McKinsey
Pour Boulevard Voltaire, l’ancien député européen avait fait part de ses échanges privés avec Emmanuel Macron
La Cour des comptes s’inquiète de la mauvaise gestion et des folles dépenses engendrées par cette pratique.
Des consultants de McKinsey auraient participé de façon « active » à la campagne d’Emmanuel Macron.
Il fallait bien trouver des appuis quelque part.
Tout cela fleure bon le renvoi d’ascenseur, l’entre-soi velouté, la clarté obscure des hôtels de luxe, l’honnêteté en option, la manipulation tranquille et le froid mépris des Français.
Une campagne électorale en cache toujours une autre. Celle qui vient avec l’élection des députés sera-t-elle perturbée par cette nouvelle étape du dossier McKinsey ?
Devant la pression de ces deux actions, le PNF a rendu public, mercredi 6 avril au matin, par un communiqué, le fait qu’il a ouvert « une enquête préliminaire, le jeudi 31 mars 2022, du fait de blanchiment aggravé de fraude fiscale » par le cabinet privé McKinsey.
Parmi tous les problèmes soulevés par la commission d’enquête, certains illustrent de manière criante ce qu’incarne aujourd’hui la Macronie et posent de réels problèmes de souveraineté et de déontologie.
Ces trois actions judiciaires soulignent toutes les trois un trait majeur de la Macronie : la légèreté.
Jusqu’à la révélation de l’intervention de ce cabinet de conseil, les 18 experts mandatés par l’Élysée ignoraient tout de ce travail parallèle qui s’est déroulé dans leur dos.
En outre, les sénateurs annoncent saisir la Justice pour « suspicion de faux témoignage » à l’encontre d’un dirigeant du cabinet McKinsey…
Sans porter aucune accusation contre qui que ce soit, il convient tout de même de s’interroger sur ce microcosme politico-économique, cette grande famille de la Macronie…
McKinsey embarrasse visiblement le gouvernement à une semaine du premier tour de l’élection présidentielle. L’affaire révèle la face cachée de la Macronie, comme l’expliquait Marc
Les enseignants et les contribuables apprécieront.
En plus d’être tardives, les réponses du gouvernement demeurent insuffisantes et légères pour un sujet extrêmement grave, et l’argumentation employée est faible quand elle n’est pas hors sujet.
L’idée, dit-on, est de rendre la fonction publique plus « opérationnelle ». Elle ne le serait donc pas aujourd’hui, ce qui expliquerait l’appel incessant à de la ressource externe ?
Payer presque 300.000 euros pour proposer de remplacer La Poste par La Poste, il fallait le trouver.
L’information est sensible. Directement concernés, la banque Rothschild, l’Élysée et Bercy démentent catégoriquement les conclusions de cette enquête à prendre donc avec beaucoup de précaution.
Si l’on en croit Le Canard enchaîné, généralement bien informé, la politique sanitaire d’Olivier Véran serait ainsi influencée par un consultant dudit cabinet, Maël de Calan.
Sur près de 400 pages, le rapport du Sénat compte bien des perles sur l’incroyable voracité des cabinets de conseil privés et sur leur influence dans les politiques publiques… Revue de détails explosive.
À part le titre ronflant, ce rapport est un enfilement de phrases creuses…
Pour se défendre, le Président-candidat n’a pas hésité à enfoncer les portes ouvertes…
Une question existentielle habite l’esprit de beaucoup d’entre vous avant l’échéance présidentielle : pourquoi le peuple français réagit-il si peu au scandale des cabinets de conseil ?
Les Français vont-ils accepter, soumis, d’avoir été trompés, trahis, humiliés et de l’être à nouveau cinq ans de plus ?
L’enquête du Sénat est formelle : le cabinet McKinsey n’a pas payé d’impôts en France depuis au moins dix ans, entre 2011 et 2020.
Malgré le discours policé du gouvernement, il reste irréfutable qu’un laissez-faire a été accordé à ces grands cabinets de conseil. La raison ? Certains ont côtoyé Emmanuel Macron bien avant qu’il ne soit président de la République.
D’ailleurs, nous explique le marchand de cravates gouvernemental, en France, l’Etat a dépensé quarante fois moins que d’autres pays comme le Royaume-Uni, ce qui, soit dit en passant, laisse une sacrée marge pour le second mandat…
Selon le rapport de la commission d’enquête sénatoriale sur les cabinets de conseil, rendu public ce jeudi, le cabinet de conseil McKinsey n’aurait payé aucun impôt sur ses sociétés depuis dix ans.
