Nicolas Sarkozy
Tiens, d’ailleurs pourquoi cette comparaison à Zola ?
Fils d’un Camelot du roi, Buisson n’a jamais fait mystère de ses ascendances intellectuelles : Barrès, Bernanos, Anouilh, Maurras surtout.
C’est un nouveau Gérald Darmanin qui surgit dans le paysage politique français depuis quelques semaines. Un Darmanin tout neuf qui ressemble beaucoup à un certain… Nicolas Sarkozy.
« Incompréhensible », oui. Surtout pour ceux qui croyaient que Nicolas Sarkozy incarnait la droiture, la vraie.
Qui, d’entre le vieux renard et le jeune loup aux dents toujours aiguisées, quoique passablement émoussées, sortira vainqueur de ce jeu de dupes ?
D’un revers de raquette, l’outragée renvoya les 2.000 balles à l’envoyeur.
L’appel, lancé le 12 avril par Nicolas Sarkozy à voter Emmanuel Macron au second tour, ne s’inscrit pas dans la banalité, désormais traditionnelle, « à faire barrage à l’extrême droite ».
Une décision, donc, qui n’apparaît pas seulement comme un vote de barrage mais également comme un choix de conviction.
Ce serait presque caricatural, et certains pourraient trouver dans cette rhétorique antifasciste à la sauce bourgeoise un parfum légèrement vintage si ce n’était le destin de la France qui est en jeu aujourd’hui.
Le nom de Nicolas Sarkozy sifflé par des supporters de Valérie Pécresse : c’est peut-être ce qu’on retiendra du meeting de la dernière chance de
Il est vrai que les sondages, tous plus déprimants les uns que les autres pour la candidate LR, n’ont rien qui puisse pousser Nicolas Sarkozy à voler au secours d’une défaite annoncée.
S’il ne soutient pas aujourd’hui avec force la candidature de Valérie Pécresse – et c’est un euphémisme -, c’est sans doute qu’il la juge sévèrement.
Bref, que se sont-ils dit, ce vendredi ?
Le redoutable maire du 7e arrondissement de Paris et première opposante d’Anne Hidalgo s’est livrée, ce 10 février, à un de ces découpages à la scie sauteuse dont elle a le secret.
La droite molle semble ressentir un petit frisson d’angoisse
Zemmour ? « L’agressivité de certains journalistes va finir par le rendre sympathique », estime Sarkozy.
Les juges ont, s’ils l’osaient, un bon argument de texte pour faire partager par Nicolas Sarkozy le traitement qu’ils ont réservé à ceux qui, pour lui, ont organisé les sondages (ou certain d’entre eux) litigieux.
Nicolas Sarkozy a été condamné à un an de prison ferme dans l’affaire Bygmalion. L’ancien chef de l’État a immédiatement décidé de faire appel. Il
Plus que tout, les Français tiennent rigueur aux marchands d’illusions d’avoir eux-mêmes brisé les rêves qu’ils avaient fait naître.
Cette condamnation survient seulement trois mois après celle de l’affaire « des écoutes », pour laquelle il avait été condamné à trois ans de prison, dont un ferme, pour corruption et trafic d’influence. Il avait fait appel.
On n’aura pas la cruauté de rappeler qu’il n’est pas pour rien dans le déclin du parti qui l’a porté au pouvoir…
A-t-on des nouvelles des procès des Benalla, El Guerrab, Avia, Ferrand et tant d’autres ?
Ne serait-on pas également en droit de se demander si Nicolas Sarkozy et certains juges, malgré ce qui peut les opposer politiquement, ne communieraient pas dans un même abandon de l’idée de nation devenue à leurs yeux obsolète.
Le secret professionnel n’est pas là pour protéger l’avocat. Il protège son client qui doit, comme au médecin ou au prêtre, pouvoir tout dire sans risque de « fuite ». C’est un acquis fondamental dans une société civilisée
Le sénateur LR Alain Houpert revient sur la sévérité de la condamnation de Nicolas Sarkozy : trois ans d’emprisonnement dont un an ferme pour délits de
Qui détient, aujourd’hui, le pouvoir en France ?
Ce 1er mars, Nicolas Sarkozy a été déclaré coupable de corruption et de trafic d’influence par le tribunal correctionnel de Paris. Il a été condamné
Le tribunal correctionnel a estimé qu’un « pacte de corruption » avait été conclu entre l’ex-Président, âgé de 66 ans, et son avocat Me Thierry Herzog.
