LR

113.038 votants sont recensés pour 139.742 adhérents. Donc 19,1 % n’ont pas exercé leur droit pour cet exercice original.

Pour le député Rassemblement national du Nord, l’élimination de Xavier Bertrand est une victoire : celui qui se targuait de « briser les mâchoires du RN » n’a pas réussi à se qualifier.

Il n’y a pas, il n’y a plus de leader naturel dans cette formation politique, très lointaine héritière des partis gaullistes qui cultivaient la mystique de l’homme providentiel…

Si les candidats de droite prennent ces positions radicales, force est de constater que c’est d’abord pour plaire aux adhérents LR qui sont plus à droite qu’eux.

Officiellement, ils étaient cinq : Barnier, Bertrand, Ciotti, Juvin et Pécresse. Officieusement, il y en avait un sixième, Zemmour, dont l’ombre n’en finissait plus de planer sur le débat.

En 2019, elle a concerné précisément 277 406 personnes selon les chiffres 2019 de l’INSEE. L’équivalent de la ville de Strasbourg. Alors, demandent les deux meneurs de jeu, le grand remplacement, mythe ou réalité ?

La primaire interne des LR aura lieu du 1er au 4 décembre. Cinq candidatures ont été validées : celles de Michel Barnier, Xavier Bertrand, Éric

Le phénomène Éric Zemmour permet aujourd’hui de valider l’hypocrisie de certains chez LR.

Écarté faute d’avoir réuni le nombre nécessaire de signatures d’élus, l’entrepreneur et homme politique Denis Payre dénonce un système inéquitable. Il dépose un recours auprès

En quatre ans et demi de présidence Macron, incapables de retrouver un discours de droite et d’opposition pour ne pas faire le jeu de qui-vous-savez, Les Républicains semblent n’avoir rien appris, rien compris.
24% des personnes ayant voté Fillon en 2017 se tournant désormais vers Eric Zemmour.
La gauche s’effondre

Une chance apparaît, que Marine Le Pen ne soit pas au second tour et que le candidat LR y soit. La maison serait sauvée. Mais un risque se fait jour : que ce soit Zemmour qui soit présent, et c’est pourquoi il faut désormais qu’il fasse peur.

Xavier Bertrand serait bien placé pour élaborer une recette avec tous les ingrédients susceptibles de plaire à suffisamment d’électeurs pour se qualifier au second tour, fussent-ils disparates.

Si les LR organisent des primaires, voilà qui pourrait les mener à la catastrophe. Mais si de primaires il n’y a pas, c’est le désastre qui menace.

Ce système a tout d’une impasse sans entrée ni sortie et qui serait, de plus, en sens interdit. Xavier Bertrand ne s’y est donc pas trompé.

Aujourd’hui, quelles sont les valeurs de droite de ce parti ?

La droite se délite jour après jour, mois après mois, année après année. Christian Jacob vient de faire part de sa dernière trouvaille pour désigner

Emmanuel Macron n’est pour rien dans le drame que vivent actuellement les LR. Il ne tire pas les ficelles mais seulement les conséquences. Comme le feront aussi les électeurs, au final.

La droite n’a pas de désaccords fondamentaux avec le Rassemblement national sur des questions comme la souveraineté de la France, l’immigration ou la sécurité. Mais elle est tombée dans le piège d’une diabolisation qu’elle est incapable de justifier.

Pour faire barrage à la bête immonde, la gauche libertaire et la droite libérale (ou est-ce l’inverse ?) se sont alliées sous le ciel azuréen.

Ironie de l’Histoire : c’est le petit-fils d’un des premiers et des plus illustres gaullistes, l’amiral Muselier, l’inventeur de la croix de Lorraine, qui devient aujourd’hui le symbole du naufrage LR.

Le Figaro en fait un portrait séduisant, capable de toucher au-delà de ce premier cercle : fils de footballeur professionnel, chef d’entreprise, maire de terrain, attaché à sa vie de famille.

Parce que Bruno Retailleau serait sans doute le favori, il est de manière interne l’homme à abattre et est traité avec une forme d’inquiète condescendance.

Les représentants du CCIF et de l’ex-UOIF, convoqués par la commission pour être auditionnés, ne se sont pas présentés. Que dit la loi ?

Éviter un affrontement perdu d’avance et passer dans le camp adverse qui aura eu la bonté d’aménager un strapontin.

Au lendemain de l’élection de Christian Jacob à la tête des Républicains avec plus de 62 % des suffrages, Julien Aubert réagit au micro de

Mais cette élection aura aussi permis à Julien Aubert de sortir de l’anonymat, et c’est également une bonne nouvelle pour la démocratie.

Les juppéistes sont complètement sortis des radars, aspirés par le trou noir macroniste.

