Mario Draghi
Dans son rapport événement, Mario Draghi ramène le rêve européen à la réalité : un pathétique naufrage.
La chute de Mario Draghi en Italie et la perspective de l’arrivée au pouvoir, en septembre prochain, de Giorgia Meloni, dirigeante du parti Fratelli d’Italia, ne seraient-ils pas les signes annonciateurs de bouleversements à venir ?
L’histoire donne raison à Giorgia Meloni et elle est en pole position car, étant dans l’opposition, elle n’a pas l’usure du pouvoir pour elle…
À se demander si la crise politique italienne, qui a des racines profondes et multiples, n’a pas été alimentée par cette crise énergétique qui a joué ici le rôle de détonateur.
C’est arrivé dans la région de Viterbe, dans le Latium. Lundi dernier, une maîtresse d’école élémentaire a été renvoyée chez elle manu militari, au beau
Vendredi avaient lieu les premières manifestations de citoyens protestant contre l’obligation du passe sanitaire à Milan et Turin.
Cette crise migratoire qui semble se profiler sera donc un test de résistance pour le très hétéroclite gouvernement Draghi, mais aussi pour la crédibilité de l’Union européenne.
Mario Draghi donne à l’Union européenne plus qu’un droit de regard sur la dépense publique italienne et sur le type de réformes à engager.
Les Italiens peuvent en être certains : Draghi ne fera rien qui puisse nuire au cénacle financier qui l’a promu au sommet.
Comme une poule trouvant un asticot, nos économistes ont donc déterré le jubilé.
Le drame, c’est que l’Italie et la France de Macron ne font absolument rien pour améliorer l’état des finances publiques.
Le scandale, c’est donc que la BCE pratique la politique monétaire actuelle, non pas pour porter l’inflation à 2 %, mais pour sauver les États, tels que la France et l’Italie, de la banqueroute…
La triste réalité, c’est que les banques et les compagnies d’assurance-vie sont en danger mortel.
Draghi quittera ses fonctions le 31 octobre 2019…
Dans son rapport événement, Mario Draghi ramène le rêve européen à la réalité : un pathétique naufrage.
La chute de Mario Draghi en Italie et la perspective de l’arrivée au pouvoir, en septembre prochain, de Giorgia Meloni, dirigeante du parti Fratelli d’Italia, ne seraient-ils pas les signes annonciateurs de bouleversements à venir ?
L’histoire donne raison à Giorgia Meloni et elle est en pole position car, étant dans l’opposition, elle n’a pas l’usure du pouvoir pour elle…
À se demander si la crise politique italienne, qui a des racines profondes et multiples, n’a pas été alimentée par cette crise énergétique qui a joué ici le rôle de détonateur.
C’est arrivé dans la région de Viterbe, dans le Latium. Lundi dernier, une maîtresse d’école élémentaire a été renvoyée chez elle manu militari, au beau
Vendredi avaient lieu les premières manifestations de citoyens protestant contre l’obligation du passe sanitaire à Milan et Turin.
Cette crise migratoire qui semble se profiler sera donc un test de résistance pour le très hétéroclite gouvernement Draghi, mais aussi pour la crédibilité de l’Union européenne.
Mario Draghi donne à l’Union européenne plus qu’un droit de regard sur la dépense publique italienne et sur le type de réformes à engager.
Les Italiens peuvent en être certains : Draghi ne fera rien qui puisse nuire au cénacle financier qui l’a promu au sommet.
Comme une poule trouvant un asticot, nos économistes ont donc déterré le jubilé.
Le drame, c’est que l’Italie et la France de Macron ne font absolument rien pour améliorer l’état des finances publiques.
Le scandale, c’est donc que la BCE pratique la politique monétaire actuelle, non pas pour porter l’inflation à 2 %, mais pour sauver les États, tels que la France et l’Italie, de la banqueroute…
La triste réalité, c’est que les banques et les compagnies d’assurance-vie sont en danger mortel.
Draghi quittera ses fonctions le 31 octobre 2019…