Nathalie Loiseau
En 2019, ses prestations en tête de liste pour les européennes nous avaient captivés. Cette dernière est de retour !
Cette semaine, tout roule pour Laurent Wauquiez, moins pour Nathalie Loiseau.
L’ingérence russe, réelle, supposée, minorée ou exagérée, reste à l’évidence une priorité pour cette commission.
Quant aux nations, pour avoir une voix, elles doivent refuser de se diluer dans la chimère macronienne de l’Union européenne d’une part, et dans la tutelle bien réelle de l’OTAN d’autre part.
On ne va pas tirer sur l’ambulance. Les Suisses, qui ont inventé la Croix-Rouge, ne nous le pardonneraient pas…
La Suisse l’a montré tout au long de son Histoire : elle est tout sauf molle !
Agnès Buzyn mange son chapeau tout en peinant à digérer l’ingestion de son masque antimicrobien…
Le pire est que cette nouvelle nous ferait presque chaud au cœur : c’est dire à quels niveaux d’abîmes nous sommes dégringolés.
Vous avez aimé l’erreur de jeunesse de Nathalie Loiseau. Vous allez aimer celle de Sandro Gozi.
Que les fans se rassurent, Nathalie Loiseau en a encore sous la pédale pour la suite du feuilleton.
Dans trois ans, vous aurez à nouveau à choisir. Renouveler votre confiance à Emmanuel Macron ou revenir à un bulletin d’une droite véritable
Emmanuel Macron entendait mobiliser afin de transformer cette élection en une sorte de référendum « pour » ou « contre » l’Europe, « pour » ou « contre » lui. Les Français l’ont entendu : la liste menée par Emmanuel Macron a perdu.
On aimerait croire à l’indépendance du CSA…
À la fanfare du régiment, Nathalie Loiseau aurait fait grosse caisse.
Et comme si tout allait trop bien pour le pays, la pétulante Nathalie Loiseau entend « fonder un nouveau groupe qui sera central, progressiste et démocrate ». Nous voilà beaux.
Faute d’arguments susceptibles d’entraîner les foules, les listes pro-européennes ont trouvé un moyen qu’ils croient imparable pour déconsidérer leurs adversaires : c’est le retour des années
Ce poncif repose sur une faute logique assez courante : on constate la concordance de deux faits et on en induit un lien de cause à effet entre l’un et l’autre.
Cette année, j’ai envie de me lâcher, de me faire plaisir, loin des calculs électoraux, et tant pis si je tombe dans un piège macronien…
Celle qui souffrira le plus de cette modeste campagne publicitaire est bien la tête de liste, dont le charisme est resté au vestiaire.
Quoi ? Encore un papier sur Nathalie Loiseau ! Nos lecteurs, qui ont du cœur, vont bientôt nous soupçonner d’acharnement.
Est-ce que, finalement, au bout de deux ans, la technique du bashing macronien n’est pas en train de revenir en boomerang à la face de la Macronie, représentée par Nathalie Loiseau ?
Vêtue de sa célèbre veste rouge, la candidate, pilotée par le joueur, caracole, saute en l’air, risque sa vie pour tenter de récupérer les étoiles du drapeau européen volées par le tandem Mélenchon-Le Pen.
Mille milliards ? Ça fait combien de trottinettes électriques, tout ça ?
À moins de trois semaines du scrutin, Paul-Marie Coûteaux, même s’il soutient Nicolas Dupont-Aignan et refuse de se déterminer en fonction des sinuosités des sondages,
Du côté de l’Élysée, l’inquiétude monte tandis que les sondages tendent à baisser.
Ce Président sera bientôt à la croisée des chemins, à l’heure de vérité, et cela le rend nerveux.
En 2019, ses prestations en tête de liste pour les européennes nous avaient captivés. Cette dernière est de retour !
Cette semaine, tout roule pour Laurent Wauquiez, moins pour Nathalie Loiseau.
L’ingérence russe, réelle, supposée, minorée ou exagérée, reste à l’évidence une priorité pour cette commission.
Quant aux nations, pour avoir une voix, elles doivent refuser de se diluer dans la chimère macronienne de l’Union européenne d’une part, et dans la tutelle bien réelle de l’OTAN d’autre part.
On ne va pas tirer sur l’ambulance. Les Suisses, qui ont inventé la Croix-Rouge, ne nous le pardonneraient pas…
La Suisse l’a montré tout au long de son Histoire : elle est tout sauf molle !
Agnès Buzyn mange son chapeau tout en peinant à digérer l’ingestion de son masque antimicrobien…
Le pire est que cette nouvelle nous ferait presque chaud au cœur : c’est dire à quels niveaux d’abîmes nous sommes dégringolés.
Vous avez aimé l’erreur de jeunesse de Nathalie Loiseau. Vous allez aimer celle de Sandro Gozi.
Que les fans se rassurent, Nathalie Loiseau en a encore sous la pédale pour la suite du feuilleton.
Dans trois ans, vous aurez à nouveau à choisir. Renouveler votre confiance à Emmanuel Macron ou revenir à un bulletin d’une droite véritable
Emmanuel Macron entendait mobiliser afin de transformer cette élection en une sorte de référendum « pour » ou « contre » l’Europe, « pour » ou « contre » lui. Les Français l’ont entendu : la liste menée par Emmanuel Macron a perdu.
On aimerait croire à l’indépendance du CSA…
À la fanfare du régiment, Nathalie Loiseau aurait fait grosse caisse.
Et comme si tout allait trop bien pour le pays, la pétulante Nathalie Loiseau entend « fonder un nouveau groupe qui sera central, progressiste et démocrate ». Nous voilà beaux.
Faute d’arguments susceptibles d’entraîner les foules, les listes pro-européennes ont trouvé un moyen qu’ils croient imparable pour déconsidérer leurs adversaires : c’est le retour des années
Ce poncif repose sur une faute logique assez courante : on constate la concordance de deux faits et on en induit un lien de cause à effet entre l’un et l’autre.
Cette année, j’ai envie de me lâcher, de me faire plaisir, loin des calculs électoraux, et tant pis si je tombe dans un piège macronien…
Celle qui souffrira le plus de cette modeste campagne publicitaire est bien la tête de liste, dont le charisme est resté au vestiaire.
Quoi ? Encore un papier sur Nathalie Loiseau ! Nos lecteurs, qui ont du cœur, vont bientôt nous soupçonner d’acharnement.
Est-ce que, finalement, au bout de deux ans, la technique du bashing macronien n’est pas en train de revenir en boomerang à la face de la Macronie, représentée par Nathalie Loiseau ?
Vêtue de sa célèbre veste rouge, la candidate, pilotée par le joueur, caracole, saute en l’air, risque sa vie pour tenter de récupérer les étoiles du drapeau européen volées par le tandem Mélenchon-Le Pen.
Mille milliards ? Ça fait combien de trottinettes électriques, tout ça ?
À moins de trois semaines du scrutin, Paul-Marie Coûteaux, même s’il soutient Nicolas Dupont-Aignan et refuse de se déterminer en fonction des sinuosités des sondages,
Du côté de l’Élysée, l’inquiétude monte tandis que les sondages tendent à baisser.
Ce Président sera bientôt à la croisée des chemins, à l’heure de vérité, et cela le rend nerveux.