Malaise dans la police
En 2022, 46 policiers et 22 gendarmes se sont suicidés dans une indifférence quasi absolue.
Il s’agit du seizième suicide dans la police en France depuis le début de l’année.
Revaloriser le métier de gardien de la paix est donc devenu une nécessité absolue.
Entre un antiracisme opportuniste et la colère des riverains, le premier l’emporte.
Ce jeudi soir, des dizaines d’individus ont tendu un guet-apens à la police dans le quartier du Val Fourré, à Mantes-la-Jolie (Yvelines). Explications de Jérôme
La caméra de Boulevard Voltaire a suivi sur le pavé parisien la « Marche de la colère » organisée par plusieurs syndicats de police. 22.000
Laurent Nuñez, secrétaire d’État auprès du ministre de l’Intérieur, déclare avec assurance, lors d’une conférence de presse juste avant le G7 : « L’état moral des forces de police et de gendarmerie est excellent. »
Un rapport parlementaire, dénonçant les conditions de travail dans la police nationale, vient de sortir. Rien qui n’était déjà connu, estime Michel Thooris, au micro
La situation sécuritaire dans notre pays n’a jamais été aussi dégradée.
Le gouvernement, et son ministre de l’Intérieur en premier lieu, vient de recevoir un avertissement pour l’instant sans frais de la part de ceux sur les épaules desquels repose la République.
Depuis le 1er janvier de cette année, pas moins de 28 policiers, hommes et femmes, se sont donné la mort, le plus souvent à l’aide de leur arme de service.
Lundi, un fonctionnaire de police mettait fin à ses jours. Désormais, chez les policiers, on déplore un suicide tous les quatre jours. Pour Michel Thooris,
Polémique au sujet de la gestion de l’acte XVIII des gilets jaunes par le gouvernement et la préfecture de police de Paris. Alexandre Langlois réagit
Convoqué en conseil de discipline et risquant la révocation, Alexandre Langlois, défendu par des collègues policiers et des gilets jaunes, passe en revue tous les
La plupart des casseurs, les vrais, n’ont pas été inquiétés.
Applaudis quand ils débusquent un Chérif Chekatt et hués quand ils poivrent les manifestants infiltrés par les casseurs au coin de l’avenue Montaigne.
Les faits les plus graves se sont déroulés lundi à Marseille. Plusieurs individus ont fait une descente dans un quartier
En 2022, 46 policiers et 22 gendarmes se sont suicidés dans une indifférence quasi absolue.
Il s’agit du seizième suicide dans la police en France depuis le début de l’année.
Revaloriser le métier de gardien de la paix est donc devenu une nécessité absolue.
Entre un antiracisme opportuniste et la colère des riverains, le premier l’emporte.
Ce jeudi soir, des dizaines d’individus ont tendu un guet-apens à la police dans le quartier du Val Fourré, à Mantes-la-Jolie (Yvelines). Explications de Jérôme
La caméra de Boulevard Voltaire a suivi sur le pavé parisien la « Marche de la colère » organisée par plusieurs syndicats de police. 22.000
Laurent Nuñez, secrétaire d’État auprès du ministre de l’Intérieur, déclare avec assurance, lors d’une conférence de presse juste avant le G7 : « L’état moral des forces de police et de gendarmerie est excellent. »
Un rapport parlementaire, dénonçant les conditions de travail dans la police nationale, vient de sortir. Rien qui n’était déjà connu, estime Michel Thooris, au micro
La situation sécuritaire dans notre pays n’a jamais été aussi dégradée.
Le gouvernement, et son ministre de l’Intérieur en premier lieu, vient de recevoir un avertissement pour l’instant sans frais de la part de ceux sur les épaules desquels repose la République.
Depuis le 1er janvier de cette année, pas moins de 28 policiers, hommes et femmes, se sont donné la mort, le plus souvent à l’aide de leur arme de service.
Lundi, un fonctionnaire de police mettait fin à ses jours. Désormais, chez les policiers, on déplore un suicide tous les quatre jours. Pour Michel Thooris,
Polémique au sujet de la gestion de l’acte XVIII des gilets jaunes par le gouvernement et la préfecture de police de Paris. Alexandre Langlois réagit
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La plupart des casseurs, les vrais, n’ont pas été inquiétés.
Applaudis quand ils débusquent un Chérif Chekatt et hués quand ils poivrent les manifestants infiltrés par les casseurs au coin de l’avenue Montaigne.
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