Laurent Wauquiez
La liberté de penser, d’écrire, de parler, ce n’est pas n’importe quoi dans l’instant pour avoir à le réparer demain. C’est, au contraire, ne rien dire aujourd’hui qu’on ne puisse pas défendre, justifier demain
Nadine Morano déplore la polémique suscitée par les récents propos de Laurent Wauquiez et fustige la « méthode de voyous » des cadres de LR atteints de « macronite aiguë » qui ont pris ce prétexte pour quitter le parti.

Oh mon Dieu ! Laurent Wauquiez ose s’exprimer sans langue de bois, devant des étudiants et voilà que toutes les chaînes d’information s’emballent comme si un cataclysme s’abattait sur la France.

Laurent Wauquiez a-t-il ou non prémédité ses « dérapages » ? Peu importe. C’est son « parler vrai » qui a bousculé le microcosme politico-médiatique.
Voilà donc Wauquiez, fort en thème mais nul en vie. Tellement imbu de sa personne et gonflé de son importance que sa grosse tête l’emporte.
Plausibles ou non ?
La question de possibles alliances politiques serait à nouveau envisageable. Surtout avec un Laurent Wauquiez manifestement décidé à rompre avec la traditionnelle langue de bois de son camp d’origine.
Wauquiez, Normalien, Énarque, 1er à l’Agrégation d’histoire, semble être un homme de valeur et de conviction.

Le moins que l’on puisse dire, c’est que Laurent Wauquiez s’est montré imprudent.
« J’ai contacté des avocats qui m’ont bien confirmé que les images en question relevaient bien de l’apologie de la pédophilie.«
Il y a toujours plusieurs façons d’interpréter des résultats électoraux, surtout lors d’élections partielles dont la participation est très faible.
Les Républicains se sont enfin choisi à leur tour leur Napoléon.
Laurent Wauquiez remet sa famille politique sur les rails de la reconstruction, et non de la réinvention chère à Mme Pécresse.
Parlez de la France, du dilemme de l’immigration, de l’islam et vous êtes immédiatement suspecté de collusion avec le Front national, les populistes, etc.
Laurent Wauquiez a effectué, jeudi soir, sa rentrée politique sur France 2. Guillaume Bernard analyse sa prestation et la stratégie qu’elle sous-tend au micro de Boulevard Voltaire.
Malgré le jeunisme ambiant, c’est souvent dans les vieilles gamelles qu’on mitonne les meilleures soupes.
Les médias « mainstream » de notre beau pays ont parfaitement compris la manière utilisée par leurs homologues américains pour « tuer » Trump.

Lorsque l’on examine de près la garde rapprochée de Laurent Wauquiez, on s’aperçoit qu’elle est composée de centristes et d’opportuniste.

Les commentaires vont bon train sur le vide du projet LR et sur son absence de cohérence idéologique.
Nicolas Bay, secrétaire général du Front national et député européen, réagit à l’élection de Laurent Wauquiez.
La droite n’a plus à se repentir d’être de droite.
Dimanche, Les Républicains ont élu Laurent Wauquiez à une forte majorité. Guillaume Bernard confie à Boulevard Voltaire sa réaction.
Encore un petit effort pour jouer dans la cour des grands, jeune homme.
Nous ne serons le marchepied de personne. Nous voulons juste faire la courte échelle à la France.
Ce serait une nouvelle étape dans la recomposition politique en cours.

Enchantement peut-être plus, en tout cas séduction encore ?
Ne pouvant s’attaquer directement à une élection démocratique, ils font le choix de diaboliser Wauquiez.
Contre toute attente, Marine Le Pen a déclaré qu’elle était prête à passer un accord avec Laurent Wauquiez, notamment pour les municipales de 2020.
La liberté de penser, d’écrire, de parler, ce n’est pas n’importe quoi dans l’instant pour avoir à le réparer demain. C’est, au contraire, ne rien dire aujourd’hui qu’on ne puisse pas défendre, justifier demain
Nadine Morano déplore la polémique suscitée par les récents propos de Laurent Wauquiez et fustige la « méthode de voyous » des cadres de LR atteints de « macronite aiguë » qui ont pris ce prétexte pour quitter le parti.

Oh mon Dieu ! Laurent Wauquiez ose s’exprimer sans langue de bois, devant des étudiants et voilà que toutes les chaînes d’information s’emballent comme si un cataclysme s’abattait sur la France.

Laurent Wauquiez a-t-il ou non prémédité ses « dérapages » ? Peu importe. C’est son « parler vrai » qui a bousculé le microcosme politico-médiatique.
Voilà donc Wauquiez, fort en thème mais nul en vie. Tellement imbu de sa personne et gonflé de son importance que sa grosse tête l’emporte.
Plausibles ou non ?
La question de possibles alliances politiques serait à nouveau envisageable. Surtout avec un Laurent Wauquiez manifestement décidé à rompre avec la traditionnelle langue de bois de son camp d’origine.
Wauquiez, Normalien, Énarque, 1er à l’Agrégation d’histoire, semble être un homme de valeur et de conviction.

Le moins que l’on puisse dire, c’est que Laurent Wauquiez s’est montré imprudent.
« J’ai contacté des avocats qui m’ont bien confirmé que les images en question relevaient bien de l’apologie de la pédophilie.«
Il y a toujours plusieurs façons d’interpréter des résultats électoraux, surtout lors d’élections partielles dont la participation est très faible.
Les Républicains se sont enfin choisi à leur tour leur Napoléon.
Laurent Wauquiez remet sa famille politique sur les rails de la reconstruction, et non de la réinvention chère à Mme Pécresse.
Parlez de la France, du dilemme de l’immigration, de l’islam et vous êtes immédiatement suspecté de collusion avec le Front national, les populistes, etc.
Laurent Wauquiez a effectué, jeudi soir, sa rentrée politique sur France 2. Guillaume Bernard analyse sa prestation et la stratégie qu’elle sous-tend au micro de Boulevard Voltaire.
Malgré le jeunisme ambiant, c’est souvent dans les vieilles gamelles qu’on mitonne les meilleures soupes.
Les médias « mainstream » de notre beau pays ont parfaitement compris la manière utilisée par leurs homologues américains pour « tuer » Trump.

Lorsque l’on examine de près la garde rapprochée de Laurent Wauquiez, on s’aperçoit qu’elle est composée de centristes et d’opportuniste.

Les commentaires vont bon train sur le vide du projet LR et sur son absence de cohérence idéologique.
Nicolas Bay, secrétaire général du Front national et député européen, réagit à l’élection de Laurent Wauquiez.
La droite n’a plus à se repentir d’être de droite.
Dimanche, Les Républicains ont élu Laurent Wauquiez à une forte majorité. Guillaume Bernard confie à Boulevard Voltaire sa réaction.
Encore un petit effort pour jouer dans la cour des grands, jeune homme.
Nous ne serons le marchepied de personne. Nous voulons juste faire la courte échelle à la France.
Ce serait une nouvelle étape dans la recomposition politique en cours.

Enchantement peut-être plus, en tout cas séduction encore ?
Ne pouvant s’attaquer directement à une élection démocratique, ils font le choix de diaboliser Wauquiez.
Contre toute attente, Marine Le Pen a déclaré qu’elle était prête à passer un accord avec Laurent Wauquiez, notamment pour les municipales de 2020.
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