Libération
En affirmant tout et le contraire de tout en moins de 24 heures, Libération nous monte un énorme bateau.
La religion comme opium du peuple ? C’est, selon Libé, la « principale explication » à l’explosion des conversions !
Lui-même perdu dans le capharnaüm des ressentis, le vaillant journaliste a cru identifier sept bizarreries méconnues.
Selon le quotidien parisien, le champion de natation aurait surtout profité d’une forme de « reproduction sociale »…
Malheur à l’enfant qui, issu de la caste mandarinale des profs de gauche, s’obstine pourtant à voter pour Marine le Pen.
Le métier de dessinateur de presse serait-il en passe de devenir à hauts risques ?
Joffrin sera-t-il entendu de ses amis de gauche ? On en doute…
Face à cette mise à l’écart de l’enfant, les chroniqueurs proposent l’extrême inverse : sa mise en avant, à outrance.
On n’est pas sûr que Libé aurait laissé la parole avec autant de facilité à d’autres opinions.
La vérité est que la campagne de harcèlement des SG n’a eu que peu d’incidence sur le développement de BV.
Dernière couche de vernis : une haine du sacré, chez Libé, qui relève de l’obsession.
Stanislas est, pour la gauche, la statue du Commandeur. Un reproche vivant. La preuve de leur échec patent.
La dimension religieuse de la Nativité semble passer totalement par-dessus la tête de Libé.
Libération se saisit du dossier et énumère les lourdes charges qui pèsent contre l’insolent.
Contre vents et marées, le chercheur de Libération déroule doctement sa théorie du complot d’extrême-droite.
Cet épisode déplorable discrédite une nouvelle fois la presse bien-pensante.
C’est en même temps, quand voulant faire plaisir à tel ou tel, qu’on finit par se fâcher avec tout le monde.
Fronta, sera donc prochainement la nouvelle arme de destruction massive à destination de Marine Le Pen
C’est curieux, chez les gens tolérants, ce besoin de juger.
Union des gauches, féminisme, militantisme, laïcité : les sujets qui taraudent la gauche ont tous été abordés…
Joyeux anniversaire quand même à Libération qui n’a jamais aussi mal porté son nom qu’aujourd’hui.
Le tout est, bien sûr, financé ou cofinancé par la Commission européenne.
« Le Puy du Fourbe ». Le jeu de mots est malin, l’attaque est cinglante.
On ne sert pas au public ce dont il a envie : on part du principe que ces idiots de spectateurs achèteront ce qu’on leur vend. Sauf qu’ils n’achètent plus.
Le dernier rapport d’Europol sur les tendances du terrorisme au sein de l’Union européenne est angoissant. Tandis que le djihadiste se calme, l’exalté d’extrême droite prolifère.
Aujourd’hui, Vincent Glad et David Doucet, arroseurs arrosés, prennent leur revanche, ayant tous plus ou moins gagné aux prud’hommes contre leurs anciens employeurs, eux-mêmes arrosés par le scandale.
À ce propos, y a-t-il quelqu’un qui se préoccupe, dans la presse parisienne, du droit à l’espoir des familles de victimes ?
Voilà donc Boulevard Voltaire qualifié de complotiste prorusse et associé à « la complosphère française ». Une accusation lourde, évidemment fausse, très grave, très pénalisante, injustifiable et insultante pour nos journalistes, nos collaborateurs et nos lecteurs.
En affirmant tout et le contraire de tout en moins de 24 heures, Libération nous monte un énorme bateau.
La religion comme opium du peuple ? C’est, selon Libé, la « principale explication » à l’explosion des conversions !
Lui-même perdu dans le capharnaüm des ressentis, le vaillant journaliste a cru identifier sept bizarreries méconnues.
Selon le quotidien parisien, le champion de natation aurait surtout profité d’une forme de « reproduction sociale »…
Malheur à l’enfant qui, issu de la caste mandarinale des profs de gauche, s’obstine pourtant à voter pour Marine le Pen.
Le métier de dessinateur de presse serait-il en passe de devenir à hauts risques ?
Joffrin sera-t-il entendu de ses amis de gauche ? On en doute…
Face à cette mise à l’écart de l’enfant, les chroniqueurs proposent l’extrême inverse : sa mise en avant, à outrance.
On n’est pas sûr que Libé aurait laissé la parole avec autant de facilité à d’autres opinions.
La vérité est que la campagne de harcèlement des SG n’a eu que peu d’incidence sur le développement de BV.
Dernière couche de vernis : une haine du sacré, chez Libé, qui relève de l’obsession.
Stanislas est, pour la gauche, la statue du Commandeur. Un reproche vivant. La preuve de leur échec patent.
La dimension religieuse de la Nativité semble passer totalement par-dessus la tête de Libé.
Libération se saisit du dossier et énumère les lourdes charges qui pèsent contre l’insolent.
Contre vents et marées, le chercheur de Libération déroule doctement sa théorie du complot d’extrême-droite.
Cet épisode déplorable discrédite une nouvelle fois la presse bien-pensante.
C’est en même temps, quand voulant faire plaisir à tel ou tel, qu’on finit par se fâcher avec tout le monde.
Fronta, sera donc prochainement la nouvelle arme de destruction massive à destination de Marine Le Pen
C’est curieux, chez les gens tolérants, ce besoin de juger.
Union des gauches, féminisme, militantisme, laïcité : les sujets qui taraudent la gauche ont tous été abordés…
Joyeux anniversaire quand même à Libération qui n’a jamais aussi mal porté son nom qu’aujourd’hui.
Le tout est, bien sûr, financé ou cofinancé par la Commission européenne.
« Le Puy du Fourbe ». Le jeu de mots est malin, l’attaque est cinglante.
On ne sert pas au public ce dont il a envie : on part du principe que ces idiots de spectateurs achèteront ce qu’on leur vend. Sauf qu’ils n’achètent plus.
Le dernier rapport d’Europol sur les tendances du terrorisme au sein de l’Union européenne est angoissant. Tandis que le djihadiste se calme, l’exalté d’extrême droite prolifère.
Aujourd’hui, Vincent Glad et David Doucet, arroseurs arrosés, prennent leur revanche, ayant tous plus ou moins gagné aux prud’hommes contre leurs anciens employeurs, eux-mêmes arrosés par le scandale.
À ce propos, y a-t-il quelqu’un qui se préoccupe, dans la presse parisienne, du droit à l’espoir des familles de victimes ?
Voilà donc Boulevard Voltaire qualifié de complotiste prorusse et associé à « la complosphère française ». Une accusation lourde, évidemment fausse, très grave, très pénalisante, injustifiable et insultante pour nos journalistes, nos collaborateurs et nos lecteurs.