Macron
Ce n’est pas sa faute. Ce n’est jamais de sa faute.
On pourrait convenir d’appeler cette guerre, après celle du Covid, la deuxième guerre punique : pour punir les Français, elle va les punir.
La chance de Poutine, c’est aussi Macron. Les deux hommes sont aux antipodes dans la manière d’exercer le pouvoir.
Chacun est devant ses responsabilités. Notamment Emmanuel Macron qui, dans le sillage de François Hollande, a décidé de la fermeture de la centrale nucléaire de Fessenheim, mais aussi Édouard Philippe et Élisabeth Borne, qui l’ont entérinée.
Lors de la perquisition menée à Mar-a-Lago, la résidence de Donald Trump en Floride, le FBI a saisi un document contenant des « informations » d’ordre privé sur le Président français Emmanuel Macron.
Notre bon Président tire avec le plus d’habileté possible un épais rideau de mots entre nous, simples citoyens, et ses responsabilités écrasantes dans cette crise.
Il faut désormais entendre le mot défense, non comme on dit « défense de la patrie », mais plutôt comme on dit « défense de fumer ». Un Conseil où on nous défend de faire des choses, faute de pouvoir nous défendre tout court.
Totalement déchaîné, l’homme s’est mis en caleçon et exhorte la foule du haut de son estrade.
Nos lecteurs se préparent à un hiver difficile. La faute à qui ? « Macron a tout fait pour que nous en arrivions là », estime notre lectrice Evelyne Guérin.
Notre Président a donc bien les mains libres en Algérie pour négocier le vrai dossier chaud, celui de l’immigration…
Par une sorte d’éternel retour, Salman Rushdie, que l’on croyait tiré d’affaire depuis sa condamnation à mort par le régime de l’ayatollah Khomeini, en 1988,
La politique étrangère américaine servant désormais de boussole à la France, on lui indiquera que même Joe Biden a abandonné la politique des anathèmes et des imprécations.
Aujourd’hui, la Russie a le vent en poupe en Afrique.
Macron aura eu tort, depuis 2017, sur à peu près tout, de l’OTAN aux banlieues en passant par la repentance coloniale ou le mépris de classe. Le Mali n’échappe pas à la règle.
C’est donc une attaque en règle contre la souveraineté des États que l’Union européenne déploie en pleine touffeur estivale, avec la bénédiction d’Emmanuel Macron.
Il faut ainsi lire avec attention le texte longuement mûri, publié le 17 juillet sur Facebook par le président de la région Rhône-Alpes. On lit derrière l’ambition personnelle de Wauquiez l’influence d’un Zemmour.
On verra peut-être cet hiver des ministres bleus de froid en doudounes dans leurs bureaux gelés façon Sibérie orientale.
« La France sort de la crise sanitaire avec une situation des finances publiques parmi les plus dégradées de la zone euro. » Cette attaque en règle
Maintenant que cette affaire commence à se trouver sous les feux de la rampe, nombre de parlementaires montent au créneau.
Cette fois l’exécutif est inquiété par la justice pour la gestion calamiteuse des premiers mois de la pandémie.
La France, après avoir réduit de moitié la délivrance des visas aux ressortissants algériens, a rétabli le flux.
Assis sur un tas de ruines fumant, Emmanuel Macron propose de « bâtir ensemble » un « travail de civilisation »…
Faute d’être grand par sa politique, Macron se fait grand par procuration.
Facturer pour la bagatelle de 496.800 euros ce qui traîne dans la plupart des rapports antérieurs peut sembler cher…
Ce n’est pas sa faute. Ce n’est jamais de sa faute.
On pourrait convenir d’appeler cette guerre, après celle du Covid, la deuxième guerre punique : pour punir les Français, elle va les punir.
La chance de Poutine, c’est aussi Macron. Les deux hommes sont aux antipodes dans la manière d’exercer le pouvoir.
Chacun est devant ses responsabilités. Notamment Emmanuel Macron qui, dans le sillage de François Hollande, a décidé de la fermeture de la centrale nucléaire de Fessenheim, mais aussi Édouard Philippe et Élisabeth Borne, qui l’ont entérinée.
Lors de la perquisition menée à Mar-a-Lago, la résidence de Donald Trump en Floride, le FBI a saisi un document contenant des « informations » d’ordre privé sur le Président français Emmanuel Macron.
Notre bon Président tire avec le plus d’habileté possible un épais rideau de mots entre nous, simples citoyens, et ses responsabilités écrasantes dans cette crise.
Il faut désormais entendre le mot défense, non comme on dit « défense de la patrie », mais plutôt comme on dit « défense de fumer ». Un Conseil où on nous défend de faire des choses, faute de pouvoir nous défendre tout court.
Totalement déchaîné, l’homme s’est mis en caleçon et exhorte la foule du haut de son estrade.
Nos lecteurs se préparent à un hiver difficile. La faute à qui ? « Macron a tout fait pour que nous en arrivions là », estime notre lectrice Evelyne Guérin.
Notre Président a donc bien les mains libres en Algérie pour négocier le vrai dossier chaud, celui de l’immigration…
Par une sorte d’éternel retour, Salman Rushdie, que l’on croyait tiré d’affaire depuis sa condamnation à mort par le régime de l’ayatollah Khomeini, en 1988,
La politique étrangère américaine servant désormais de boussole à la France, on lui indiquera que même Joe Biden a abandonné la politique des anathèmes et des imprécations.
Aujourd’hui, la Russie a le vent en poupe en Afrique.
Macron aura eu tort, depuis 2017, sur à peu près tout, de l’OTAN aux banlieues en passant par la repentance coloniale ou le mépris de classe. Le Mali n’échappe pas à la règle.
C’est donc une attaque en règle contre la souveraineté des États que l’Union européenne déploie en pleine touffeur estivale, avec la bénédiction d’Emmanuel Macron.
Il faut ainsi lire avec attention le texte longuement mûri, publié le 17 juillet sur Facebook par le président de la région Rhône-Alpes. On lit derrière l’ambition personnelle de Wauquiez l’influence d’un Zemmour.
On verra peut-être cet hiver des ministres bleus de froid en doudounes dans leurs bureaux gelés façon Sibérie orientale.
« La France sort de la crise sanitaire avec une situation des finances publiques parmi les plus dégradées de la zone euro. » Cette attaque en règle
Maintenant que cette affaire commence à se trouver sous les feux de la rampe, nombre de parlementaires montent au créneau.
Cette fois l’exécutif est inquiété par la justice pour la gestion calamiteuse des premiers mois de la pandémie.
La France, après avoir réduit de moitié la délivrance des visas aux ressortissants algériens, a rétabli le flux.
Assis sur un tas de ruines fumant, Emmanuel Macron propose de « bâtir ensemble » un « travail de civilisation »…
Faute d’être grand par sa politique, Macron se fait grand par procuration.
Facturer pour la bagatelle de 496.800 euros ce qui traîne dans la plupart des rapports antérieurs peut sembler cher…
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