Manifestation du 17 novembre 2018
Il y a deux jours, Emmanuel Macron reconnaissait son échec à réconcilier le peuple et ses dirigeants. Le peuple a confirmé.
S’engager à rendre compte de ses engagements, ça n’engage à rien !
Ce mouvement fera date car il a permis au peuple de prendre conscience de sa force d’action – et de blocage – et de réflexion.
Une ambiance bon enfant et populaire. Les gens se parlent facilement. Ils ont l’impression de faire partie de la même famille.
Une vérité explose : les syndicats sont désormais du côté du conservatisme…
Il a perçu et décrit avant tout le monde le divorce du peuple et des élites illégitimes qui trahissent la nation…
Une machine est lancée qui n’a même pas pour finalité d’obtenir des résultats mais juste de s’opposer ensemble, de crier ensemble que trop, c’est trop.
Vous l’avez remarqué, le mouvement du 17 novembre n’est pas très organisé. Mais c’est ce côté brouillon qui, somme toute, est gage d’authenticité.
Ce qui emmerde nos politiques, c’est que ce mouvement échappe à toute mainmise, bien qu’on l’attribue un peu vite à l’extrême droite, ce qui est très pratique.
Face à cette terrible injustice émerge une volonté populaire d’en finir avec une fiscalité démesurée…
J’irais volontiers manifester, ce serait une grande première. Mais aller où et quoi faire ?
Emmanuel Macron mise sur l’essoufflement du mouvement. Sur la base de ce pari, il pense pouvoir négliger sa communication.
Face à cette montée du ras-le-bol, l’État s’agite et cela se ressent à travers trois faits marquants…
Puisse la raison l’emporter sur votre suffisance.
Le syndicat de police VIGI appelle à manifester le 17 novembre. Son Secrétaire général Alexandre Langlois s’en explique. Il réagit, par ailleurs, à l’annonce, dans
Le chien de Pavlov sort de sa niche, la truffe à l’air mais la queue entre les jambes.
Il y a deux jours, Emmanuel Macron reconnaissait son échec à réconcilier le peuple et ses dirigeants. Le peuple a confirmé.
S’engager à rendre compte de ses engagements, ça n’engage à rien !
Ce mouvement fera date car il a permis au peuple de prendre conscience de sa force d’action – et de blocage – et de réflexion.
Une ambiance bon enfant et populaire. Les gens se parlent facilement. Ils ont l’impression de faire partie de la même famille.
Une vérité explose : les syndicats sont désormais du côté du conservatisme…
Il a perçu et décrit avant tout le monde le divorce du peuple et des élites illégitimes qui trahissent la nation…
Une machine est lancée qui n’a même pas pour finalité d’obtenir des résultats mais juste de s’opposer ensemble, de crier ensemble que trop, c’est trop.
Vous l’avez remarqué, le mouvement du 17 novembre n’est pas très organisé. Mais c’est ce côté brouillon qui, somme toute, est gage d’authenticité.
Ce qui emmerde nos politiques, c’est que ce mouvement échappe à toute mainmise, bien qu’on l’attribue un peu vite à l’extrême droite, ce qui est très pratique.
Face à cette terrible injustice émerge une volonté populaire d’en finir avec une fiscalité démesurée…
J’irais volontiers manifester, ce serait une grande première. Mais aller où et quoi faire ?
Emmanuel Macron mise sur l’essoufflement du mouvement. Sur la base de ce pari, il pense pouvoir négliger sa communication.
Face à cette montée du ras-le-bol, l’État s’agite et cela se ressent à travers trois faits marquants…
Puisse la raison l’emporter sur votre suffisance.
Le syndicat de police VIGI appelle à manifester le 17 novembre. Son Secrétaire général Alexandre Langlois s’en explique. Il réagit, par ailleurs, à l’annonce, dans
Le chien de Pavlov sort de sa niche, la truffe à l’air mais la queue entre les jambes.
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