Matteo Salvini
Les bambini italiens ont un « papà » et une « mamma », nos écoliers français eux, attendront sagement à la grille de l’école que parent 1 ou parent 2 vienne les chercher…
Emmanuel Macron, s’il a promis de tirer des enseignements décisifs du grand débat, le fera-t-il vraiment ?
…le rappel de notre ambassadeur à Rome est une manière, pour Emmanuel Macron, de mettre en scène, de se mettre en scène, à quatre mois des élections européennes…
Faut-il y voir une persistance de l’ancestral tropisme atlantiste de l’Italie ?
Ce lundi 21 janvier, Nathalie Loiseau, ministre chargé des Affaires européennes, a convoqué l’ambassadrice italienne à Paris…
Du point de vue de Salvini, qui voudrait voir se former un grand bloc de droite après les prochaines élections au Parlement européen, ces discussions s’inscrivent dans la suite logique de ses discussions avec le Premier ministre hongrois Viktor Orbán…
Emmanuel Macron, champion malgré lui de l’Europe techno-libérale depuis l’annonce de la mise à la retraite prochaine d’Angela Merkel, se retrouve ainsi dans la position du repoussoir idéal pour tous les « lépreux » du Vieux Continent.
Ça suffit comme ça, on veut appeler un chat un chat.
On ne pourra pas se débarrasser si facilement d’Emmanuel Macron, tout simplement parce que personne de crédible aux yeux des Français n’apparaît pour l’instant sur le « marché » politique.
Désormais, la crise historique majeure des gilets jaunes, en France, pourrait bien inciter Bruxelles à plus de « compréhension ». Et à faire semblant de croire aux assurances de Rome.
Matteo Salvini commence malgré tout à se poser les bonnes questions car son propre électorat, composé de gens sérieux de droite et d’entrepreneurs dans le nord de l’Italie, est fortement préoccupé par la hausse des taux.
Force est de constater que l’Union européenne s’est constituée sur la haine des nations, voire du judéo-christianisme.
Emmanuel Macron instrumentalise l’Histoire à des fins purement politiciennes…
Elle a tenu longtemps dans cette fameuse troisième voie centriste, entre le socialisme moribond et la droite dure qui monte. Mais la diabolisation qui marchait
L’homme rode son spectacle. À propos de l’élection de Jair Bolsonaro, au Brésil, il croque ce dernier « démocrate illibéral ».
Et alors que la campagne est encore loin de nous, ils y sont déjà entrés tête baissée, sentant sans doute que les choses n’étaient pas gagnées…
En France, coup de théâtre et amant qui sort du placard de la gauche : Jean-Luc Mélenchon apporte son soutien à Salvini !
Plus la panique gagne les mondialistes destructeurs des peuples, plus ils basculent dans l’abracadabrant, moins les peuples y adhèrent.
Ils montrent surtout l’exemple d’une alliance qui se dessine et se réalisera, à coup sûr, au Parlement européen.
Il y a, comme ça, des jours où l’on se sentirait volontiers italien.
Vérificateur de bruits de bottes, encore un nouvel emploi aidé ?
Il appartient à la France de rejoindre ce concert des nations libres au sein d’une Europe des coopérations.
Ou bien le gouvernement italien fait ce qu’il a dit et la zone euro explose, puis l’Union européenne ; ou bien il ne le fait pas, et c’est l’Italie qui explose, dans la rue.
Pour Boulevard Voltaire, Nicolas Dhuicq commente l’actualité : la rencontre Salvini-Orbán et la crise migratoire en Europe. En second lieu, il analyse les dérives d’un
Entre les gouvernements populistes et les gouvernements mondialistes de l’Union européenne, les hostilités sont ouvertes.
L’un fait tourner le moulin à prières avec son « modèle humaniste de la mondialisation » tandis que l’autre en appelle aux mânes d’une histoire millénaire…
Depuis le blocage du Diciotti, aucune embarcation n’a quitté les côtes libyennes.
