Migrants
Il faudra bien, un jour, que les autruches relèvent la tête. Même sur la plage de Brégançon.
On ne peut être gentil et méchant à la fois. Matteo Salvini l’a bien compris : il fait le méchant, et cela lui réussit pas trop mal…
Mais savez-vous qui a proposé d’accueillir l’Aquarius ? Le port de Sète, dans l’Hérault ! Ou, plus exactement, son président, Jean-Claude Gayssot, communiste historique…
En cadeau de fiançailles, Pedro Sánchez s’est engagé à reprendre tous les migrants qui arriveraient sur le territoire allemand après avoir déposé une demande d’asile en Espagne.
Sans aucun doute pour y acheter des semences ou des outils…
ces postes n’intéressant pas les Français n’auront pas plus de succès chez les immigrés. Croire le contraire reviendrait à les prendre pour une main-d’œuvre taillable et corvéable à merci.
Son nouveau gouvernement met en œuvre sa propre politique migratoire, déconnectée de Bruxelles.
Un huis clos dramatique commence. L’issue sera très brutale.
On ne voit pas pourquoi les migrants ne représenteraient pas, pour la Tunisie, ce qu’ils représentent pour la France, à savoir « une opportunité économique » !
À Nantes, comme ailleurs en France et en Europe, les migrants africains deviennent une pièce maîtresse des luttes politiques.
Pourtant, que l’on sache, l’Albanie n’est pas un pays en guerre…
Tout ce qui n’est pas politiquement correct devient nazi et tout ce qui est un peu plus autoritaire est fascisant.
Bref, ce petit monde est arrivé à Calais. Et plus si affinités. Et c’est là où ça s’est corsé.
Elle ouvre grand la porte à toutes les associations militantes dont l’unique objet est de faire entrer sur notre sol les cohortes d’immigrés clandestins se pressant à nos frontières.
Par autocars, par camions, et même convois exceptionnels, il va pouvoir enfin vider l’Afrique de ses habitants. Ensuite, s’attaquer à l’Inde, où la misère sévit également.
Cédric Herrou a profité de la crise migratoire pour sortir de son silence et recadrer le président de la République : « Il faudrait qu’il prenne une petite leçon de fraternité. »
on le savait depuis quelques semaines : les questions nationales ont pris le pas sur toutes autres considérations bruxelloïdes.
Si la France est un pays d’affreux racistes, à quoi bon s’acharner, prendre le risque d’une guerre civile ?
Tout est bon pour culpabiliser les peuples européens…
Le pays réel voit ce qu’il voit, y compris à travers le prisme délibérément déformé et déformant des grands médias.
On ne peut fermer, le lundi, les ports français aux migrants de l’Aquarius et, le mardi, décider d’en accueillir.
L’éclair de lucidité dont fait preuve le président du Sénat tient dans cette phrase terrible : « Des Aquarius, il y en aura des dizaines et des dizaines. »
Au moins la moitié des migrants qui ont débarqué en Espagne souhaitent demander l’asile en France.
De tous les bizness, le malheur est finalement le plus rentable.
L’exploitation de la misère du monde à des fins politiciennes ne grandit personne.
Finalement, les populistes, même arrivés au pouvoir, ça a quand même deux mérites : ça tient ses promesses et ça met les pieds dans le plat.
Le gouvernement italien, par la voix de son ministre de l’Intérieur Matteo Salvini, refuse d’accueillir les bateaux transportant des migrants sur ses côtes. Analyse au
Le propre de ces gouvernements « populistes », c’est qu’ils s’opposent forcément là où leurs intérêts nationaux divergent.
Il faudra bien, un jour, que les autruches relèvent la tête. Même sur la plage de Brégançon.
On ne peut être gentil et méchant à la fois. Matteo Salvini l’a bien compris : il fait le méchant, et cela lui réussit pas trop mal…
Mais savez-vous qui a proposé d’accueillir l’Aquarius ? Le port de Sète, dans l’Hérault ! Ou, plus exactement, son président, Jean-Claude Gayssot, communiste historique…
En cadeau de fiançailles, Pedro Sánchez s’est engagé à reprendre tous les migrants qui arriveraient sur le territoire allemand après avoir déposé une demande d’asile en Espagne.
Sans aucun doute pour y acheter des semences ou des outils…
ces postes n’intéressant pas les Français n’auront pas plus de succès chez les immigrés. Croire le contraire reviendrait à les prendre pour une main-d’œuvre taillable et corvéable à merci.
Son nouveau gouvernement met en œuvre sa propre politique migratoire, déconnectée de Bruxelles.
Un huis clos dramatique commence. L’issue sera très brutale.
On ne voit pas pourquoi les migrants ne représenteraient pas, pour la Tunisie, ce qu’ils représentent pour la France, à savoir « une opportunité économique » !
À Nantes, comme ailleurs en France et en Europe, les migrants africains deviennent une pièce maîtresse des luttes politiques.
Pourtant, que l’on sache, l’Albanie n’est pas un pays en guerre…
Tout ce qui n’est pas politiquement correct devient nazi et tout ce qui est un peu plus autoritaire est fascisant.
Bref, ce petit monde est arrivé à Calais. Et plus si affinités. Et c’est là où ça s’est corsé.
Elle ouvre grand la porte à toutes les associations militantes dont l’unique objet est de faire entrer sur notre sol les cohortes d’immigrés clandestins se pressant à nos frontières.
Par autocars, par camions, et même convois exceptionnels, il va pouvoir enfin vider l’Afrique de ses habitants. Ensuite, s’attaquer à l’Inde, où la misère sévit également.
Cédric Herrou a profité de la crise migratoire pour sortir de son silence et recadrer le président de la République : « Il faudrait qu’il prenne une petite leçon de fraternité. »
on le savait depuis quelques semaines : les questions nationales ont pris le pas sur toutes autres considérations bruxelloïdes.
Si la France est un pays d’affreux racistes, à quoi bon s’acharner, prendre le risque d’une guerre civile ?
Tout est bon pour culpabiliser les peuples européens…
Le pays réel voit ce qu’il voit, y compris à travers le prisme délibérément déformé et déformant des grands médias.
On ne peut fermer, le lundi, les ports français aux migrants de l’Aquarius et, le mardi, décider d’en accueillir.
L’éclair de lucidité dont fait preuve le président du Sénat tient dans cette phrase terrible : « Des Aquarius, il y en aura des dizaines et des dizaines. »
Au moins la moitié des migrants qui ont débarqué en Espagne souhaitent demander l’asile en France.
De tous les bizness, le malheur est finalement le plus rentable.
L’exploitation de la misère du monde à des fins politiciennes ne grandit personne.
Finalement, les populistes, même arrivés au pouvoir, ça a quand même deux mérites : ça tient ses promesses et ça met les pieds dans le plat.
Le gouvernement italien, par la voix de son ministre de l’Intérieur Matteo Salvini, refuse d’accueillir les bateaux transportant des migrants sur ses côtes. Analyse au
Le propre de ces gouvernements « populistes », c’est qu’ils s’opposent forcément là où leurs intérêts nationaux divergent.
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