Mercosur

Ils dénoncent une concurrence déloyale et demandent à être protégés.

« Qu’attendez-vous pour assumer les conséquences de vos actes ? », demande au RN un Attal, Grand Prix du culot macroniste.

Mais au nom de qui, exactement, cette dame parle-t-elle ?
Cet accord vise à supprimer la quasi-totalité des droits de douane entre les deux zones économiques

Revenus en berne, cotisations écrasantes : le monde agricole continue de crier sa colère auprès de la MSA.

À force de préférer l’Union européenne à la France, la mondialisation à la nation, il faut bien en payer le prix.

Le monde du textile, de l’acier, de l’automobile cèdent sous les coups. Les paysans, eux, tiennent tête.

Dans cette affaire du Mercosur, c’est à Bruxelles et non à Buenos Aires que se réglera l’affaire.

Les paysans seuls face à un accord qui plantera « le dernier clou dans le cercueil de l’agriculture française ».

Derrière cet accord se cache une réalité cynique.

« Si le mouvement repart, il repartira sans les syndicats et là, ce sera incontrôlable », lance un agriculteur de l’Allier

Outre le Mercosur, bien d’autres accords – effectifs – représentent un danger pour nos agriculteurs.
Des propos en dissonance avec ceux d’Emmanuel Macron

La colère des agriculteurs gronde aux portes de Paris depuis lundi. Le Premier ministre du gouvernement Gabriel Attal, s’est adressé aux paysans dans une tentative

Ils dénoncent une concurrence déloyale et demandent à être protégés.

« Qu’attendez-vous pour assumer les conséquences de vos actes ? », demande au RN un Attal, Grand Prix du culot macroniste.

Mais au nom de qui, exactement, cette dame parle-t-elle ?
Cet accord vise à supprimer la quasi-totalité des droits de douane entre les deux zones économiques

Revenus en berne, cotisations écrasantes : le monde agricole continue de crier sa colère auprès de la MSA.

À force de préférer l’Union européenne à la France, la mondialisation à la nation, il faut bien en payer le prix.

Le monde du textile, de l’acier, de l’automobile cèdent sous les coups. Les paysans, eux, tiennent tête.

Dans cette affaire du Mercosur, c’est à Bruxelles et non à Buenos Aires que se réglera l’affaire.

Les paysans seuls face à un accord qui plantera « le dernier clou dans le cercueil de l’agriculture française ».

Derrière cet accord se cache une réalité cynique.

« Si le mouvement repart, il repartira sans les syndicats et là, ce sera incontrôlable », lance un agriculteur de l’Allier

Outre le Mercosur, bien d’autres accords – effectifs – représentent un danger pour nos agriculteurs.
Des propos en dissonance avec ceux d’Emmanuel Macron

La colère des agriculteurs gronde aux portes de Paris depuis lundi. Le Premier ministre du gouvernement Gabriel Attal, s’est adressé aux paysans dans une tentative
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