Les bambini italiens ont un « papà » et une « mamma », nos écoliers français eux, attendront sagement à la grille de l’école que parent 1 ou parent 2 vienne les chercher…
Emmanuel Macron, s’il a promis de tirer des enseignements décisifs du grand débat, le fera-t-il vraiment ?
…le rappel de notre ambassadeur à Rome est une manière, pour Emmanuel Macron, de mettre en scène, de se mettre en scène, à quatre mois des élections européennes…
Faut-il y voir une persistance de l’ancestral tropisme atlantiste de l’Italie ?
Ce lundi 21 janvier, Nathalie Loiseau, ministre chargé des Affaires européennes, a convoqué l’ambassadrice italienne à Paris…
Du point de vue de Salvini, qui voudrait voir se former un grand bloc de droite après les prochaines élections au Parlement européen, ces discussions s’inscrivent dans la suite logique de ses discussions avec le Premier ministre hongrois Viktor Orbán…
Emmanuel Macron, champion malgré lui de l’Europe techno-libérale depuis l’annonce de la mise à la retraite prochaine d’Angela Merkel, se retrouve ainsi dans la position du repoussoir idéal pour tous les « lépreux » du Vieux Continent.
Ça suffit comme ça, on veut appeler un chat un chat.
On ne pourra pas se débarrasser si facilement d’Emmanuel Macron, tout simplement parce que personne de crédible aux yeux des Français n’apparaît pour l’instant sur le « marché » politique.
Désormais, la crise historique majeure des gilets jaunes, en France, pourrait bien inciter Bruxelles à plus de « compréhension ». Et à faire semblant de croire aux assurances de Rome.
Matteo Salvini commence malgré tout à se poser les bonnes questions car son propre électorat, composé de gens sérieux de droite et d’entrepreneurs dans le nord de l’Italie, est fortement préoccupé par la hausse des taux.
Force est de constater que l’Union européenne s’est constituée sur la haine des nations, voire du judéo-christianisme.
Emmanuel Macron instrumentalise l’Histoire à des fins purement politiciennes…
Elle a tenu longtemps dans cette fameuse troisième voie centriste, entre le socialisme moribond et la droite dure qui monte. Mais la diabolisation qui marchait
L’homme rode son spectacle. À propos de l’élection de Jair Bolsonaro, au Brésil, il croque ce dernier « démocrate illibéral ».
Et alors que la campagne est encore loin de nous, ils y sont déjà entrés tête baissée, sentant sans doute que les choses n’étaient pas gagnées…
En France, coup de théâtre et amant qui sort du placard de la gauche : Jean-Luc Mélenchon apporte son soutien à Salvini !
Plus la panique gagne les mondialistes destructeurs des peuples, plus ils basculent dans l’abracadabrant, moins les peuples y adhèrent.
Ils montrent surtout l’exemple d’une alliance qui se dessine et se réalisera, à coup sûr, au Parlement européen.
Il y a, comme ça, des jours où l’on se sentirait volontiers italien.
Vérificateur de bruits de bottes, encore un nouvel emploi aidé ?
Il appartient à la France de rejoindre ce concert des nations libres au sein d’une Europe des coopérations.
Ou bien le gouvernement italien fait ce qu’il a dit et la zone euro explose, puis l’Union européenne ; ou bien il ne le fait pas, et c’est l’Italie qui explose, dans la rue.
Pour Boulevard Voltaire, Nicolas Dhuicq commente l’actualité : la rencontre Salvini-Orbán et la crise migratoire en Europe. En second lieu, il analyse les dérives d’un
Entre les gouvernements populistes et les gouvernements mondialistes de l’Union européenne, les hostilités sont ouvertes.
L’un fait tourner le moulin à prières avec son « modèle humaniste de la mondialisation » tandis que l’autre en appelle aux mânes d’une histoire millénaire…
Depuis le blocage du Diciotti, aucune embarcation n’a quitté les côtes libyennes.
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