Moyen-Orient
Notre frégate Aquitaine, déployée en Méditerranée orientale, aurait été menacée par une posture « agressive ».
Les Occidentaux sont prisonniers de leur rhétorique manichéenne. À force de répéter que Bachar est un monstre « qui massacre son propre peuple », aucun recul, aucune analyse objective ne sont possibles.
Emmanuel Macron est en train de danser clope au bec sur une poudrière. Espérons que nos adversaires désignés sauront conserver la raison que nous avons perdue depuis bien longtemps.
Son avocat ne manquera pas d’essayer de faire pleurer dans les chaumières françaises. Pas certain qu’il y réussisse
On en sait un peu plus sur les méthodes de « gouvernement » des différentes milices islamistes.
Le président de l’autorité palestinienne n’a pas mâché ses mots.
Pendant ce temps, le bon Erdoğan bombarde Afrine en toute tranquillité. Mais comme il est turc et pas syrien, c’est évidemment beaucoup moins grave.
Depuis cinq ans, ces groupes tenaient un territoire en continu qui a compté jusqu’à 15.000 km2. Aujourd’hui, ils se partagent à peine 50 km2.
Il semble qu’il n’y ait plus aucune limite à l’indécence du parti pris des médias occidentaux, et français en particulier, dans le drame syrien.
Deux événements majeurs viennent de se dérouler dans la province.
Le navire Liban a besoin, à la fois, du Hezbollah et de l’Arabie saoudite pour continuer à zigzaguer entre les récifs de la politique et des guerres au Moyen-Orient.
Nous avions vu ce phénomène à Alep, où la désinformation concernant les quartiers Est n’a pu être vérifiée qu’une fois la paix revenue. Et là, rebelote pour la Ghouta orientale.
« La Russie ne soutient pas la personne de Bashar el Assad mais la simple existence d’une forme étatique en Syrie. »
La Résolution 2401-2018 demande à toutes les parties au conflit de cesser les hostilités sur l’ensemble du territoire syrien pour une période minimum de trente jours consécutifs.
Depuis le 18 février, l’aviation syrienne bombarde à nouveau La Ghouta, cette vaste banlieue qui ceinture Damas.
La seule solution est le rétablissement de l’autorité de Damas sur l’ensemble du territoire avec, pour corollaire, des garanties sur la sécurité de ses voisins – Israël, Liban et Turquie.
Pendant ce temps, dans Deir ez-Zor libérée par l’armée syrienne, Sa Sainteté Ignace Aphrem II Karim célébrait une messe dans les décombres de l’église Sainte-Marie. La première depuis six ans.
Jean-Yves Le Drian, ministre des Affaires étrangères français, est en visite en Irak.
Le marais centriste « En Marche » de Macron, face à la marée migratoire de plus de 300.000 immigrés extra-européens par an, ne fait que pratiquer la politique d’Henri Queuille.
Gilles-William Goldnadel réagit à l’actualité chargée concernant Israël. Il dénonce l’idéologie anti-israélienne « qui pénètre jusque dans les livres pour enfant ».
Pas un relecteur, pas un catholique pour trouver que c’était un peu gros de comparer Israël à la Corée du nord.
Cette ville a été la capitale juive pendant mille ans, et ensuite la préoccupation centrale de la prière juive pendant deux mille ans.
Quelle proportion des Palestiniens actuels descend des premiers habitants, et quelle proportion descend des immigrants musulmans ?
Le gouvernement et la plupart des médias ont choisi d’imposer, sans nuances, une vision manichéenne de la situation syrienne.
« L’année prochaine à Jérusalem », c’est ainsi que la diaspora juive exprima son espérance durant ses vingt siècles d’exil…
Je sais bien que la raison politique a des raisons que la raison ignore, mais là c’est le pompon.
Après la purge à grand spectacle opérée dans les milieux politiques et d’affaires saoudiens, Mohammed ben Salmane se sentait pousser des ailes.
La démission du Premier ministre depuis l’Arabie saoudite est un message sans ambiguïté, il s’agit de montrer brutalement qui est aux commandes.
