Moyen-Orient
Russie et Israël entretiennent de bonnes relations et Netanyahou a exposé très clairement ses revendications à Poutine
Le droit international ne compte donc pas et les États-Unis sont là pour y veiller, veto à l’ONU à l’appui en cas de besoin.
Que Jérusalem soit avant tout juive, la Bible nous l’enseigne, et on devrait raisonnablement l’accepter.
Le ressenti, ce sera donc, à la défaveur de la fin de l’Algérie française, ce transfert émotionnel entre colon pied-noir et colon israélien.
Un État qui les protège sur un territoire indépendant et qui peut être défendu.
Damas et sa banlieue sont donc entièrement libérées du fléau islamiste et ne craindront plus de régulières et meurtrières salves d’obus. C’est un tournant depuis 2012.
L’histoire n’a jamais fait bon ménage avec la justice.
Le conflit israélo-palestinien est revenu récemment à la une de l’actualité avec son lot habituel d’informations tronquées et de manipulation médiatique.
Les Juifs sont les éternels boucs émissaires des envieux.
L’année prochaine à Montretout ?
Avec la reconnaissance unilatérale des USA de Jérusalem comme capitale de l’État hébreu, des violences étaient à craindre. Le résultat n’a pas tardé
Vaille que vaille, le pays du Cèdre poursuit donc son petit bonhomme de chemin, plus vaillant qu’il n’y paraît et finalement moins désuni qu’on pouvait le craindre.
La démocratie est devenue le nom qui désigne un système politique où les droits des étrangers doivent l’emporter sur ce que veut le peuple et au détriment de celui-ci.
Israël, est à nouveau entré en scène. Tout en rappelant, comme d’habitude, que sa sécurité était en jeu, Benjamin Netanyahu a affirmé que l’Iran violait l’accord de 2015 et qu’il avait des preuves.
Poutine sait jouer aux échecs mais ne veut mettre personne mat, hormis les islamistes bien sûr.
« Le camp du droit n’est pas nécessairement le camp du faible », c’est ce qu’a déclaré Emmanuel Macron, ce mardi matin, au Parlement européen. Nicolas Dhuicq
Les Français veulent des chefs, c’est vrai, mais des chefs libres.
La politique internationale de la France est la continuité d’une chaîne historique. Or, cette chaîne s’est brisée.
Le Président français trouve dans la politique internationale le terrain idéal de sa mégalomanie, et l’occasion de survoler la marée des mécontentements.
Tout le monde se dit être dans le camp du bien …
Remercions donc monsieur Asselineau pour sa proposition complètement irréaliste et irréalisable.
Ceux qui nous gouvernent ont ainsi dévoilé qui était leur véritable ennemi : Assad, et non les islamistes.
Donc une centaine de missiles, le double de l’année dernière : une grosse dizaine pour les petits soldats français et anglais, le reste pour le boss.
Mais soyons sereins, si conflagration finale il y a, ce sera, à n’en pas douter, pour avoir servi les droits de l’homme et la démocratie mondiale.
C’est donc avant le résultat de l’enquête que devait produire l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques qu’ont été déclenchées les frappes des trois alliés !
Il l’a fait. Il a appuyé sur le bouton des frappes contre la Syrie.
Il y a tout de même de quoi se poser des questions…
Aujourd’hui, le plan occidental est de torpiller la réussite de la paix en Syrie pour ne pas la laisser tout entière dans l’influence russe. Il faut donc empêcher une réconciliation nationale.
Russie et Israël entretiennent de bonnes relations et Netanyahou a exposé très clairement ses revendications à Poutine
Le droit international ne compte donc pas et les États-Unis sont là pour y veiller, veto à l’ONU à l’appui en cas de besoin.
Que Jérusalem soit avant tout juive, la Bible nous l’enseigne, et on devrait raisonnablement l’accepter.
Le ressenti, ce sera donc, à la défaveur de la fin de l’Algérie française, ce transfert émotionnel entre colon pied-noir et colon israélien.
Un État qui les protège sur un territoire indépendant et qui peut être défendu.
Damas et sa banlieue sont donc entièrement libérées du fléau islamiste et ne craindront plus de régulières et meurtrières salves d’obus. C’est un tournant depuis 2012.
L’histoire n’a jamais fait bon ménage avec la justice.
Le conflit israélo-palestinien est revenu récemment à la une de l’actualité avec son lot habituel d’informations tronquées et de manipulation médiatique.
Les Juifs sont les éternels boucs émissaires des envieux.
L’année prochaine à Montretout ?
Avec la reconnaissance unilatérale des USA de Jérusalem comme capitale de l’État hébreu, des violences étaient à craindre. Le résultat n’a pas tardé
Vaille que vaille, le pays du Cèdre poursuit donc son petit bonhomme de chemin, plus vaillant qu’il n’y paraît et finalement moins désuni qu’on pouvait le craindre.
La démocratie est devenue le nom qui désigne un système politique où les droits des étrangers doivent l’emporter sur ce que veut le peuple et au détriment de celui-ci.
Israël, est à nouveau entré en scène. Tout en rappelant, comme d’habitude, que sa sécurité était en jeu, Benjamin Netanyahu a affirmé que l’Iran violait l’accord de 2015 et qu’il avait des preuves.
Poutine sait jouer aux échecs mais ne veut mettre personne mat, hormis les islamistes bien sûr.
« Le camp du droit n’est pas nécessairement le camp du faible », c’est ce qu’a déclaré Emmanuel Macron, ce mardi matin, au Parlement européen. Nicolas Dhuicq
Les Français veulent des chefs, c’est vrai, mais des chefs libres.
La politique internationale de la France est la continuité d’une chaîne historique. Or, cette chaîne s’est brisée.
Le Président français trouve dans la politique internationale le terrain idéal de sa mégalomanie, et l’occasion de survoler la marée des mécontentements.
Tout le monde se dit être dans le camp du bien …
Remercions donc monsieur Asselineau pour sa proposition complètement irréaliste et irréalisable.
Ceux qui nous gouvernent ont ainsi dévoilé qui était leur véritable ennemi : Assad, et non les islamistes.
Donc une centaine de missiles, le double de l’année dernière : une grosse dizaine pour les petits soldats français et anglais, le reste pour le boss.
Mais soyons sereins, si conflagration finale il y a, ce sera, à n’en pas douter, pour avoir servi les droits de l’homme et la démocratie mondiale.
C’est donc avant le résultat de l’enquête que devait produire l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques qu’ont été déclenchées les frappes des trois alliés !
Il l’a fait. Il a appuyé sur le bouton des frappes contre la Syrie.
Il y a tout de même de quoi se poser des questions…
Aujourd’hui, le plan occidental est de torpiller la réussite de la paix en Syrie pour ne pas la laisser tout entière dans l’influence russe. Il faut donc empêcher une réconciliation nationale.
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