Macron
Pour comprendre la situation et identifier les responsabilités, notamment politiques, BV reçoit aujourd’hui Philippe Charlez, expert en questions énergétiques, auteur de L’Utopie de la croissance verte, paru en 2021 chez JM. Laffont, et chroniqueur à BV.
Tandis que le gouvernement serrait la vis aux quidams, collait des contraventions dans la rue à qui avait oublié son laisser-passer et serrait la vis de l’information, ça dérapait pas mal en haut lieu…
Ce 23 décembre, donc, le patron de Radio M et du site d’information Maghreb émergent est arrêté à son domicile et embarqué dès le lendemain pour une perquisition au siège de ses médias, menottes aux poignets.
« Nous ramenons le boulanger, la boulangère et le petit mitron », braillaient les Parisiennes quand elles allèrent chercher la famille royale à Versailles en octobre 1789. Le petit mitron, aujourd’hui, c’est le petit Macron.
Et dire qu’il aurait suffit que l’équipe de France se laisse battre dès le premier tour pour qu’une économie de 500.000 € soit réalisée sur les deniers du contribuable.
Empêtrés jusqu’aux oreilles dans l’affaire McKinsey, pour le moins légers à Strasbourg, nos macronistes trouvent encore et toujours les moyens de donner des leçons et de dégager les importuns.
Tout cela fleure bon le renvoi d’ascenseur, l’entre-soi velouté, la clarté obscure des hôtels de luxe, l’honnêteté en option, la manipulation tranquille et le froid mépris des Français.
De façon quasi systématique, le Président Macron entend discréditer tout ce qui pourrait lui opposer une contradiction.
La meilleure façon d’intégrer les nouveaux venus, c’est de désintégrer la France.
La Macronie mime l’agitation face au désastre de l’immigration. Mais, en coulisses, le parti présidentiel s’emploie à bloquer les mesures les plus évidentes. Illustration emblématique ce 1er décembre après-midi à l’Assemblée.
Ce voyage, c’est peut-être l’occasion de prendre de bonnes idées chez le grand ami Biden.
Faire la leçon à Poutine sur le respect de la démocratie et recevoir, ce mardi, en grande pompe et tout miel le très démocrate président du Kazakhstan Tokaïev à l’Élysée après un séjour entre amis au Qatar : la souplesse du macronisme suscite l’admiration.
Depuis quelques mois, l’affaire semblait enterrée. Mais dans la plus grande discrétion, le PNF enquêtait.
Repris sur Twitter, le roman-photo du voyage présidentiel fait se pâmer une poignée de nostalgiques de ce bon vieux En Marche. Mââgnifique ! Quel talent !
Jamais le déficit de la France n’aura atteint un tel sommet. Merci Macron, l’homme qui signe à tour de bras des chèques largement sans provision.
Il essaime cette idée depuis le début de son premier quinquennat. La France était trop petite pour lui, les Français désespérément limités.
Une sorte de causerie au coin du feu éteint entre climato-déprimés, le tout générant autant d’air qu’une éolienne en pleine tempête…
Le vrai méchant, dans cette affaire, c’est Fournas. La preuve ? Ceux qui nous dirigent ont cru nécessaire de participer à ce montage éhonté avec ce sens de l’intérêt général, de la vérité et de la mesure qui les caractérise.
La gauche française, la joue rouge et les fesses endolories depuis la descente aux enfers entamée à la rentrée de septembre, boit enfin le lait quasi divin d’une victoire électorale.
Il faut reconnaître que le Président Macron a de quoi être envieux. Alors que la popularité de l’hôte de l’Élysée s’abîme, que son pouvoir vacille à l’Assemblée, le président chinois vient encore de renforcer son autorité, ce dimanche 23 octobre.
Fantastique ! L’Assemblée a donc débattu et voté une loi. Le Sénat a fait de même. Le gouvernement et le ministre ont communiqué sur cette grande avancée pour les agriculteurs, mais la France est soumise à la tutelle bruxelloise. On oublie, on rentre à la niche.
Ce matin-là, Emmanuel Macron a « gazouillé » : « We do not want a world war » (« Nous ne voulons pas de guerre mondiale »), actant ainsi qu’il ne considère plus le français comme une langue internationale.
Affaibli à l’Assemblée, affaibli dans l’opinion, contesté jusqu’au sein de ses troupes, désormais entouré de deux personnalités inquiétées par la Justice, Macron apparaît ballotté par la bourrasque alors que s’ouvre la session parlementaire.
Pour l’heure, l’avertissement d’Emmanuel Macron provoque les moqueries de l’opposition : « chiche » ,s’amuse Marine Le Pen.
Dans un entretien choc, Michel Onfray évoque la destruction de la France, la nécessité du Frexit face à l’extension de l’empire maastrichtien et, à travers Macron, « l’avènement d’un genre d’antéchrist politique ».
La fermeture de Fessenheim n’est que la partie émergée de cet immense travail de sape…
La joie du président de la République devant les mâts qui défigureront le paysage marin durant des décennies est tout de même troublée.
Cette proposition émane à l’évidence d’un personnage qui n’a jamais été un élu rural et qui regarde la ruralité au travers des lunettes déformantes de la technocratie.
