Kim Jong-un
Le feuilleton opposant les USA et la Corée du Nord n’en finit pas, puisque remontant désormais à 1953, année à laquelle fut édifiée la ligne
Cet homme, instruit aurait-il trouvé dans le président américain son meilleur confident-partenaire pour une ouverture possible de son pays ?
Au-delà de l’effet d’annonce, est-ce que cela change fondamentalement quelque chose à la situation dans la région ? Non.
En rompant avec sa « realpolitik » d’autrefois, la Maison-Blanche ne cesse désormais d’obtenir l’exact contraire de ses objectifs d’origine.
L’administration est donc un faux nez des néocons, et Trump en est le pantin.
Entendre des commentateurs occidentaux agiter la menace d’une déflagration mondiale à cause du « fou » nord-coréen est proprement insensé.
Ainsi, l’habit ne fait pas le moine. Depuis longtemps, déjà, ceux qui font la paix ne sont pas les plus onctueux, ni les moins rudes ; ceux qui font la guerre ont souvent l’air de gens très convenables.
Aux États-Unis comme en Europe, le réveil est brutal. Durera-t-il ? Voilà la question.
La parfaite dramaturgie récemment déployée par la « bande des quatre » est impeccable.
Kim Jong-un est-il passé en un trait de temps du statut de dictateur sanguinaire à celui de gouvernant suprême lucide et responsable ?
La posture nord-coréenne rappelle à certains égards celle de la France et de la création de sa Force de frappe.
Nous n’avons d’autre choix que de soutenir une démocratie contre une dictature sanguinaire.
Que fait-on devant deux « mâles dominants » qui ont moins de cervelle que de testostérone et sous les doigts tout ce qu’il faut pour vitrifier la planète ?
Le feuilleton opposant les USA et la Corée du Nord n’en finit pas, puisque remontant désormais à 1953, année à laquelle fut édifiée la ligne
Cet homme, instruit aurait-il trouvé dans le président américain son meilleur confident-partenaire pour une ouverture possible de son pays ?
Au-delà de l’effet d’annonce, est-ce que cela change fondamentalement quelque chose à la situation dans la région ? Non.
En rompant avec sa « realpolitik » d’autrefois, la Maison-Blanche ne cesse désormais d’obtenir l’exact contraire de ses objectifs d’origine.
L’administration est donc un faux nez des néocons, et Trump en est le pantin.
Entendre des commentateurs occidentaux agiter la menace d’une déflagration mondiale à cause du « fou » nord-coréen est proprement insensé.
Ainsi, l’habit ne fait pas le moine. Depuis longtemps, déjà, ceux qui font la paix ne sont pas les plus onctueux, ni les moins rudes ; ceux qui font la guerre ont souvent l’air de gens très convenables.
Aux États-Unis comme en Europe, le réveil est brutal. Durera-t-il ? Voilà la question.
La parfaite dramaturgie récemment déployée par la « bande des quatre » est impeccable.
Kim Jong-un est-il passé en un trait de temps du statut de dictateur sanguinaire à celui de gouvernant suprême lucide et responsable ?
La posture nord-coréenne rappelle à certains égards celle de la France et de la création de sa Force de frappe.
Nous n’avons d’autre choix que de soutenir une démocratie contre une dictature sanguinaire.
Que fait-on devant deux « mâles dominants » qui ont moins de cervelle que de testostérone et sous les doigts tout ce qu’il faut pour vitrifier la planète ?
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