Mairie de Paris

Et l’on aurait tort, bien sûr, de voir là autre chose qu’un élan de générosité ou la preuve d’un altruisme parfaitement désintéressé. Ce n’est pas le genre de la dame.

Peut être Manuel Valls aura-t-il besoin d’une première adjointe ?
Lundi 17 septembre, Bruno Julliard, le premier adjoint d’Anne Hidalgo, a claqué la porte de la mairie de Paris sous prétexte de « grandes divergences politiques ».

En fait de respiration, il s’agit naturellement d’un enfumage total.

Bien visible, elle est rouge comme un camion de pompier, tout neuf et prêt pour la parade.
Vivement les élections !
Dernière cartouche pour Anne Hidalgo face à au tsunami de critiques dont elle fait l’objet : la féminité.

Aimer Paris a déjà des propositions concrètes pour sortir du sectarisme d’Hidalgo dans le domaine de la circulation, de la propreté, du logement, de l’immigration, de la culture, de la sécurité.
Contrairement à la fin du quinquennat Hollande, les acteurs sont sur scène, sans masque, et la comédie du nouveau monde en est à son deuxième acte. Il serait temps que la droite suive le spectacle en temps réel.

Et l’on aurait tort, bien sûr, de voir là autre chose qu’un élan de générosité ou la preuve d’un altruisme parfaitement désintéressé. Ce n’est pas le genre de la dame.

Peut être Manuel Valls aura-t-il besoin d’une première adjointe ?
Lundi 17 septembre, Bruno Julliard, le premier adjoint d’Anne Hidalgo, a claqué la porte de la mairie de Paris sous prétexte de « grandes divergences politiques ».

En fait de respiration, il s’agit naturellement d’un enfumage total.

Bien visible, elle est rouge comme un camion de pompier, tout neuf et prêt pour la parade.
Vivement les élections !
Dernière cartouche pour Anne Hidalgo face à au tsunami de critiques dont elle fait l’objet : la féminité.

Aimer Paris a déjà des propositions concrètes pour sortir du sectarisme d’Hidalgo dans le domaine de la circulation, de la propreté, du logement, de l’immigration, de la culture, de la sécurité.
Contrairement à la fin du quinquennat Hollande, les acteurs sont sur scène, sans masque, et la comédie du nouveau monde en est à son deuxième acte. Il serait temps que la droite suive le spectacle en temps réel.
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