Langue française
Il serait « inutile de s’acharner à enseigner des orthographes maîtrisées par une minorité de francophones »…
Heureux que l’événement annoncé ne se situe pas à la Cité internationale de la langue française de Villers-Cotterêts !
Apprendre notre langue n’est pas labourer la mer. C’est l’aimer.
À bas le mâle dominant ! La mort du taureau, portant sur son dos Europe, est programmée pour le siècle à venir.
M. Blanquer met-il vraiment tout en œuvre pour éviter la déconstruction de notre langue en imposant des méthodes éprouvées de lecture et d’écriture ainsi qu’un enseignement simple de la grammaire ?
L’occasion de remettre sur le tapis nos obsessions : « l’évolution » de la langue, donc du lexique (entendez l’étymologie latine), à laquelle s’ajouterait celle de la grammaire.
Ce qui importait à Jules Ferry, dont tant de lycées, jusque-là encore, portent le nom, c’est que les Français soient réintégrés dans l’entièreté de leur histoire.
Aucun pédagogiste n’a le droit de confisquer une langue : il faut apprendre aux élèves tous les modes et tous les temps.
Quels sont les arguments pour que le français et l’allemand deviennent les langues de travail et de communication en remplacement de l’anglais ?
En vérité, derrière l’entrée d’un nouveau mot, il y a du fric et de la politique, de l’actu et du laisser-aller, du « multicultu » et de l’idéologie.
L’agrégée, elle, a voulu faire la fête à Schiappa en lui donnant le coup de grâce.
Des campagnes médiatiques devraient soutenir un mouvement général pour la sauvegarde et la régénération moderne du français et j’émets ici le souhait que Boulevard Voltaire soit l’un de ces acteurs.
Faire disparaître l’usage du passé simple de l’enseignement, c’est appauvrir volontairement l’expression de la pensée et donc la pensée elle-même.
Le Conseil d’État vient de donner raison à Vincent You, initiateur de la clause Molière.
Est-il urgent de se triturer le cerveau pour savoir si le féminin doit l’emporter sur le masculin ?
Dans un pays qui compte 20 % de quasi-illettrés à l’entrée en sixième, ça va assurément leur faciliter l’apprentissage de la langue…
Il s’agit que le Français de souche expie.
La meilleure sanction qu’on puisse leur infliger, c’est de dénoncer leur imposture.
Certains professeurs peuvent légitimement faire douter de leur bon sens…
Ils nous ont fabriqué des générations d’illettrés; ils nous fabriqueront bien des générations d’ »a·lettré·es ».
Horreur ! Scandale dans le landerneau : quelle est cette langue qui aurait l’outrecuidance de sanctuariser la mâle domination ?
La France d’aujourd’hui est bel et bien la principale menace qui pèse sur la langue et la culture françaises dans le monde.
Le « burkini » fait son entrée, ou encore le verbe « youyouter »…
L’Union européenne marginalise d’une façon constante, en petites étapes, les langues officielles autres que l’anglais.
Il serait « inutile de s’acharner à enseigner des orthographes maîtrisées par une minorité de francophones »…
Heureux que l’événement annoncé ne se situe pas à la Cité internationale de la langue française de Villers-Cotterêts !
Apprendre notre langue n’est pas labourer la mer. C’est l’aimer.
À bas le mâle dominant ! La mort du taureau, portant sur son dos Europe, est programmée pour le siècle à venir.
M. Blanquer met-il vraiment tout en œuvre pour éviter la déconstruction de notre langue en imposant des méthodes éprouvées de lecture et d’écriture ainsi qu’un enseignement simple de la grammaire ?
L’occasion de remettre sur le tapis nos obsessions : « l’évolution » de la langue, donc du lexique (entendez l’étymologie latine), à laquelle s’ajouterait celle de la grammaire.
Ce qui importait à Jules Ferry, dont tant de lycées, jusque-là encore, portent le nom, c’est que les Français soient réintégrés dans l’entièreté de leur histoire.
Aucun pédagogiste n’a le droit de confisquer une langue : il faut apprendre aux élèves tous les modes et tous les temps.
Quels sont les arguments pour que le français et l’allemand deviennent les langues de travail et de communication en remplacement de l’anglais ?
En vérité, derrière l’entrée d’un nouveau mot, il y a du fric et de la politique, de l’actu et du laisser-aller, du « multicultu » et de l’idéologie.
L’agrégée, elle, a voulu faire la fête à Schiappa en lui donnant le coup de grâce.
Des campagnes médiatiques devraient soutenir un mouvement général pour la sauvegarde et la régénération moderne du français et j’émets ici le souhait que Boulevard Voltaire soit l’un de ces acteurs.
Faire disparaître l’usage du passé simple de l’enseignement, c’est appauvrir volontairement l’expression de la pensée et donc la pensée elle-même.
Le Conseil d’État vient de donner raison à Vincent You, initiateur de la clause Molière.
Est-il urgent de se triturer le cerveau pour savoir si le féminin doit l’emporter sur le masculin ?
Dans un pays qui compte 20 % de quasi-illettrés à l’entrée en sixième, ça va assurément leur faciliter l’apprentissage de la langue…
Il s’agit que le Français de souche expie.
La meilleure sanction qu’on puisse leur infliger, c’est de dénoncer leur imposture.
Certains professeurs peuvent légitimement faire douter de leur bon sens…
Ils nous ont fabriqué des générations d’illettrés; ils nous fabriqueront bien des générations d’ »a·lettré·es ».
Horreur ! Scandale dans le landerneau : quelle est cette langue qui aurait l’outrecuidance de sanctuariser la mâle domination ?
La France d’aujourd’hui est bel et bien la principale menace qui pèse sur la langue et la culture françaises dans le monde.
Le « burkini » fait son entrée, ou encore le verbe « youyouter »…
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