Nicolas Sarkozy
D’une main, Mitterrand relançait le FN, de l’autre, il adoubait la création de SOS Racisme afin de maintenir son ostracisation. Les mâchoires du piège étaient tendues, la droite chiraquienne n’avait plus qu’à se jeter dedans…
De l’ex-Yougoslavie au Moyen-Orient en passant par le Rwanda, les méandres diplomatiques du « machin » qu’on appelle l’ONU n’ont obtenu que deux résultats : soit le chaos permanent, soit la victoire de l’un des adversaires, et pas nécessairement le meilleur.
Avoir un ancien Président dans la manche, c’est assurément bon pour les affaires.
Pour une fois, on a célébré la Résistance et non pas déploré, dans le chagrin et la pitié, la collaboration et le pétainisme aux heures sombres de notre histoire.
« Personne n’a de leçons à vous donner. Quand on a des frontières, on doit les défendre. »
…le rappel de notre ambassadeur à Rome est une manière, pour Emmanuel Macron, de mettre en scène, de se mettre en scène, à quatre mois des élections européennes…
Messieurs les présidents de la République, faites un geste : abandonnez au Trésor public vos scandaleux avantages sonnants et trébuchants.
À avoir méprisé et avoir trop confiance en lui, il a perdu celle des Français et gagné leur mépris. Et ça, c’est fatal.
Le bon sens a déserté le pays.
Une majorité silencieuse n’arrive manifestement plus à supporter la sempiternelle alliance entre la droite libérale et la gauche sociétale, alliance dont les représentants ressemblent à des intouchables…
Mais qu’il réprime ses envies de jouer de nouveau un rôle politique !
Nous apprenons que la France a contribué à hauteur de 51 % au financement, sous forme de prêts et de dons, à la construction de la première ligne de TGV au Maroc.
…un statut de commandeur…
Du temps, surtout, où le gommeux BHL qui se prenait pour un chef de guerre avait votre oreille !
Cela dit, il y a déjà quelques lustres que le monde du spectacle et celui de la politique se fréquentent…
Finalement, en faisant de Nicolas Sarkozy le point Godwin du débat politique français, ses détracteurs ne se dédouanent-ils pas, en creux, de ce sévère bashing qu’ils lui ont fait subir ?
Nous aurons donc, si cette réforme est adoptée, un Président irresponsable devant le Parlement qui débattra avec les parlementaires, le Premier ministre, lui responsable, relégué au banc de touche. Va comprendre, Charles !
Tout laisse à penser, comme il le souligne lui-même, qu’il est victime d’un acharnement.
Dans un tweet, Marine Le Pen a mis en doute l’impartialité du juge chargé du dossier libyen de Nicolas Sarkozy.
Le risque de fuite ou de disparition de preuves, qui aurait pu la justifier, était nul, bien entendu.
Les années passent, les affaires demeurent, et le dossier libyen est en train de rattraper l’ancien chef de l’État.
S’il faut chercher la comparaison chez les illustres Corleone, Sarkozy est plus proche de Michael que de Vito.
Au cours de « Ideas Weekend », un forum organisé dans la capitale des Emirats arabes unis, Nicolas Sarkozy s’est livré à une réflexion politique de grande qualité.
Il dispose de cette immense force : il sait qu’ils savent que s’il parle, tout éclate.
Comment expliquer ce come-back inattendu d’une personnalité naguère si clivante et qui ne joue actuellement plus aucun rôle ?
En une semaine, ils ont fait leur réapparition sur les écrans.
Elle aime bien parler, Madame Sarkozy ; et elle en dit, des choses, quand elle ne susurre pas dans un micro.
Allons-nous vers la catastrophe, l’apocalypse, le déluge, la peste et la guerre civile ?
D’une main, Mitterrand relançait le FN, de l’autre, il adoubait la création de SOS Racisme afin de maintenir son ostracisation. Les mâchoires du piège étaient tendues, la droite chiraquienne n’avait plus qu’à se jeter dedans…
De l’ex-Yougoslavie au Moyen-Orient en passant par le Rwanda, les méandres diplomatiques du « machin » qu’on appelle l’ONU n’ont obtenu que deux résultats : soit le chaos permanent, soit la victoire de l’un des adversaires, et pas nécessairement le meilleur.
Avoir un ancien Président dans la manche, c’est assurément bon pour les affaires.
Pour une fois, on a célébré la Résistance et non pas déploré, dans le chagrin et la pitié, la collaboration et le pétainisme aux heures sombres de notre histoire.
« Personne n’a de leçons à vous donner. Quand on a des frontières, on doit les défendre. »
…le rappel de notre ambassadeur à Rome est une manière, pour Emmanuel Macron, de mettre en scène, de se mettre en scène, à quatre mois des élections européennes…
Messieurs les présidents de la République, faites un geste : abandonnez au Trésor public vos scandaleux avantages sonnants et trébuchants.
À avoir méprisé et avoir trop confiance en lui, il a perdu celle des Français et gagné leur mépris. Et ça, c’est fatal.
Le bon sens a déserté le pays.
Une majorité silencieuse n’arrive manifestement plus à supporter la sempiternelle alliance entre la droite libérale et la gauche sociétale, alliance dont les représentants ressemblent à des intouchables…
Mais qu’il réprime ses envies de jouer de nouveau un rôle politique !
Nous apprenons que la France a contribué à hauteur de 51 % au financement, sous forme de prêts et de dons, à la construction de la première ligne de TGV au Maroc.
…un statut de commandeur…
Du temps, surtout, où le gommeux BHL qui se prenait pour un chef de guerre avait votre oreille !
Cela dit, il y a déjà quelques lustres que le monde du spectacle et celui de la politique se fréquentent…
Finalement, en faisant de Nicolas Sarkozy le point Godwin du débat politique français, ses détracteurs ne se dédouanent-ils pas, en creux, de ce sévère bashing qu’ils lui ont fait subir ?
Nous aurons donc, si cette réforme est adoptée, un Président irresponsable devant le Parlement qui débattra avec les parlementaires, le Premier ministre, lui responsable, relégué au banc de touche. Va comprendre, Charles !
Tout laisse à penser, comme il le souligne lui-même, qu’il est victime d’un acharnement.
Dans un tweet, Marine Le Pen a mis en doute l’impartialité du juge chargé du dossier libyen de Nicolas Sarkozy.
Le risque de fuite ou de disparition de preuves, qui aurait pu la justifier, était nul, bien entendu.
Les années passent, les affaires demeurent, et le dossier libyen est en train de rattraper l’ancien chef de l’État.
S’il faut chercher la comparaison chez les illustres Corleone, Sarkozy est plus proche de Michael que de Vito.
Au cours de « Ideas Weekend », un forum organisé dans la capitale des Emirats arabes unis, Nicolas Sarkozy s’est livré à une réflexion politique de grande qualité.
Il dispose de cette immense force : il sait qu’ils savent que s’il parle, tout éclate.
Comment expliquer ce come-back inattendu d’une personnalité naguère si clivante et qui ne joue actuellement plus aucun rôle ?
En une semaine, ils ont fait leur réapparition sur les écrans.
Elle aime bien parler, Madame Sarkozy ; et elle en dit, des choses, quand elle ne susurre pas dans un micro.
Allons-nous vers la catastrophe, l’apocalypse, le déluge, la peste et la guerre civile ?
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