Mali
Dans un silence international, les chrétiens subissent persécutions et violences croissantes à travers le monde.
Les forces françaises au Niger ressemblent aux gardes suisses de Louis XVI, qui se firent massacrer.
Les bombes artisanales et les mines sont les outils privilégiés des djihadistes qui souhaitent attaquer les symboles de l’État et la présence étrangère
L’État français n’est ni crédible, ni audible, en Afrique. Il se comporte en donneur de leçons de démocratie et de souveraineté nationale
Comment, enfin, ne pas penser à la France ? Une France qui ne cesse de perdre de son influence en Afrique.
Il n’a pas eu droit au décompte sur le nombre de jours en captivité, pas eu droit au poster affiché en permanence sur les façades de mairies
Macron aura eu tort, depuis 2017, sur à peu près tout, de l’OTAN aux banlieues en passant par la repentance coloniale ou le mépris de classe. Le Mali n’échappe pas à la règle.
Exaspéré, le Mali a annoncé ce 15 mai son retrait de la coalition du G5 Sahel, en guise de protestation contre le refus de certains membres
Le Président Macron plie les gaules au motif que si les Maliens n’aiment plus la France, elle s’en va. Quelle naïveté !
Il est temps que la France soigne son complexe de supériorité. Et cesse de laisser, par des cris de haine, humilier ses enfants.
Emmanuel Macron vient d’annoncer le retrait de la France et de ses partenaires, qui quitteront le Mali dans les prochains mois.
C’est l’histoire d’un chassé-croisé où des Français valeureux vont donner leur vie pour sauver des Maliens qui, eux, n’ont qu’une idée : fuir leur pays.
Si l’ambassadeur français a été expulsé du Mali comme un clandestin, rappelons-nous que les clandestins (notamment maliens) sont hébergés, eux, sur notre sol, tous frais payés, comme des ambassadeurs.
Géopolitologue, Aymeric Chauprade s’interroge sur les raisons qui ont poussé le Mali à expulser notre ambassadeur alors même que la France a sauvé l’État malien
Comment expliquer aux Français que leur représentant est chassé du Mali au moment où des soldats arborant le drapeau tricolore prennent des risques pour défendre ce pays ?
À l’occasion de l’hommage rendu à Alexandre Martin, tombé au Mali, Boulevard Voltaire a voulu savoir si la jeunesse était encore sensible aux valeurs de
Joyeux Noël à nos soldats, loin de chez eux, qui portent les couleurs de la France…
Rappelons que son rapatriement fut l’objet de sombres tractations : 200 djihadistes avaient été libérés et dix millions d’euros auraient été versés.
La France est-elle en train « d’abandonner le Mali en plein vol » ? C’est ce qu’affirme l’État malien alors que la Chine et la
C’est à cause du Mali que la France a lancé l’opération Barkhane en 2013. C’est à cause du Mali qu’elle risque d’y mettre fin.
Le 30 mai dernier, Emmanuel Macron déclarait, dans le JDD, que la France n’a pas « vocation à rester éternellement au Mali » et que
La France aura montré son échec à la face du monde, laissera l’Afrique en plan, se débinera malgré des victoires tactiques.
Alors que cinq de nos soldats ont été tués récemment au Mali, que six autres ont été blessés la semaine dernière, on commence à s’interroger
Si l’on ne craignait pas de faire son Tertullien de comptoir ou son Psichari grandiloquent, on dirait que le sang des soldats est aux Français ce que celui des martyrs est aux chrétiens : une semence.
Deux nouveaux militaires de l’opération Barkhane ont été tués, dimanche, au Mali. Se pose encore une fois la question des raisons de notre présence dans
Notre action au Mali est nécessaire pour endiguer la submersion migratoire qui menace de noyer l’identité de notre nation et son immense culture.
Notre gouvernement, si prompt, pourtant, à inonder les réseaux sociaux de son indignation surjouée, est, en ce dimanche, d’une discrétion de violette, muet comme une carpe, motus et bouche cousue.