Tiens, d’ailleurs pourquoi cette comparaison à Zola ?
Fils d’un Camelot du roi, Buisson n’a jamais fait mystère de ses ascendances intellectuelles : Barrès, Bernanos, Anouilh, Maurras surtout.
C’est un nouveau Gérald Darmanin qui surgit dans le paysage politique français depuis quelques semaines. Un Darmanin tout neuf qui ressemble beaucoup à un certain… Nicolas Sarkozy.
« Incompréhensible », oui. Surtout pour ceux qui croyaient que Nicolas Sarkozy incarnait la droiture, la vraie.
Qui, d’entre le vieux renard et le jeune loup aux dents toujours aiguisées, quoique passablement émoussées, sortira vainqueur de ce jeu de dupes ?
D’un revers de raquette, l’outragée renvoya les 2.000 balles à l’envoyeur.
L’appel, lancé le 12 avril par Nicolas Sarkozy à voter Emmanuel Macron au second tour, ne s’inscrit pas dans la banalité, désormais traditionnelle, « à faire barrage à l’extrême droite ».
Une décision, donc, qui n’apparaît pas seulement comme un vote de barrage mais également comme un choix de conviction.
Ce serait presque caricatural, et certains pourraient trouver dans cette rhétorique antifasciste à la sauce bourgeoise un parfum légèrement vintage si ce n’était le destin de la France qui est en jeu aujourd’hui.
Le nom de Nicolas Sarkozy sifflé par des supporters de Valérie Pécresse : c’est peut-être ce qu’on retiendra du meeting de la dernière chance de
Il est vrai que les sondages, tous plus déprimants les uns que les autres pour la candidate LR, n’ont rien qui puisse pousser Nicolas Sarkozy à voler au secours d’une défaite annoncée.
S’il ne soutient pas aujourd’hui avec force la candidature de Valérie Pécresse – et c’est un euphémisme -, c’est sans doute qu’il la juge sévèrement.
Bref, que se sont-ils dit, ce vendredi ?
Le redoutable maire du 7e arrondissement de Paris et première opposante d’Anne Hidalgo s’est livrée, ce 10 février, à un de ces découpages à la scie sauteuse dont elle a le secret.
La droite molle semble ressentir un petit frisson d’angoisse
Zemmour ? « L’agressivité de certains journalistes va finir par le rendre sympathique », estime Sarkozy.
Les juges ont, s’ils l’osaient, un bon argument de texte pour faire partager par Nicolas Sarkozy le traitement qu’ils ont réservé à ceux qui, pour lui, ont organisé les sondages (ou certain d’entre eux) litigieux.
Nicolas Sarkozy a été condamné à un an de prison ferme dans l’affaire Bygmalion. L’ancien chef de l’État a immédiatement décidé de faire appel. Il
Plus que tout, les Français tiennent rigueur aux marchands d’illusions d’avoir eux-mêmes brisé les rêves qu’ils avaient fait naître.
Cette condamnation survient seulement trois mois après celle de l’affaire « des écoutes », pour laquelle il avait été condamné à trois ans de prison, dont un ferme, pour corruption et trafic d’influence. Il avait fait appel.
On n’aura pas la cruauté de rappeler qu’il n’est pas pour rien dans le déclin du parti qui l’a porté au pouvoir…
A-t-on des nouvelles des procès des Benalla, El Guerrab, Avia, Ferrand et tant d’autres ?
Ne serait-on pas également en droit de se demander si Nicolas Sarkozy et certains juges, malgré ce qui peut les opposer politiquement, ne communieraient pas dans un même abandon de l’idée de nation devenue à leurs yeux obsolète.
Le secret professionnel n’est pas là pour protéger l’avocat. Il protège son client qui doit, comme au médecin ou au prêtre, pouvoir tout dire sans risque de « fuite ». C’est un acquis fondamental dans une société civilisée
Le sénateur LR Alain Houpert revient sur la sévérité de la condamnation de Nicolas Sarkozy : trois ans d’emprisonnement dont un an ferme pour délits de
Qui détient, aujourd’hui, le pouvoir en France ?
Ce 1er mars, Nicolas Sarkozy a été déclaré coupable de corruption et de trafic d’influence par le tribunal correctionnel de Paris. Il a été condamné
Le tribunal correctionnel a estimé qu’un « pacte de corruption » avait été conclu entre l’ex-Président, âgé de 66 ans, et son avocat Me Thierry Herzog.
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