Nicole Belloubet
Pas un mot de la maîtrise des fondamentaux, de la culture générale, du développement de l’esprit scientifique…
Les professeurs, les parents et les élèves ne savent pas à quelle sauce ils seront mangés.
On crée des « internats d’excellence » où on laisse mariner les jeunes dans leur rap natal : quel intérêt ?
En deux mois, Belloubet a changé une école qui ne fonctionnait pas en école qui marche ; enfin, c’est elle qui le dit.
Pour Nicole Belloubet, l’État n’a pas de responsabilité dans l’assassinat de Samuel Paty.
On peut avoir des doutes sur l’impact effectif de la mesure. On est dans la politique du cache-misère et de l’instant.
Cette « force mobile scolaire » sera opérationnelle à la rentrée de septembre 2024.
Rien de novateur, mais seulement un tour de passe-passe sémantique pour contenter tout le monde sans changer grand-chose
Il va falloir que j’étudie ce que Mme Belloubet propose comme avantages à ceux qui accepteront de rester à bord…
Nicole Belloubet ne semble pas soutenir avec enthousiasme les premières mesures qu’elle doit mettre en place.
« Nicole Belloubet peut être considérée comme très proche de l’islamo gauchisme. »
Elle avait dénoncé les « fariboles sur la restauration de l’autorité ou le port de la blouse ».
Délit de blasphème, laxisme, ironie sur le port de l’uniforme… Nicole Belloubet apparaît comme un choix incohérent.
Ça a drôlement ramé pour sortir les numéros complémentaires du loto gouvernemental.
Une « régression suicidaire » est en marche ! Elle fait partie du logiciel macronien…
Il y a encore quelques décennies, ces déclarations gravissimes dans la bouche de ministres auraient provoqué au mieux leur démission dans la journée, au pire un scandale au long cours.
Faut-il voir dans les propos du ministre de l’inconsistance, de l’inconscience, de la désinvolture, du mépris ?
Les médias ne se sont guère étendus sur cette affaire. Elle est pourtant là pour rappeler que la crise sanitaire n’a pas effacé le danger terroriste.
Depuis le début du confinement, le ministre de la Justice Nicole Belloubet a fait libérer 8.000 détenus (dont 130 radicalisés) pour endiguer la propagation du
À qui la faute ? À ceux qui, depuis des années, ne prennent aucune mesure pour comprendre, analyser, anticiper et résoudre ce problème incontournable.
Elle ne vise pas le Coran mais la Bible, pas l’islamisme mais le christianisme.
Ces politiciens, et bien d’autres que ceux-là, sont indignes que le pays continue de leur confier une mission : c’est l’exact sens du mot « dé-mission ».
Un gilet jaune est poursuivi pour avoir planté un potager sur un rond-point.
Me Frédéric Pichon analyse, pour Boulevard Voltaire, les propos de Nicole Belloubet, garde des Sceaux, sur l’affaire Mila, propos qui ont déclenché un tollé dans
Faut-il considérer que, pour un garde des Sceaux, la constance dans l’erreur représente une qualité ?
En réalité, beaucoup de femmes battues n’hésitent plus à signaler aux autorités les sévices dont elles sont victimes, et les médecins doivent certes les aider, les soutenir, les convaincre… mais pas se transformer en indicateurs de police.
Madame Belloubet se défend mollement ; elle ne nie pas l’existence de cette note, juste son interprétation.
Pas un mot de la maîtrise des fondamentaux, de la culture générale, du développement de l’esprit scientifique…
Les professeurs, les parents et les élèves ne savent pas à quelle sauce ils seront mangés.
On crée des « internats d’excellence » où on laisse mariner les jeunes dans leur rap natal : quel intérêt ?
En deux mois, Belloubet a changé une école qui ne fonctionnait pas en école qui marche ; enfin, c’est elle qui le dit.
Pour Nicole Belloubet, l’État n’a pas de responsabilité dans l’assassinat de Samuel Paty.
On peut avoir des doutes sur l’impact effectif de la mesure. On est dans la politique du cache-misère et de l’instant.
Cette « force mobile scolaire » sera opérationnelle à la rentrée de septembre 2024.
Rien de novateur, mais seulement un tour de passe-passe sémantique pour contenter tout le monde sans changer grand-chose
Il va falloir que j’étudie ce que Mme Belloubet propose comme avantages à ceux qui accepteront de rester à bord…
Nicole Belloubet ne semble pas soutenir avec enthousiasme les premières mesures qu’elle doit mettre en place.
« Nicole Belloubet peut être considérée comme très proche de l’islamo gauchisme. »
Elle avait dénoncé les « fariboles sur la restauration de l’autorité ou le port de la blouse ».
Délit de blasphème, laxisme, ironie sur le port de l’uniforme… Nicole Belloubet apparaît comme un choix incohérent.
Ça a drôlement ramé pour sortir les numéros complémentaires du loto gouvernemental.
Une « régression suicidaire » est en marche ! Elle fait partie du logiciel macronien…
Il y a encore quelques décennies, ces déclarations gravissimes dans la bouche de ministres auraient provoqué au mieux leur démission dans la journée, au pire un scandale au long cours.
Faut-il voir dans les propos du ministre de l’inconsistance, de l’inconscience, de la désinvolture, du mépris ?
Les médias ne se sont guère étendus sur cette affaire. Elle est pourtant là pour rappeler que la crise sanitaire n’a pas effacé le danger terroriste.
Depuis le début du confinement, le ministre de la Justice Nicole Belloubet a fait libérer 8.000 détenus (dont 130 radicalisés) pour endiguer la propagation du
À qui la faute ? À ceux qui, depuis des années, ne prennent aucune mesure pour comprendre, analyser, anticiper et résoudre ce problème incontournable.
Elle ne vise pas le Coran mais la Bible, pas l’islamisme mais le christianisme.
Ces politiciens, et bien d’autres que ceux-là, sont indignes que le pays continue de leur confier une mission : c’est l’exact sens du mot « dé-mission ».
Un gilet jaune est poursuivi pour avoir planté un potager sur un rond-point.
Me Frédéric Pichon analyse, pour Boulevard Voltaire, les propos de Nicole Belloubet, garde des Sceaux, sur l’affaire Mila, propos qui ont déclenché un tollé dans
Faut-il considérer que, pour un garde des Sceaux, la constance dans l’erreur représente une qualité ?
En réalité, beaucoup de femmes battues n’hésitent plus à signaler aux autorités les sévices dont elles sont victimes, et les médecins doivent certes les aider, les soutenir, les convaincre… mais pas se transformer en indicateurs de police.
Madame Belloubet se défend mollement ; elle ne nie pas l’existence de cette note, juste son interprétation.
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