Le sergent Yvonne Huynh et le brigadier Loïc Risser, du 2e régiment de hussards de Haguenau ont été tués le samedi 2 janvier dans le
Dans un silence international, les chrétiens subissent persécutions et violences croissantes à travers le monde.
Les forces françaises au Niger ressemblent aux gardes suisses de Louis XVI, qui se firent massacrer.
Les bombes artisanales et les mines sont les outils privilégiés des djihadistes qui souhaitent attaquer les symboles de l’État et la présence étrangère
L’État français n’est ni crédible, ni audible, en Afrique. Il se comporte en donneur de leçons de démocratie et de souveraineté nationale
Comment, enfin, ne pas penser à la France ? Une France qui ne cesse de perdre de son influence en Afrique.
Il n’a pas eu droit au décompte sur le nombre de jours en captivité, pas eu droit au poster affiché en permanence sur les façades de mairies
Macron aura eu tort, depuis 2017, sur à peu près tout, de l’OTAN aux banlieues en passant par la repentance coloniale ou le mépris de classe. Le Mali n’échappe pas à la règle.
Exaspéré, le Mali a annoncé ce 15 mai son retrait de la coalition du G5 Sahel, en guise de protestation contre le refus de certains membres
Le Président Macron plie les gaules au motif que si les Maliens n’aiment plus la France, elle s’en va. Quelle naïveté !
Il est temps que la France soigne son complexe de supériorité. Et cesse de laisser, par des cris de haine, humilier ses enfants.
Emmanuel Macron vient d’annoncer le retrait de la France et de ses partenaires, qui quitteront le Mali dans les prochains mois.
C’est l’histoire d’un chassé-croisé où des Français valeureux vont donner leur vie pour sauver des Maliens qui, eux, n’ont qu’une idée : fuir leur pays.
Si l’ambassadeur français a été expulsé du Mali comme un clandestin, rappelons-nous que les clandestins (notamment maliens) sont hébergés, eux, sur notre sol, tous frais payés, comme des ambassadeurs.
Géopolitologue, Aymeric Chauprade s’interroge sur les raisons qui ont poussé le Mali à expulser notre ambassadeur alors même que la France a sauvé l’État malien
Comment expliquer aux Français que leur représentant est chassé du Mali au moment où des soldats arborant le drapeau tricolore prennent des risques pour défendre ce pays ?
À l’occasion de l’hommage rendu à Alexandre Martin, tombé au Mali, Boulevard Voltaire a voulu savoir si la jeunesse était encore sensible aux valeurs de
Joyeux Noël à nos soldats, loin de chez eux, qui portent les couleurs de la France…
Rappelons que son rapatriement fut l’objet de sombres tractations : 200 djihadistes avaient été libérés et dix millions d’euros auraient été versés.
La France est-elle en train « d’abandonner le Mali en plein vol » ? C’est ce qu’affirme l’État malien alors que la Chine et la
C’est à cause du Mali que la France a lancé l’opération Barkhane en 2013. C’est à cause du Mali qu’elle risque d’y mettre fin.
Le 30 mai dernier, Emmanuel Macron déclarait, dans le JDD, que la France n’a pas « vocation à rester éternellement au Mali » et que
La France aura montré son échec à la face du monde, laissera l’Afrique en plan, se débinera malgré des victoires tactiques.
Alors que cinq de nos soldats ont été tués récemment au Mali, que six autres ont été blessés la semaine dernière, on commence à s’interroger
Si l’on ne craignait pas de faire son Tertullien de comptoir ou son Psichari grandiloquent, on dirait que le sang des soldats est aux Français ce que celui des martyrs est aux chrétiens : une semence.
Deux nouveaux militaires de l’opération Barkhane ont été tués, dimanche, au Mali. Se pose encore une fois la question des raisons de notre présence dans
Notre action au Mali est nécessaire pour endiguer la submersion migratoire qui menace de noyer l’identité de notre nation et son immense culture.
Notre gouvernement, si prompt, pourtant, à inonder les réseaux sociaux de son indignation surjouée, est, en ce dimanche, d’une discrétion de violette, muet comme une carpe, motus et bouche cousue.
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