Mai-68
Le « soixante-huitisme » a été une page rouge sombre de notre histoire intellectuelle.
C’est aussi ce troisième Mai 68, aujourd’hui, qui refuse la mise au pas de tout un peuple sous prétexte sanitaire. C’est sans doute ce Mai 68 là qu’il faut se rappeler…
On a assisté à un anti-Mai 68 : les Français souhaitent désormais des frontières protectrices et des dirigeants qui défendent les intérêts de la France.
Daniel Cohn-Bendit, le fer de lance de la contestation étudiante de Mai 68, exprime partout sa désolation…
À Lille, environ 200 étudiants se sont réunis, le 23 mars, devant l’université Lille-II avant d’occuper un amphithéâtre. Des AG ont rassemblé 200 à 300 personnes à Strasbourg et 400 à 800 à Nancy. Cela ne vous rappelle rien ?
Les situationnistes strasbourgeois, forts de leur proximité géographique avec l’Allemagne, avaient humé l’air de la rébellion estudiantine Outre-Rhin dès le milieu des années 60.
Ils ont prétendu construire une contre-culture, mais la vérité est qu’ils n’ont su qu’ériger une non-culture.
Le récent débat sur la chaîne « Histoire » entre Jean-François Sirinelli et Jean Pierre Le Goff m’a inspiré ces quelques réflexions.
Macron commémorera-t-il, oui, ou non, Mai 68 ?
Le « soixante-huitisme » a été une page rouge sombre de notre histoire intellectuelle.
C’est aussi ce troisième Mai 68, aujourd’hui, qui refuse la mise au pas de tout un peuple sous prétexte sanitaire. C’est sans doute ce Mai 68 là qu’il faut se rappeler…
On a assisté à un anti-Mai 68 : les Français souhaitent désormais des frontières protectrices et des dirigeants qui défendent les intérêts de la France.
Daniel Cohn-Bendit, le fer de lance de la contestation étudiante de Mai 68, exprime partout sa désolation…
À Lille, environ 200 étudiants se sont réunis, le 23 mars, devant l’université Lille-II avant d’occuper un amphithéâtre. Des AG ont rassemblé 200 à 300 personnes à Strasbourg et 400 à 800 à Nancy. Cela ne vous rappelle rien ?
Les situationnistes strasbourgeois, forts de leur proximité géographique avec l’Allemagne, avaient humé l’air de la rébellion estudiantine Outre-Rhin dès le milieu des années 60.
Ils ont prétendu construire une contre-culture, mais la vérité est qu’ils n’ont su qu’ériger une non-culture.
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