Messe
La Croix et Kermel portent une lourde responsabilité, que l’on imagine idéologiquement assumée, en publiant une chronique aussi accusatrice vis-à-vis de l’Église déjà suffisamment dans la tourmente d’une part, mais surtout complétement trompeuse sur les plans philosophique et théologique d’autre part.
Le maire ne baisse pas les bras et la fête sera de toutes façons célébrée avec faste, avec « des cloches qui sonneront à toute volée ». L’espoir renait grâce à ces courageux maires de France !
Une messe « féministe » et « inclusive » a été célébrée, dimanche dernier, en la paroisse Saint-Pierre de Montrouge par le groupe « Féminisme
Notre monde a bien changé. Nos aïeux sont désormais isolés et mis à distance de leurs petits-enfants pour les « protéger ». Quant à la messe de minuit, elle est ancrée dans les esprits comme un souvenir suranné.
L’Église, dernier rempart moral dans cette société, ne vient-elle pas d’ouvrir une brèche dans laquelle certains ne manqueront pas de s’engouffrer ?
Si les catholiques comptaient sur une révision de la jauge de 30 personnes pour la reprise des messes, comme l’aurait promis Emmanuel Macron à la
Emmanuel Macron ne doit pas fréquenter souvent les églises, le dimanche, pour avoir limité à trente personnes le nombre de fidèles autorisés à assister à la messe, à partir du 28 novembre.
Dieu choisit les « petits » pour faire honte à de nombreux apparatchiks cléricaux et à de nombreux évêques, qui sont lâches devant les puissants du monde politique et médiatique…
Des cagoules, genre Ku Klux Klan, eussent été l’idéal, faut reconnaître. Dommage…
Un peu de théologie est donc nécessaire, à défaut de convictions, de courage ou même d’un sens élémentaire de la justice.
Le collectif « Objectif Messe » est né de l’initiative de plusieurs jeunes catholiques français à la suite des décisions gouvernementales privant les fidèles de la participation des messes dominicales.
Il est assez logique que l’opposition vienne au premier chef de ceux qui restent persuadés qu’ils ne sont pas tout à fait ce bourricot buté, ce cheval de trait ou ce poney rose dont Jean Castex veut serrer la bride, et qu’ils ont – pardon pour ce mot incongru – une âme à soigner.
Dimanche de mobilisation pour de nombreux catholiques français qui réclament le respect de la liberté du culte.
Monseigneur Pierre d’Ornellas, archevêque de Rennes, par un tweet publié le 14 novembre, tente de décourager les catholiques de manifester et de prier devant des cathédrales et des églises de France.
Ils savent, certes, que la messe n’est pas le tout de la foi mais qu’elle en est le fondement, le pilier, la source.
À Nantes, dimanche matin, puis à Versailles, dimanche soir, ils sont venus demander la messe sur le parvis de la cathédrale.
Pour les requérants, c’est la disproportion des mesures qui scandalise.
Quand on interdit la messe, c’est qu’on a déjà sapé beaucoup des libertés fondamentales.
L’Histoire retiendra que cette décision de justice fut prise suite à la saisine d’associations de la « mouvance traditionnelle ». Des fidèles, de simples prêtres. Pas un évêque.
Si Olivier Véran a quelques amis, ceux-ci devraient le mettre en garde.
Le discours des Bernardins avait manifesté à l’égard de l’Église catholique un mépris qui n’a pas d’équivalent dans l’histoire de la République française.
À sa décharge, le texte est si confus qu’on s’y perd immédiatement. Difficile d’y voir clair.
Emmanuelle Ménard, députée de l’Hérault, est intervenue à l’Assemblée nationale pour demander que les lieux de culte soient rouverts dès le 11 mai.
C’est fou, quand on tire le fil, le nombre de libertés assez superflues.
La révolte gronde-t-elle chez les catholiques, privés de messe depuis la mi-mars, et semble-t-il jusqu’au 2 juin ? En dépit des déclarations lénifiantes de certains
Messeigneurs, la mollesse ou l’esquive ne sont plus de mise face à ceux qui ne veulent que votre effacement et la perdition de vos brebis.
Déconfinement annoncé des écoles, des entreprises, des transports, des musées, des commerces… mais il ne serait toujours pas possible, le 11 mai, d’aller à la messe ?