Pour Boulevard Voltaire, l’ancien député européen avait fait part de ses échanges privés avec Emmanuel Macron
La Cour des comptes s’inquiète de la mauvaise gestion et des folles dépenses engendrées par cette pratique.
Des consultants de McKinsey auraient participé de façon « active » à la campagne d’Emmanuel Macron.
Il fallait bien trouver des appuis quelque part.
Tout cela fleure bon le renvoi d’ascenseur, l’entre-soi velouté, la clarté obscure des hôtels de luxe, l’honnêteté en option, la manipulation tranquille et le froid mépris des Français.
Une campagne électorale en cache toujours une autre. Celle qui vient avec l’élection des députés sera-t-elle perturbée par cette nouvelle étape du dossier McKinsey ?
Devant la pression de ces deux actions, le PNF a rendu public, mercredi 6 avril au matin, par un communiqué, le fait qu’il a ouvert « une enquête préliminaire, le jeudi 31 mars 2022, du fait de blanchiment aggravé de fraude fiscale » par le cabinet privé McKinsey.
Parmi tous les problèmes soulevés par la commission d’enquête, certains illustrent de manière criante ce qu’incarne aujourd’hui la Macronie et posent de réels problèmes de souveraineté et de déontologie.
Ces trois actions judiciaires soulignent toutes les trois un trait majeur de la Macronie : la légèreté.
Jusqu’à la révélation de l’intervention de ce cabinet de conseil, les 18 experts mandatés par l’Élysée ignoraient tout de ce travail parallèle qui s’est déroulé dans leur dos.
En outre, les sénateurs annoncent saisir la Justice pour « suspicion de faux témoignage » à l’encontre d’un dirigeant du cabinet McKinsey…
Sans porter aucune accusation contre qui que ce soit, il convient tout de même de s’interroger sur ce microcosme politico-économique, cette grande famille de la Macronie…
McKinsey embarrasse visiblement le gouvernement à une semaine du premier tour de l’élection présidentielle. L’affaire révèle la face cachée de la Macronie, comme l’expliquait Marc
Les enseignants et les contribuables apprécieront.
En plus d’être tardives, les réponses du gouvernement demeurent insuffisantes et légères pour un sujet extrêmement grave, et l’argumentation employée est faible quand elle n’est pas hors sujet.
L’idée, dit-on, est de rendre la fonction publique plus « opérationnelle ». Elle ne le serait donc pas aujourd’hui, ce qui expliquerait l’appel incessant à de la ressource externe ?
Payer presque 300.000 euros pour proposer de remplacer La Poste par La Poste, il fallait le trouver.
L’information est sensible. Directement concernés, la banque Rothschild, l’Élysée et Bercy démentent catégoriquement les conclusions de cette enquête à prendre donc avec beaucoup de précaution.
Si l’on en croit Le Canard enchaîné, généralement bien informé, la politique sanitaire d’Olivier Véran serait ainsi influencée par un consultant dudit cabinet, Maël de Calan.
Sur près de 400 pages, le rapport du Sénat compte bien des perles sur l’incroyable voracité des cabinets de conseil privés et sur leur influence dans les politiques publiques… Revue de détails explosive.
À part le titre ronflant, ce rapport est un enfilement de phrases creuses…
Pour se défendre, le Président-candidat n’a pas hésité à enfoncer les portes ouvertes…
Une question existentielle habite l’esprit de beaucoup d’entre vous avant l’échéance présidentielle : pourquoi le peuple français réagit-il si peu au scandale des cabinets de conseil ?
Les Français vont-ils accepter, soumis, d’avoir été trompés, trahis, humiliés et de l’être à nouveau cinq ans de plus ?
L’enquête du Sénat est formelle : le cabinet McKinsey n’a pas payé d’impôts en France depuis au moins dix ans, entre 2011 et 2020.
Malgré le discours policé du gouvernement, il reste irréfutable qu’un laissez-faire a été accordé à ces grands cabinets de conseil. La raison ? Certains ont côtoyé Emmanuel Macron bien avant qu’il ne soit président de la République.
D’ailleurs, nous explique le marchand de cravates gouvernemental, en France, l’Etat a dépensé quarante fois moins que d’autres pays comme le Royaume-Uni, ce qui, soit dit en passant, laisse une sacrée marge pour le second mandat…
Selon le rapport de la commission d’enquête sénatoriale sur les cabinets de conseil, rendu public ce jeudi, le cabinet de conseil McKinsey n’aurait payé aucun impôt sur ses sociétés depuis dix ans.
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