Lutte contre le djihadisme
Interrogé, dimanche 10 janvier, le ministre des Armées Florence Parly a rappelé, à juste titre, que la partie n’était pas terminée.
Comme il vient de le montrer en déclarant l’OTAN en état de mort cérébrale, le Pandore Macron est à lui tout seul une bombe à fragmentation socio-politique à retard court mais effets nocifs durables…
Cela fait plus de trente ans que les « services » de renseignement alertent sur la montée de l’islam radical dans notre pays, sans réaction des autorités politiques…
Le ministre des Armées Florence Parly fête le Nouvel An avec les soldats engagés contre Daech. Pourtant, il y a un peu plus d’un an,
Un cas semblable, à Toulouse, avait déjà défrayé la chronique en 2017.
Ce procès, s’il a une utilité, devrait nous inciter à la réflexion. Que s’est-il passé, en dix ans, qu’est-ce qui nous est tombé dessus ?
Les Français et leur gouvernement ont-ils vraiment pris conscience de l’ampleur du phénomène djihadiste ?
Un sous-officier britannique, appartenant aux fameux SAS, a décapité un djihadiste de Daech sur le théâtre afghan.
Interrogé, dimanche 10 janvier, le ministre des Armées Florence Parly a rappelé, à juste titre, que la partie n’était pas terminée.
Comme il vient de le montrer en déclarant l’OTAN en état de mort cérébrale, le Pandore Macron est à lui tout seul une bombe à fragmentation socio-politique à retard court mais effets nocifs durables…
Cela fait plus de trente ans que les « services » de renseignement alertent sur la montée de l’islam radical dans notre pays, sans réaction des autorités politiques…
Le ministre des Armées Florence Parly fête le Nouvel An avec les soldats engagés contre Daech. Pourtant, il y a un peu plus d’un an,
Un cas semblable, à Toulouse, avait déjà défrayé la chronique en 2017.
Ce procès, s’il a une utilité, devrait nous inciter à la réflexion. Que s’est-il passé, en dix ans, qu’est-ce qui nous est tombé dessus ?
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