sait faire de la politique…
Alors, le 3 novembre au soir, Donald Trump est réélu, à la sortie des urnes, avec 340 ou 360 grands électeurs…Et, le 1er janvier, le président, c’est Biden…
les démocrates n’ont jamais accepté que le peuple américain, par la voix de leurs délégués, n’ait pas choisi leur candidate Hillary Clinton, en dépit du matraquage médiatique.
La reprise du mouvement Black Lives Matter, suite au meurtre de George Floyd, en mai 2020, semble avoir renforcé Donald Trump plus qu’elle ne l’a affaibli.
Dans un contexte électoral ultra-tendu et seulement quelques semaines après l’affaire George Floyd, un jeune Noir américain de 29 ans, Jacob Blake, a été abattu
La candidate n’est pas issue d’un milieu défavorisé…
En 2016, Trump se présente comme un populiste. Il gagne. Hillary Clinton se présente comme une mondialiste. Elle perd.
Il reste un peu plus de trois mois à Trump pour redevenir le révolutionnaire qu’il était en 2016.
Joe Biden, candidat démocrate à la présidence des USA, a déclaré : « […] Je vais vous dire, si vous avez un problème pour décider si vous êtes pour moi ou pour Trump, alors vous n’êtes pas Noir. »
D’où vient le coup ? Pas de Trump qui a tout intérêt à conserver Biden.
L’élection va probablement se réduire à un choix entre le désigné de l’establishment, Biden, qui sera manipulé via sa future vice-présidente par le clan Obama, et Trump…
Le parti démocrate s’est donc réveillé ces derniers jours et a pris conscience qu’il lui fallait réagir très rapidement pour éviter un débordement par l’ancien admirateur de Fidel Castro. Il semblerait alors que Hillary Clinton, dont l’influence est encore énorme au sein de son camp, ait décidé de s’y coller.
Buttigieg a l’appui de Wall Street (il a travaillé chez McKinsey), se présente comme un « modéré » provincial et anti-Washington…
C’est chose faite : le mouton noir a été acquitté, mais pas tout à fait dans la gloire…
Qu’on aime ou pas la personne de Donald Trump et – ce qui est très différent – qu’on approuve ou non sa politique économique ne doit pas
Cet impeachment de Trump révèle l’ampleur de la morgue et de la corruption de la nomenklatura progressiste américaine.
L’ex-vice-président d’Obama, Joe Biden, va annoncer mercredi sa candidature à l’élection.
Malgré des apparences parfois trompeuses et un style pour le moins particulier, Donald Trump sait faire de la politique…
Alors, le 3 novembre au soir, Donald Trump est réélu, à la sortie des urnes, avec 340 ou 360 grands électeurs…Et, le 1er janvier, le président, c’est Biden…
les démocrates n’ont jamais accepté que le peuple américain, par la voix de leurs délégués, n’ait pas choisi leur candidate Hillary Clinton, en dépit du matraquage médiatique.
La reprise du mouvement Black Lives Matter, suite au meurtre de George Floyd, en mai 2020, semble avoir renforcé Donald Trump plus qu’elle ne l’a affaibli.
Dans un contexte électoral ultra-tendu et seulement quelques semaines après l’affaire George Floyd, un jeune Noir américain de 29 ans, Jacob Blake, a été abattu
La candidate n’est pas issue d’un milieu défavorisé…
En 2016, Trump se présente comme un populiste. Il gagne. Hillary Clinton se présente comme une mondialiste. Elle perd.
Il reste un peu plus de trois mois à Trump pour redevenir le révolutionnaire qu’il était en 2016.
Joe Biden, candidat démocrate à la présidence des USA, a déclaré : « […] Je vais vous dire, si vous avez un problème pour décider si vous êtes pour moi ou pour Trump, alors vous n’êtes pas Noir. »
D’où vient le coup ? Pas de Trump qui a tout intérêt à conserver Biden.
L’élection va probablement se réduire à un choix entre le désigné de l’establishment, Biden, qui sera manipulé via sa future vice-présidente par le clan Obama, et Trump…
Le parti démocrate s’est donc réveillé ces derniers jours et a pris conscience qu’il lui fallait réagir très rapidement pour éviter un débordement par l’ancien admirateur de Fidel Castro. Il semblerait alors que Hillary Clinton, dont l’influence est encore énorme au sein de son camp, ait décidé de s’y coller.
Buttigieg a l’appui de Wall Street (il a travaillé chez McKinsey), se présente comme un « modéré » provincial et anti-Washington…
C’est chose faite : le mouton noir a été acquitté, mais pas tout à fait dans la gloire…
Qu’on aime ou pas la personne de Donald Trump et – ce qui est très différent – qu’on approuve ou non sa politique économique ne doit pas
Cet impeachment de Trump révèle l’ampleur de la morgue et de la corruption de la nomenklatura progressiste américaine.
L’ex-vice-président d’Obama, Joe Biden, va annoncer mercredi sa candidature à l’élection.