113.038 votants sont recensés pour 139.742 adhérents. Donc 19,1 % n’ont pas exercé leur droit pour cet exercice original.

Pour le député Rassemblement national du Nord, l’élimination de Xavier Bertrand est une victoire : celui qui se targuait de « briser les mâchoires du RN » n’a pas réussi à se qualifier.

Il n’y a pas, il n’y a plus de leader naturel dans cette formation politique, très lointaine héritière des partis gaullistes qui cultivaient la mystique de l’homme providentiel…

Si les candidats de droite prennent ces positions radicales, force est de constater que c’est d’abord pour plaire aux adhérents LR qui sont plus à droite qu’eux.

Officiellement, ils étaient cinq : Barnier, Bertrand, Ciotti, Juvin et Pécresse. Officieusement, il y en avait un sixième, Zemmour, dont l’ombre n’en finissait plus de planer sur le débat.

En 2019, elle a concerné précisément 277 406 personnes selon les chiffres 2019 de l’INSEE. L’équivalent de la ville de Strasbourg. Alors, demandent les deux meneurs de jeu, le grand remplacement, mythe ou réalité ?

La primaire interne des LR aura lieu du 1er au 4 décembre. Cinq candidatures ont été validées : celles de Michel Barnier, Xavier Bertrand, Éric

Le phénomène Éric Zemmour permet aujourd’hui de valider l’hypocrisie de certains chez LR.

Écarté faute d’avoir réuni le nombre nécessaire de signatures d’élus, l’entrepreneur et homme politique Denis Payre dénonce un système inéquitable. Il dépose un recours auprès

En quatre ans et demi de présidence Macron, incapables de retrouver un discours de droite et d’opposition pour ne pas faire le jeu de qui-vous-savez, Les Républicains semblent n’avoir rien appris, rien compris.
24% des personnes ayant voté Fillon en 2017 se tournant désormais vers Eric Zemmour.
La gauche s’effondre

Une chance apparaît, que Marine Le Pen ne soit pas au second tour et que le candidat LR y soit. La maison serait sauvée. Mais un risque se fait jour : que ce soit Zemmour qui soit présent, et c’est pourquoi il faut désormais qu’il fasse peur.

Xavier Bertrand serait bien placé pour élaborer une recette avec tous les ingrédients susceptibles de plaire à suffisamment d’électeurs pour se qualifier au second tour, fussent-ils disparates.

Si les LR organisent des primaires, voilà qui pourrait les mener à la catastrophe. Mais si de primaires il n’y a pas, c’est le désastre qui menace.

Ce système a tout d’une impasse sans entrée ni sortie et qui serait, de plus, en sens interdit. Xavier Bertrand ne s’y est donc pas trompé.

Aujourd’hui, quelles sont les valeurs de droite de ce parti ?

La droite se délite jour après jour, mois après mois, année après année. Christian Jacob vient de faire part de sa dernière trouvaille pour désigner

Emmanuel Macron n’est pour rien dans le drame que vivent actuellement les LR. Il ne tire pas les ficelles mais seulement les conséquences. Comme le feront aussi les électeurs, au final.

La droite n’a pas de désaccords fondamentaux avec le Rassemblement national sur des questions comme la souveraineté de la France, l’immigration ou la sécurité. Mais elle est tombée dans le piège d’une diabolisation qu’elle est incapable de justifier.

Pour faire barrage à la bête immonde, la gauche libertaire et la droite libérale (ou est-ce l’inverse ?) se sont alliées sous le ciel azuréen.

Ironie de l’Histoire : c’est le petit-fils d’un des premiers et des plus illustres gaullistes, l’amiral Muselier, l’inventeur de la croix de Lorraine, qui devient aujourd’hui le symbole du naufrage LR.

Le Figaro en fait un portrait séduisant, capable de toucher au-delà de ce premier cercle : fils de footballeur professionnel, chef d’entreprise, maire de terrain, attaché à sa vie de famille.

Parce que Bruno Retailleau serait sans doute le favori, il est de manière interne l’homme à abattre et est traité avec une forme d’inquiète condescendance.

Les représentants du CCIF et de l’ex-UOIF, convoqués par la commission pour être auditionnés, ne se sont pas présentés. Que dit la loi ?

Éviter un affrontement perdu d’avance et passer dans le camp adverse qui aura eu la bonté d’aménager un strapontin.

Au lendemain de l’élection de Christian Jacob à la tête des Républicains avec plus de 62 % des suffrages, Julien Aubert réagit au micro de

Mais cette élection aura aussi permis à Julien Aubert de sortir de l’anonymat, et c’est également une bonne nouvelle pour la démocratie.

Les juppéistes sont complètement sortis des radars, aspirés par le trou noir macroniste.
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