Alors que le déconfinement est prévu le 11 mai, on a appris cette semaine que les messes publiques ne devraient pas reprendre avant mi-juin…
La Croix et Kermel portent une lourde responsabilité, que l’on imagine idéologiquement assumée, en publiant une chronique aussi accusatrice vis-à-vis de l’Église déjà suffisamment dans la tourmente d’une part, mais surtout complétement trompeuse sur les plans philosophique et théologique d’autre part.
Le maire ne baisse pas les bras et la fête sera de toutes façons célébrée avec faste, avec « des cloches qui sonneront à toute volée ». L’espoir renait grâce à ces courageux maires de France !
Une messe « féministe » et « inclusive » a été célébrée, dimanche dernier, en la paroisse Saint-Pierre de Montrouge par le groupe « Féminisme
Notre monde a bien changé. Nos aïeux sont désormais isolés et mis à distance de leurs petits-enfants pour les « protéger ». Quant à la messe de minuit, elle est ancrée dans les esprits comme un souvenir suranné.
L’Église, dernier rempart moral dans cette société, ne vient-elle pas d’ouvrir une brèche dans laquelle certains ne manqueront pas de s’engouffrer ?
Si les catholiques comptaient sur une révision de la jauge de 30 personnes pour la reprise des messes, comme l’aurait promis Emmanuel Macron à la
Emmanuel Macron ne doit pas fréquenter souvent les églises, le dimanche, pour avoir limité à trente personnes le nombre de fidèles autorisés à assister à la messe, à partir du 28 novembre.
Dieu choisit les « petits » pour faire honte à de nombreux apparatchiks cléricaux et à de nombreux évêques, qui sont lâches devant les puissants du monde politique et médiatique…
Des cagoules, genre Ku Klux Klan, eussent été l’idéal, faut reconnaître. Dommage…
Un peu de théologie est donc nécessaire, à défaut de convictions, de courage ou même d’un sens élémentaire de la justice.
Le collectif « Objectif Messe » est né de l’initiative de plusieurs jeunes catholiques français à la suite des décisions gouvernementales privant les fidèles de la participation des messes dominicales.
Il est assez logique que l’opposition vienne au premier chef de ceux qui restent persuadés qu’ils ne sont pas tout à fait ce bourricot buté, ce cheval de trait ou ce poney rose dont Jean Castex veut serrer la bride, et qu’ils ont – pardon pour ce mot incongru – une âme à soigner.
Dimanche de mobilisation pour de nombreux catholiques français qui réclament le respect de la liberté du culte.
Monseigneur Pierre d’Ornellas, archevêque de Rennes, par un tweet publié le 14 novembre, tente de décourager les catholiques de manifester et de prier devant des cathédrales et des églises de France.
Ils savent, certes, que la messe n’est pas le tout de la foi mais qu’elle en est le fondement, le pilier, la source.
À Nantes, dimanche matin, puis à Versailles, dimanche soir, ils sont venus demander la messe sur le parvis de la cathédrale.
Pour les requérants, c’est la disproportion des mesures qui scandalise.
Quand on interdit la messe, c’est qu’on a déjà sapé beaucoup des libertés fondamentales.
L’Histoire retiendra que cette décision de justice fut prise suite à la saisine d’associations de la « mouvance traditionnelle ». Des fidèles, de simples prêtres. Pas un évêque.
Si Olivier Véran a quelques amis, ceux-ci devraient le mettre en garde.
Le discours des Bernardins avait manifesté à l’égard de l’Église catholique un mépris qui n’a pas d’équivalent dans l’histoire de la République française.
À sa décharge, le texte est si confus qu’on s’y perd immédiatement. Difficile d’y voir clair.
Emmanuelle Ménard, députée de l’Hérault, est intervenue à l’Assemblée nationale pour demander que les lieux de culte soient rouverts dès le 11 mai.
C’est fou, quand on tire le fil, le nombre de libertés assez superflues.
La révolte gronde-t-elle chez les catholiques, privés de messe depuis la mi-mars, et semble-t-il jusqu’au 2 juin ? En dépit des déclarations lénifiantes de certains
Messeigneurs, la mollesse ou l’esquive ne sont plus de mise face à ceux qui ne veulent que votre effacement et la perdition de vos brebis.
Déconfinement annoncé des écoles, des entreprises, des transports, des musées, des commerces… mais il ne serait toujours pas possible, le 11 mai, d’aller à la messe ?
Alors que le déconfinement est prévu le 11 mai, on a appris cette semaine que les messes publiques ne devraient pas reprendre avant mi-juin…