Marine Le Pen

C’est d’une journaliste de Mediapart, Ellen Salvi, qui a le sens de la synthèse.

D’autres signes dessinent un alignement des planètes pour Marine Le Pen. Jupiter décroche et l’enquête mensuelle du JDD enregistre un nouvel affaissement de la popularité d’Emmanuel Macron, à son plus bas niveau depuis trois ans : 32 % seulement.

Notre journaliste Marc Eynaud reçoit dans votre salon Sébastien Chenu pour Boulevard Voltaire. L’un des deux vice-présidents RN de l’Assemblée nationale fait un point sur

Cette motion de censure que nous déposons est aussi un acte pour les Français.

Tous avec Jean-Michel Aphatie pour réparer l’outrage par une victoire franche et massive du RN aux prochaines présidentielles.

Dans certains territoires pauvres du nord de la France, on accueille la décision espagnole avec entrain.

Quelles démolitions ? Quelles agressions manifestes ? Quelles vitrines brisées ? Quelles victimes, morts, blessés à mettre au compte de l’ultra-droite ? Parlons a contrario des antifas ou des Black Blocs…
À la suite d’un tweet injurieux du député insoumis, Marine Le Pen a annoncé, ce soir, porter plainte contre Louis Boyard pour diffamation.

Il était entre ciel et terre, autrement dit hors sol et plus précisément entre Washington et la Nouvelle-Orléans, à bord de son avion présidentiel, lorsqu’il a donné une interview…

Comme le disait Bardella lui-même lors du grand débat des valeurs, « nous n’avons avec Reconquête que des divergences de court et moyen terme ».

Loin devant Macron et Borne, qui s’enfoncent un peu plus encore dans cette enquête YouGov pour Le HuffPost.

Ces micro-péripéties chez EELV sont plus importantes qu’il n’y paraît pour la recomposition politique en cours, y compris à droite.

À vrai dire, qui s’intéresse encore à la question du statut de l’embryon humain ? Il faut donc rentrer dans le rang.

Marine Le Pen a déposé un amendement censé constitutionnaliser la loi Veil en l’état. Une manière de répondre à la niche parlementaire de La France insoumise et au projet porté par Renaissance.

À la tête du groupe parlementaire, Marine Le Pen a quant à elle tenu à clarifier les lignes : « Le parti n’est qu’un outil et pas une fin en soi. Si c’était autre chose, je n’aurais pas quitté la présidence. »

« Le cas de Jordan ne souffre pas de discussion. Il est très aimé par les militants », se félicite Jean-Paul Garraud.

D’après le sondage de l’IFOP, la candidate du Rassemblement national agrandit son socle électoral. Mais elle ne parvient pas à gagner le second tour fictif, avec 47 %, contre 53 % pour Emmanuel Macron.

Ce n’est qu’une image. Un instant infime de la vie politique française contemporaine. Une poignée de secondes à l’antenne de la petite chaîne qui retransmet les débats de l’Assemblée nationale, La Chaîne parlementaire.

Marine Le Pen, en annonçant que le groupe RN voterait la motion proposée par la gauche, les place davantage encore devant leur responsabilité : voudront-ils finir comme les derniers soutiens d’un macronisme en perdition ?

À demi-mot, Nicolas Sarkozy souligne l’impasse politique d’Emmanuel Macron.

Le gouvernement et l’extrême gauche donnent donc des leçons de distance… avec un incroyable culot.

Une saillie qui a poussé le ministre à pointer du doigt le député et à le tancer, index levé en plein Hémicycle hors micro.
Alors que Bardella lui avait émis l’idée sur le ton de la boutade cet été, le journaliste s’est sérieusement posé la question, avant d’accepter le poste.

Éric Zemmour sait bien que c’est cette France rurale et périphérique des petites et moyennes communes qui vote majoritairement RN qui peut lui fournir l’élargissement populaire qui lui a manqué ce printemps.

Voilà des propos méritant qu’on s’y arrête, surtout en cette période où ces mêmes « valeurs républicaines », infiniment brandies, mais jamais clairement définies, envahissent à n’en plus pouvoir le champ lexical du microcosme politicien.

Pour Boulevard Voltaire, Sébastien Chenu évoque les thèmes qui ont agité les élus et les militants. Le RN regarde désormais l’avenir sans complexe.

Devant le retour au premier plan de réalités douloureuses, les délires de la NUPES et l’imposture du macronisme, le RN et tout ce qui s’en approche ont de beaux jours devant eux.

Notre Président nous l’a dit vendredi : il va nous falloir « accepter de payer le prix de la liberté ». Mais d’abord, celui du gaz, celui des déficits, celui des erreurs stratégiques en matière financière, énergétique et diplomatique.

