LREM

Le RN est désormais pleinement ancré, y compris au sein de l’Assemblée nationale, dans le paysage politique.

Ainsi, sur 114 élus Renaissance sèchement remerciés par les électeurs, 60 pointeraient toujours chez l’ami Paul ; Pôle emploi, à l’état civil.
Ce mouvement va devenir un parti politique qui aura pour objectif de « toujours faire le choix des Lumières contre l’obscurantisme ».

Elle est dès le début parfaitement « Macron compatible », même si elle n’a aucune expérience de la vie politique.

Si les candidats du RN et de LFI ont encore les indéniables moyens d’imposer les leurs, Emmanuel Macron a-t-il le pouvoir de faire de même vis-à-vis de ses alliés putatifs ?

Profitez-en, Mesdames et Messieurs, il n’y en aura pas pour tout le monde…

De mauvais esprits commencent à s’inquiéter d’autres relations singulièrement plus troubles, entretenues par certain baron de la Macronie avec une puissance tout aussi étrangère et guère plus « libérale » que la Russie : la Chine.

Et là, plus qu’un inventaire à la Prévert, c’est le catalogue des Trois Suisses que l’on redoute.

Voici donc revenu le voile islamique…

Ironie de l’Histoire : c’est le petit-fils d’un des premiers et des plus illustres gaullistes, l’amiral Muselier, l’inventeur de la croix de Lorraine, qui devient aujourd’hui le symbole du naufrage LR.

15 % des députés, dont la moitié de « marcheurs », seraient déterminés à ne pas se représenter pour un autre mandat.

C’est ainsi qu’on apprend que l’Histoire est tragique par nature et qu’un conseil d’administration ne saurait tenir lieu de gouvernement.

Ou de l’art de faire du vieux avec de l’ancien ; ce qui n’est pas le moindre des paradoxes pour une LREM se parant des atours de la modernité.

Mais il est un autre bouleversement que nous n’avions même pas remarqué : l’absence de résultats.

En 2017, ils étaient partis pour tout casser et allumer le feu. Bref, on allait voir ce que l’on allait voir. Trois ans plus tard, on a vu : ça ne marche plus chez les marcheurs.

Ils ont tout fait pour que je démissionne de moi-même.

On se demande, cependant, pourquoi il leur a fallu trois ans pour ne plus supporter une servitude qui s’exerçait dès les origines.

Pourquoi ce désintérêt apparent des médias et des appareils, ce mutisme étrange ?

On apprend, chaque jour, une nouvelle désertion, et pas seulement des sans-grade : des ministres, des députés « jettent l’éponge », comme dit pudiquement la presse locale.

Reste à savoir quelle sera l’attitude des électeurs pour ces judas de La République en marche. Cocus, certes, mais… contents ?

Ce tweet digne des trolls les plus lourdingues sévissant sur les réseaux sociaux émane donc… d’un député.
L’élection de Christophe Castaner samedi ne sera même pas un événement.
Déjà, la révolte gronde, ici et là. Un collectif des « Marcheurs en colère » a été créé dans le Pas-de-Calais…
Les frondeurs dénoncent enfin « un manque de démocratie interne » et la faible part accordée au terrain.

Le RN est désormais pleinement ancré, y compris au sein de l’Assemblée nationale, dans le paysage politique.

Ainsi, sur 114 élus Renaissance sèchement remerciés par les électeurs, 60 pointeraient toujours chez l’ami Paul ; Pôle emploi, à l’état civil.
Ce mouvement va devenir un parti politique qui aura pour objectif de « toujours faire le choix des Lumières contre l’obscurantisme ».

Elle est dès le début parfaitement « Macron compatible », même si elle n’a aucune expérience de la vie politique.

Si les candidats du RN et de LFI ont encore les indéniables moyens d’imposer les leurs, Emmanuel Macron a-t-il le pouvoir de faire de même vis-à-vis de ses alliés putatifs ?

Profitez-en, Mesdames et Messieurs, il n’y en aura pas pour tout le monde…

De mauvais esprits commencent à s’inquiéter d’autres relations singulièrement plus troubles, entretenues par certain baron de la Macronie avec une puissance tout aussi étrangère et guère plus « libérale » que la Russie : la Chine.

Et là, plus qu’un inventaire à la Prévert, c’est le catalogue des Trois Suisses que l’on redoute.

Voici donc revenu le voile islamique…

Ironie de l’Histoire : c’est le petit-fils d’un des premiers et des plus illustres gaullistes, l’amiral Muselier, l’inventeur de la croix de Lorraine, qui devient aujourd’hui le symbole du naufrage LR.

15 % des députés, dont la moitié de « marcheurs », seraient déterminés à ne pas se représenter pour un autre mandat.

C’est ainsi qu’on apprend que l’Histoire est tragique par nature et qu’un conseil d’administration ne saurait tenir lieu de gouvernement.

Ou de l’art de faire du vieux avec de l’ancien ; ce qui n’est pas le moindre des paradoxes pour une LREM se parant des atours de la modernité.

Mais il est un autre bouleversement que nous n’avions même pas remarqué : l’absence de résultats.

En 2017, ils étaient partis pour tout casser et allumer le feu. Bref, on allait voir ce que l’on allait voir. Trois ans plus tard, on a vu : ça ne marche plus chez les marcheurs.

Ils ont tout fait pour que je démissionne de moi-même.

On se demande, cependant, pourquoi il leur a fallu trois ans pour ne plus supporter une servitude qui s’exerçait dès les origines.

Pourquoi ce désintérêt apparent des médias et des appareils, ce mutisme étrange ?

On apprend, chaque jour, une nouvelle désertion, et pas seulement des sans-grade : des ministres, des députés « jettent l’éponge », comme dit pudiquement la presse locale.

Reste à savoir quelle sera l’attitude des électeurs pour ces judas de La République en marche. Cocus, certes, mais… contents ?

Ce tweet digne des trolls les plus lourdingues sévissant sur les réseaux sociaux émane donc… d’un député.
L’élection de Christophe Castaner samedi ne sera même pas un événement.
Déjà, la révolte gronde, ici et là. Un collectif des « Marcheurs en colère » a été créé dans le Pas-de-Calais…
Les frondeurs dénoncent enfin « un manque de démocratie interne » et la faible part accordée au terrain.
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