Médias
L’opération est à la fois subtile et révélatrice.
Sur cette affaire, les médias s’en tiennent au strict minimum. De peur de « faire le jeu de… » ?
Les internes sont la cheville ouvrière des hôpitaux. Sans eux, il ne reste plus qu’à fermer les services.
Dans Les Combattantes de l’info, Gérard Bardy tire le portrait de dix femmes qui osent défier le système médiatique.
Comme C8, L’Incorrect fait l’expérience de ce que vit la presse sous les régimes autoritaires.
Marion Van Renterghem ne recule devant aucun sacrifice pour informer le monde libre et faire barrage aux extrêmes.
Jeudi 16 mai, la cour d’appel de Paris s’est prononcée en faveur de l’abandon des poursuites contre les gendarmes.
« Le plan migratoire voulu par l’UE se déroule à la perfection en France avec son Président élève appliqué ».
Face à la montée de Le Pen, Macron mobilise les industriels des médias.
L’arrivée de Geoffroy Lejeune à la tête du Journal du dimanche a donné le signal de la mobilisation.
Le réseau social Twitter signale, depuis quelques jours, les médias publics propriété d’un État.
Un collectif de personnalités issues des médias a annoncé le lancement de l’Association des journalistes antiracistes et racisé·e·s (AJAR) « pour s’attaquer au racisme dans le journalisme ».
L’affaire confirme ce que tous pressentent : la collusion entre le pouvoir politique et les grands médias.
Les résultats d’une étude menée dans 46 pays ont de quoi dessiller les yeux de ces grands médias que les Français ne croient plus.
Alors Marine Le Pen a perdu, mais cette présidentielle signe surtout l’absolue défaite de la pluralité de la presse.
Dans cette grande démocratie libérale où les opinions et les médias sont si libres, faisons le compte des médias qui ne sont pas violemment hostiles à la candidate de deuxième tour.
On peine à ne pas voir, devant cette réaction épidermique médiatico-politique, une sorte de réflexe pavlovien à deux vitesses selon le média visé ou le candidat attaqué.
Dans l’océan de consensualisme mou de la presse française, un titre émerge avec fierté comme un phare sur une mer d’ennui. Le mensuel Causeur fête son numéro 100.
Lorsque ce dispositif se penche sur la pornographie, l’utilisation de mineurs dans des activités manifestement illicites ou le piratage, il est acceptable. S’il s’applique un jour aux opinions, on pourra craindre une dérive à la chinoise.
Ne dites plus jamais que la mère est une femme et le père est un homme.
Cette appétence à tendre le micro a fini par créer une sorte de « mainthink » qui fonctionne comme un paradigme, auquel il est difficile d’échapper.
Le réchauffement (indéniable) constaté est purement local et ne concerne que la péninsule Antarctique.
Le principe de précaution semble, encore une fois, à géométrie variable…
Après le virage à gauche concrétisé par l’arrivée de Patrick Cohen l’année dernière, la station effectue un repli vers la variété au service de l’info.
Le concours Lépine des fausses bonnes idées bat son plein…
L’opération est à la fois subtile et révélatrice.
Sur cette affaire, les médias s’en tiennent au strict minimum. De peur de « faire le jeu de… » ?
Les internes sont la cheville ouvrière des hôpitaux. Sans eux, il ne reste plus qu’à fermer les services.
Dans Les Combattantes de l’info, Gérard Bardy tire le portrait de dix femmes qui osent défier le système médiatique.
Comme C8, L’Incorrect fait l’expérience de ce que vit la presse sous les régimes autoritaires.
Marion Van Renterghem ne recule devant aucun sacrifice pour informer le monde libre et faire barrage aux extrêmes.
Jeudi 16 mai, la cour d’appel de Paris s’est prononcée en faveur de l’abandon des poursuites contre les gendarmes.
« Le plan migratoire voulu par l’UE se déroule à la perfection en France avec son Président élève appliqué ».
Face à la montée de Le Pen, Macron mobilise les industriels des médias.
L’arrivée de Geoffroy Lejeune à la tête du Journal du dimanche a donné le signal de la mobilisation.
Le réseau social Twitter signale, depuis quelques jours, les médias publics propriété d’un État.
Un collectif de personnalités issues des médias a annoncé le lancement de l’Association des journalistes antiracistes et racisé·e·s (AJAR) « pour s’attaquer au racisme dans le journalisme ».
L’affaire confirme ce que tous pressentent : la collusion entre le pouvoir politique et les grands médias.
Les résultats d’une étude menée dans 46 pays ont de quoi dessiller les yeux de ces grands médias que les Français ne croient plus.
Alors Marine Le Pen a perdu, mais cette présidentielle signe surtout l’absolue défaite de la pluralité de la presse.
Dans cette grande démocratie libérale où les opinions et les médias sont si libres, faisons le compte des médias qui ne sont pas violemment hostiles à la candidate de deuxième tour.
On peine à ne pas voir, devant cette réaction épidermique médiatico-politique, une sorte de réflexe pavlovien à deux vitesses selon le média visé ou le candidat attaqué.
Dans l’océan de consensualisme mou de la presse française, un titre émerge avec fierté comme un phare sur une mer d’ennui. Le mensuel Causeur fête son numéro 100.
Lorsque ce dispositif se penche sur la pornographie, l’utilisation de mineurs dans des activités manifestement illicites ou le piratage, il est acceptable. S’il s’applique un jour aux opinions, on pourra craindre une dérive à la chinoise.
Ne dites plus jamais que la mère est une femme et le père est un homme.
Cette appétence à tendre le micro a fini par créer une sorte de « mainthink » qui fonctionne comme un paradigme, auquel il est difficile d’échapper.
Le réchauffement (indéniable) constaté est purement local et ne concerne que la péninsule Antarctique.
Le principe de précaution semble, encore une fois, à géométrie variable…
Après le virage à gauche concrétisé par l’arrivée de Patrick Cohen l’année dernière, la station effectue un repli vers la variété au service de l’info.
Le concours Lépine des fausses bonnes idées bat son plein…