Pour comprendre la situation et identifier les responsabilités, notamment politiques, BV reçoit aujourd’hui Philippe Charlez, expert en questions énergétiques, auteur de L’Utopie de la croissance verte, paru en 2021 chez JM. Laffont, et chroniqueur à BV.
Tandis que le gouvernement serrait la vis aux quidams, collait des contraventions dans la rue à qui avait oublié son laisser-passer et serrait la vis de l’information, ça dérapait pas mal en haut lieu…
Ce 23 décembre, donc, le patron de Radio M et du site d’information Maghreb émergent est arrêté à son domicile et embarqué dès le lendemain pour une perquisition au siège de ses médias, menottes aux poignets.
« Nous ramenons le boulanger, la boulangère et le petit mitron », braillaient les Parisiennes quand elles allèrent chercher la famille royale à Versailles en octobre 1789. Le petit mitron, aujourd’hui, c’est le petit Macron.
Et dire qu’il aurait suffit que l’équipe de France se laisse battre dès le premier tour pour qu’une économie de 500.000 € soit réalisée sur les deniers du contribuable.
Empêtrés jusqu’aux oreilles dans l’affaire McKinsey, pour le moins légers à Strasbourg, nos macronistes trouvent encore et toujours les moyens de donner des leçons et de dégager les importuns.
Tout cela fleure bon le renvoi d’ascenseur, l’entre-soi velouté, la clarté obscure des hôtels de luxe, l’honnêteté en option, la manipulation tranquille et le froid mépris des Français.
De façon quasi systématique, le Président Macron entend discréditer tout ce qui pourrait lui opposer une contradiction.
La meilleure façon d’intégrer les nouveaux venus, c’est de désintégrer la France.
La Macronie mime l’agitation face au désastre de l’immigration. Mais, en coulisses, le parti présidentiel s’emploie à bloquer les mesures les plus évidentes. Illustration emblématique ce 1er décembre après-midi à l’Assemblée.
Ce voyage, c’est peut-être l’occasion de prendre de bonnes idées chez le grand ami Biden.
Faire la leçon à Poutine sur le respect de la démocratie et recevoir, ce mardi, en grande pompe et tout miel le très démocrate président du Kazakhstan Tokaïev à l’Élysée après un séjour entre amis au Qatar : la souplesse du macronisme suscite l’admiration.
Depuis quelques mois, l’affaire semblait enterrée. Mais dans la plus grande discrétion, le PNF enquêtait.
Repris sur Twitter, le roman-photo du voyage présidentiel fait se pâmer une poignée de nostalgiques de ce bon vieux En Marche. Mââgnifique ! Quel talent !
Jamais le déficit de la France n’aura atteint un tel sommet. Merci Macron, l’homme qui signe à tour de bras des chèques largement sans provision.
Il essaime cette idée depuis le début de son premier quinquennat. La France était trop petite pour lui, les Français désespérément limités.
Une sorte de causerie au coin du feu éteint entre climato-déprimés, le tout générant autant d’air qu’une éolienne en pleine tempête…
Le vrai méchant, dans cette affaire, c’est Fournas. La preuve ? Ceux qui nous dirigent ont cru nécessaire de participer à ce montage éhonté avec ce sens de l’intérêt général, de la vérité et de la mesure qui les caractérise.
La gauche française, la joue rouge et les fesses endolories depuis la descente aux enfers entamée à la rentrée de septembre, boit enfin le lait quasi divin d’une victoire électorale.
Il faut reconnaître que le Président Macron a de quoi être envieux. Alors que la popularité de l’hôte de l’Élysée s’abîme, que son pouvoir vacille à l’Assemblée, le président chinois vient encore de renforcer son autorité, ce dimanche 23 octobre.
Fantastique ! L’Assemblée a donc débattu et voté une loi. Le Sénat a fait de même. Le gouvernement et le ministre ont communiqué sur cette grande avancée pour les agriculteurs, mais la France est soumise à la tutelle bruxelloise. On oublie, on rentre à la niche.
Ce matin-là, Emmanuel Macron a « gazouillé » : « We do not want a world war » (« Nous ne voulons pas de guerre mondiale »), actant ainsi qu’il ne considère plus le français comme une langue internationale.
Affaibli à l’Assemblée, affaibli dans l’opinion, contesté jusqu’au sein de ses troupes, désormais entouré de deux personnalités inquiétées par la Justice, Macron apparaît ballotté par la bourrasque alors que s’ouvre la session parlementaire.
Pour l’heure, l’avertissement d’Emmanuel Macron provoque les moqueries de l’opposition : « chiche » ,s’amuse Marine Le Pen.
Dans un entretien choc, Michel Onfray évoque la destruction de la France, la nécessité du Frexit face à l’extension de l’empire maastrichtien et, à travers Macron, « l’avènement d’un genre d’antéchrist politique ».
La fermeture de Fessenheim n’est que la partie émergée de cet immense travail de sape…
La joie du président de la République devant les mâts qui défigureront le paysage marin durant des décennies est tout de même troublée.
Cette proposition émane à l’évidence d’un personnage qui n’a jamais été un élu rural et qui regarde la ruralité au travers des lunettes déformantes de la technocratie.
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