Notre frégate Aquitaine, déployée en Méditerranée orientale, aurait été menacée par une posture « agressive ».
Les Occidentaux sont prisonniers de leur rhétorique manichéenne. À force de répéter que Bachar est un monstre « qui massacre son propre peuple », aucun recul, aucune analyse objective ne sont possibles.
Emmanuel Macron est en train de danser clope au bec sur une poudrière. Espérons que nos adversaires désignés sauront conserver la raison que nous avons perdue depuis bien longtemps.
Son avocat ne manquera pas d’essayer de faire pleurer dans les chaumières françaises. Pas certain qu’il y réussisse
On en sait un peu plus sur les méthodes de « gouvernement » des différentes milices islamistes.
Le président de l’autorité palestinienne n’a pas mâché ses mots.
Pendant ce temps, le bon Erdoğan bombarde Afrine en toute tranquillité. Mais comme il est turc et pas syrien, c’est évidemment beaucoup moins grave.
Depuis cinq ans, ces groupes tenaient un territoire en continu qui a compté jusqu’à 15.000 km2. Aujourd’hui, ils se partagent à peine 50 km2.
Il semble qu’il n’y ait plus aucune limite à l’indécence du parti pris des médias occidentaux, et français en particulier, dans le drame syrien.
Deux événements majeurs viennent de se dérouler dans la province.
Le navire Liban a besoin, à la fois, du Hezbollah et de l’Arabie saoudite pour continuer à zigzaguer entre les récifs de la politique et des guerres au Moyen-Orient.
Nous avions vu ce phénomène à Alep, où la désinformation concernant les quartiers Est n’a pu être vérifiée qu’une fois la paix revenue. Et là, rebelote pour la Ghouta orientale.
« La Russie ne soutient pas la personne de Bashar el Assad mais la simple existence d’une forme étatique en Syrie. »
La Résolution 2401-2018 demande à toutes les parties au conflit de cesser les hostilités sur l’ensemble du territoire syrien pour une période minimum de trente jours consécutifs.
Depuis le 18 février, l’aviation syrienne bombarde à nouveau La Ghouta, cette vaste banlieue qui ceinture Damas.
La seule solution est le rétablissement de l’autorité de Damas sur l’ensemble du territoire avec, pour corollaire, des garanties sur la sécurité de ses voisins – Israël, Liban et Turquie.
Pendant ce temps, dans Deir ez-Zor libérée par l’armée syrienne, Sa Sainteté Ignace Aphrem II Karim célébrait une messe dans les décombres de l’église Sainte-Marie. La première depuis six ans.
Jean-Yves Le Drian, ministre des Affaires étrangères français, est en visite en Irak.
Le marais centriste « En Marche » de Macron, face à la marée migratoire de plus de 300.000 immigrés extra-européens par an, ne fait que pratiquer la politique d’Henri Queuille.
Gilles-William Goldnadel réagit à l’actualité chargée concernant Israël. Il dénonce l’idéologie anti-israélienne « qui pénètre jusque dans les livres pour enfant ».
Pas un relecteur, pas un catholique pour trouver que c’était un peu gros de comparer Israël à la Corée du nord.
Cette ville a été la capitale juive pendant mille ans, et ensuite la préoccupation centrale de la prière juive pendant deux mille ans.
Quelle proportion des Palestiniens actuels descend des premiers habitants, et quelle proportion descend des immigrants musulmans ?
Le gouvernement et la plupart des médias ont choisi d’imposer, sans nuances, une vision manichéenne de la situation syrienne.
« L’année prochaine à Jérusalem », c’est ainsi que la diaspora juive exprima son espérance durant ses vingt siècles d’exil…
Je sais bien que la raison politique a des raisons que la raison ignore, mais là c’est le pompon.
Après la purge à grand spectacle opérée dans les milieux politiques et d’affaires saoudiens, Mohammed ben Salmane se sentait pousser des ailes.
La démission du Premier ministre depuis l’Arabie saoudite est un message sans ambiguïté, il s’agit de montrer brutalement qui est aux commandes.
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