Nigel Farage
Que les amoureux de l’Angleterre se rassurent : par beau temps, on apercevra toujours les falaises des côtes anglaises, passé Boulogne-sur-Mer, à l’approche de Calais.
Boris Johnson n’a jamais été aussi près de réussir son pari.
Les élections anticipées auront lieu jeudi 12 décembre. La campagne sera monstrueuse.
Déjà, on sent l’accélération : c’est Boris Johnson, très probablement, qui sera le futur Premier ministre, réussissant ainsi à gagner la guerre qu’il menait de l’intérieur contre Theresa May depuis son accession au pouvoir.
Environ 35 % des électeurs, par leur bulletin, se révolteraient contre l’attitude de Theresa May, qui a cherché à noyer le poisson du Brexit dans l’eau de la Commission de Bruxelles.
Nigel Farage, par-delà ses apparents « changements de pied », n’a cessé de montrer la cohérence, la justesse et la réussite de sa stratégie, et son grand talent manœuvrier.
C’est un nationalisme lisse, propre sur lui et « fréquentable » que nos deux gentlemen veulent initier.
Que les amoureux de l’Angleterre se rassurent : par beau temps, on apercevra toujours les falaises des côtes anglaises, passé Boulogne-sur-Mer, à l’approche de Calais.
Boris Johnson n’a jamais été aussi près de réussir son pari.
Les élections anticipées auront lieu jeudi 12 décembre. La campagne sera monstrueuse.
Déjà, on sent l’accélération : c’est Boris Johnson, très probablement, qui sera le futur Premier ministre, réussissant ainsi à gagner la guerre qu’il menait de l’intérieur contre Theresa May depuis son accession au pouvoir.
Environ 35 % des électeurs, par leur bulletin, se révolteraient contre l’attitude de Theresa May, qui a cherché à noyer le poisson du Brexit dans l’eau de la Commission de Bruxelles.
Nigel Farage, par-delà ses apparents « changements de pied », n’a cessé de montrer la cohérence, la justesse et la réussite de sa stratégie, et son grand talent manœuvrier.
C’est un nationalisme lisse, propre sur lui et « fréquentable » que nos deux gentlemen veulent initier.