Matteo Salvini

Depuis le blocage du Diciotti, aucune embarcation n’a quitté les côtes libyennes.

Le parquet a décidé d’ouvrir une enquête, non pas à l’encontre des migrants qui tentent d’entrer illégalement sur le territoire national, mais bien en visant le ministre Salvini…

Prétendre donner des leçons aux peuples, outre la sotte vanité et la maladresse insigne, est, au minimum, une lamentable erreur diplomatique.

La coalition italienne exige que l’Union européenne efface 250 milliards d’euros de la dette publique de l’Italie, sinon Rome sortira de la zone euro.

Il est vrai que la gouvernance compassionnelle s’accompagne aussi de la dilution des responsabilités.

Il faudra bien, un jour, que les autruches relèvent la tête. Même sur la plage de Brégançon.

On ne peut être gentil et méchant à la fois. Matteo Salvini l’a bien compris : il fait le méchant, et cela lui réussit pas trop mal…

À qui appartient le sol ? L’histoire n’a toujours donné qu’une seule réponse : aux vivants.

À cette Europe post-soixante-huitarde, Viktor Orbán oppose la nouvelle génération, à laquelle Emmanuel Macron n’appartient que par l’âge biologique.

Un huis clos dramatique commence. L’issue sera très brutale.
Elle a, jeudi, inscrit sa démarche et sa vision de l’Europe dans celles de Viktor Orbán.
Matteo Gaduelo décrypte, au micro de Boulevard Voltaire, les dessous de la saisie des comptes de la Ligue par la justice italienne ainsi que l’action

L’extension de la saisie à toutes sommes futures perçues, et la sanction tombant avant la conclusion de l’enquête, laissent peu de doute sur les véritables motivations de cette affaire.

Il est donc dit que c’est d’Italie que viendra l’opposition à Macron et à tout ce qu’il représente.

Les Italiens en ont, eux aussi, pris pour leur grade, notamment lorsque Macron a comparé leurs inquiétudes face à l’incroyable immigration de peuplement en acte à une épidémie de « lèpre ».

La proposition de Macron n’est que la reprise, sous une autre forme, mais plus dangereuse, des « Hot spots ».

M. Macron devra alors se rendre à l’évidence : insulter les peuples n’est que l’aveu de faiblesse de celui qui n’est qu’un accident de l’Histoire…
À quand une loi pour définir la critique de l’immigration comme un délit ?

Le président de la République, se voulant aux antipodes du décret italien, n’était pas non plus en accord avec l’humanisme espagnol. Il a tenté de picorer et, en définitive, a oscillé.

Moins médiatique et pourtant cruciale, une autre bataille se livre au sein même du pays : celle des défenseurs de la famille traditionnelle.

Pendant ce temps, comme en contraste, les Italiens manifestent nombreux leur soutien à Salvini dans les rues de Gênes, où il se trouve.

Et en France ? Macron ne se risquera pas à poser la question…

Plus que jamais, le maître du jeu, c’est Salvini.

Finalement, les populistes, même arrivés au pouvoir, ça a quand même deux mérites : ça tient ses promesses et ça met les pieds dans le plat.

l’Aquarius, navire de l’association SOS Méditerranée s’est présenté dans la matinée du 10 juin avec sa cargaison d’êtres humains, et pas qu’un peu : 629.
On peut se demander si les prochaines élections européennes ne révéleront pas une quasi-majorité d’eurosceptiques. Ce serait alors le début de la fin.
Le propre de ces gouvernements « populistes », c’est qu’ils s’opposent forcément là où leurs intérêts nationaux divergent.

Dans une société qui a peur des mots et qui prend pour écart de langage toute expression de la réalité, il n’y a pas de doute : les dires du nouveau ministre de l’Intérieur italien, Matteo Salvini, ont de quoi choquer.

Depuis le blocage du Diciotti, aucune embarcation n’a quitté les côtes libyennes.

Le parquet a décidé d’ouvrir une enquête, non pas à l’encontre des migrants qui tentent d’entrer illégalement sur le territoire national, mais bien en visant le ministre Salvini…

Prétendre donner des leçons aux peuples, outre la sotte vanité et la maladresse insigne, est, au minimum, une lamentable erreur diplomatique.

La coalition italienne exige que l’Union européenne efface 250 milliards d’euros de la dette publique de l’Italie, sinon Rome sortira de la zone euro.

Il est vrai que la gouvernance compassionnelle s’accompagne aussi de la dilution des responsabilités.

Il faudra bien, un jour, que les autruches relèvent la tête. Même sur la plage de Brégançon.

On ne peut être gentil et méchant à la fois. Matteo Salvini l’a bien compris : il fait le méchant, et cela lui réussit pas trop mal…

À qui appartient le sol ? L’histoire n’a toujours donné qu’une seule réponse : aux vivants.

À cette Europe post-soixante-huitarde, Viktor Orbán oppose la nouvelle génération, à laquelle Emmanuel Macron n’appartient que par l’âge biologique.

Un huis clos dramatique commence. L’issue sera très brutale.
Elle a, jeudi, inscrit sa démarche et sa vision de l’Europe dans celles de Viktor Orbán.
Matteo Gaduelo décrypte, au micro de Boulevard Voltaire, les dessous de la saisie des comptes de la Ligue par la justice italienne ainsi que l’action

L’extension de la saisie à toutes sommes futures perçues, et la sanction tombant avant la conclusion de l’enquête, laissent peu de doute sur les véritables motivations de cette affaire.

Il est donc dit que c’est d’Italie que viendra l’opposition à Macron et à tout ce qu’il représente.

Les Italiens en ont, eux aussi, pris pour leur grade, notamment lorsque Macron a comparé leurs inquiétudes face à l’incroyable immigration de peuplement en acte à une épidémie de « lèpre ».

La proposition de Macron n’est que la reprise, sous une autre forme, mais plus dangereuse, des « Hot spots ».

M. Macron devra alors se rendre à l’évidence : insulter les peuples n’est que l’aveu de faiblesse de celui qui n’est qu’un accident de l’Histoire…
À quand une loi pour définir la critique de l’immigration comme un délit ?

Le président de la République, se voulant aux antipodes du décret italien, n’était pas non plus en accord avec l’humanisme espagnol. Il a tenté de picorer et, en définitive, a oscillé.

Moins médiatique et pourtant cruciale, une autre bataille se livre au sein même du pays : celle des défenseurs de la famille traditionnelle.

Pendant ce temps, comme en contraste, les Italiens manifestent nombreux leur soutien à Salvini dans les rues de Gênes, où il se trouve.

Et en France ? Macron ne se risquera pas à poser la question…

Plus que jamais, le maître du jeu, c’est Salvini.

Finalement, les populistes, même arrivés au pouvoir, ça a quand même deux mérites : ça tient ses promesses et ça met les pieds dans le plat.

l’Aquarius, navire de l’association SOS Méditerranée s’est présenté dans la matinée du 10 juin avec sa cargaison d’êtres humains, et pas qu’un peu : 629.
On peut se demander si les prochaines élections européennes ne révéleront pas une quasi-majorité d’eurosceptiques. Ce serait alors le début de la fin.
Le propre de ces gouvernements « populistes », c’est qu’ils s’opposent forcément là où leurs intérêts nationaux divergent.

Dans une société qui a peur des mots et qui prend pour écart de langage toute expression de la réalité, il n’y a pas de doute : les dires du nouveau ministre de l’Intérieur italien, Matteo Salvini, ont de quoi choquer.
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