Najat Vallaud-Belkacem
Le Français, ce grand enfant, n’est pas encore assez pris en main…
Pour ces fossoyeurs historiques de l’Éducation nationale, c’est encore « l’extrême droite » qui a fait le coup…
Avec Najat Vallaud-Belkacem, nous ne vivons pas dans le même monde, et le séparatisme n’est pour elle qu’un concept élastique, réversible à l’infini, comme la pâte à modeler qu’on lui a appris à malaxer à Sciences Po ou au PS…
L’air inspiré un tantinet autosatisfait, elle dit avoir trouvé « le vrai sujet » à incarner, à savoir « Est-ce-que nous sommes encore capables de vivre ensemble ? »
Plutôt que de pérenniser des cours qui entretiennent les liens avec les pays d’origine, un dirigeant responsable, qui voudrait assimiler des populations issues de l’immigration, ne ferait-il pas mieux de mettre des moyens pour leur apprendre la langue française ?
À ce rythme, dans quelques années, n’entreront dans cette carrière dévalorisée que ceux qui n’auront pas trouvé mieux.
On se demande ce que pourrait apporter Najat Vallaud-Belkacem au renouveau de la gauche, notamment du Parti socialiste.
Vous avez compris, vous qui êtes hostiles au port du voile lors des sorties scolaires, c’est vous qui représentez un danger pour la France !
En tout cas, les mondes futurs de Najat Vallaud-Belkacem et Cochet possèdent un point commun : ils soutiennent l’immigration massive.
Certes, ce n’est pas nouveau car le sortant Mounir Mahjoubi possède également cette parité. De même, dans le quinquennat précédent, on a connu quatre cas identiques…
Écrire des chansons ? Elle en rêvait depuis toute petite…
Madame Vallaud-Belkacem devrait rester dans l’édition. C’est sans doute là qu’elle fait le moins de mal.
L’ex-ministre de l’Éducation Najat Vallaud-Belkacem a gratifié les auditeurs d’une interview sidérante.
Un affaiblissement supplémentaire du latin et du grec dans notre système éducatif serait un très mauvais signe à l’heure où les questions de civilisation, d’identité et de valeurs agitent toute la société française…
Il faudra bien, un jour, que les autruches relèvent la tête. Même sur la plage de Brégançon.
Jean-Michel Blanquer a sifflé la fin de la récréation.
Associer Najat Vallaud-Belkacem aux batailles culturelles du progressisme et au renouvellement des savoirs, voyez-vous, c’est grandiose.
Non content de détricoter la réforme du collège de son prédécesseur, voici que le ministre de l’Éducation nationale dénonce les ABCD de l’égalité.
Boris Vallaud partage avec son épouse une incommensurable suffisance. Le verbe haut, le contentement de soi en étendard.
« Peut bien faire, mais a gâché ses talents », telle est l’appréciation qui pourrait vous caractériser à l’issue de ce quinquennat.
Le Français, ce grand enfant, n’est pas encore assez pris en main…
Pour ces fossoyeurs historiques de l’Éducation nationale, c’est encore « l’extrême droite » qui a fait le coup…
Avec Najat Vallaud-Belkacem, nous ne vivons pas dans le même monde, et le séparatisme n’est pour elle qu’un concept élastique, réversible à l’infini, comme la pâte à modeler qu’on lui a appris à malaxer à Sciences Po ou au PS…
L’air inspiré un tantinet autosatisfait, elle dit avoir trouvé « le vrai sujet » à incarner, à savoir « Est-ce-que nous sommes encore capables de vivre ensemble ? »
Plutôt que de pérenniser des cours qui entretiennent les liens avec les pays d’origine, un dirigeant responsable, qui voudrait assimiler des populations issues de l’immigration, ne ferait-il pas mieux de mettre des moyens pour leur apprendre la langue française ?
À ce rythme, dans quelques années, n’entreront dans cette carrière dévalorisée que ceux qui n’auront pas trouvé mieux.
On se demande ce que pourrait apporter Najat Vallaud-Belkacem au renouveau de la gauche, notamment du Parti socialiste.
Vous avez compris, vous qui êtes hostiles au port du voile lors des sorties scolaires, c’est vous qui représentez un danger pour la France !
En tout cas, les mondes futurs de Najat Vallaud-Belkacem et Cochet possèdent un point commun : ils soutiennent l’immigration massive.
Certes, ce n’est pas nouveau car le sortant Mounir Mahjoubi possède également cette parité. De même, dans le quinquennat précédent, on a connu quatre cas identiques…
Écrire des chansons ? Elle en rêvait depuis toute petite…
Madame Vallaud-Belkacem devrait rester dans l’édition. C’est sans doute là qu’elle fait le moins de mal.
L’ex-ministre de l’Éducation Najat Vallaud-Belkacem a gratifié les auditeurs d’une interview sidérante.
Un affaiblissement supplémentaire du latin et du grec dans notre système éducatif serait un très mauvais signe à l’heure où les questions de civilisation, d’identité et de valeurs agitent toute la société française…
Il faudra bien, un jour, que les autruches relèvent la tête. Même sur la plage de Brégançon.
Jean-Michel Blanquer a sifflé la fin de la récréation.
Associer Najat Vallaud-Belkacem aux batailles culturelles du progressisme et au renouvellement des savoirs, voyez-vous, c’est grandiose.
Non content de détricoter la réforme du collège de son prédécesseur, voici que le ministre de l’Éducation nationale dénonce les ABCD de l’égalité.
Boris Vallaud partage avec son épouse une incommensurable suffisance. Le verbe haut, le contentement de soi en étendard.
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