C’est d’une journaliste de Mediapart, Ellen Salvi, qui a le sens de la synthèse.

D’autres signes dessinent un alignement des planètes pour Marine Le Pen. Jupiter décroche et l’enquête mensuelle du JDD enregistre un nouvel affaissement de la popularité d’Emmanuel Macron, à son plus bas niveau depuis trois ans : 32 % seulement.

Notre journaliste Marc Eynaud reçoit dans votre salon Sébastien Chenu pour Boulevard Voltaire. L’un des deux vice-présidents RN de l’Assemblée nationale fait un point sur

Cette motion de censure que nous déposons est aussi un acte pour les Français.

Tous avec Jean-Michel Aphatie pour réparer l’outrage par une victoire franche et massive du RN aux prochaines présidentielles.

Dans certains territoires pauvres du nord de la France, on accueille la décision espagnole avec entrain.

Quelles démolitions ? Quelles agressions manifestes ? Quelles vitrines brisées ? Quelles victimes, morts, blessés à mettre au compte de l’ultra-droite ? Parlons a contrario des antifas ou des Black Blocs…
À la suite d’un tweet injurieux du député insoumis, Marine Le Pen a annoncé, ce soir, porter plainte contre Louis Boyard pour diffamation.

Il était entre ciel et terre, autrement dit hors sol et plus précisément entre Washington et la Nouvelle-Orléans, à bord de son avion présidentiel, lorsqu’il a donné une interview…

Comme le disait Bardella lui-même lors du grand débat des valeurs, « nous n’avons avec Reconquête que des divergences de court et moyen terme ».

Loin devant Macron et Borne, qui s’enfoncent un peu plus encore dans cette enquête YouGov pour Le HuffPost.

Ces micro-péripéties chez EELV sont plus importantes qu’il n’y paraît pour la recomposition politique en cours, y compris à droite.

À vrai dire, qui s’intéresse encore à la question du statut de l’embryon humain ? Il faut donc rentrer dans le rang.

Marine Le Pen a déposé un amendement censé constitutionnaliser la loi Veil en l’état. Une manière de répondre à la niche parlementaire de La France insoumise et au projet porté par Renaissance.

À la tête du groupe parlementaire, Marine Le Pen a quant à elle tenu à clarifier les lignes : « Le parti n’est qu’un outil et pas une fin en soi. Si c’était autre chose, je n’aurais pas quitté la présidence. »

« Le cas de Jordan ne souffre pas de discussion. Il est très aimé par les militants », se félicite Jean-Paul Garraud.

D’après le sondage de l’IFOP, la candidate du Rassemblement national agrandit son socle électoral. Mais elle ne parvient pas à gagner le second tour fictif, avec 47 %, contre 53 % pour Emmanuel Macron.

Ce n’est qu’une image. Un instant infime de la vie politique française contemporaine. Une poignée de secondes à l’antenne de la petite chaîne qui retransmet les débats de l’Assemblée nationale, La Chaîne parlementaire.

Marine Le Pen, en annonçant que le groupe RN voterait la motion proposée par la gauche, les place davantage encore devant leur responsabilité : voudront-ils finir comme les derniers soutiens d’un macronisme en perdition ?

À demi-mot, Nicolas Sarkozy souligne l’impasse politique d’Emmanuel Macron.

Le gouvernement et l’extrême gauche donnent donc des leçons de distance… avec un incroyable culot.

Une saillie qui a poussé le ministre à pointer du doigt le député et à le tancer, index levé en plein Hémicycle hors micro.
Alors que Bardella lui avait émis l’idée sur le ton de la boutade cet été, le journaliste s’est sérieusement posé la question, avant d’accepter le poste.

Éric Zemmour sait bien que c’est cette France rurale et périphérique des petites et moyennes communes qui vote majoritairement RN qui peut lui fournir l’élargissement populaire qui lui a manqué ce printemps.

Voilà des propos méritant qu’on s’y arrête, surtout en cette période où ces mêmes « valeurs républicaines », infiniment brandies, mais jamais clairement définies, envahissent à n’en plus pouvoir le champ lexical du microcosme politicien.

Pour Boulevard Voltaire, Sébastien Chenu évoque les thèmes qui ont agité les élus et les militants. Le RN regarde désormais l’avenir sans complexe.

Devant le retour au premier plan de réalités douloureuses, les délires de la NUPES et l’imposture du macronisme, le RN et tout ce qui s’en approche ont de beaux jours devant eux.

Notre Président nous l’a dit vendredi : il va nous falloir « accepter de payer le prix de la liberté ». Mais d’abord, celui du gaz, celui des déficits, celui des erreurs stratégiques en matière financière, énergétique et diplomatique.
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