Notre-Dame de Paris
Le mystère demeure sur le plan de réaménagement intérieur qui sera présenté, ce jeudi 9 décembre, à la Commission nationale du patrimoine et de l’architecture qui donnera un avis.
Tous ces termes lus laissent présager d’un second sacrilège.
Mais à quoi bon célébrer la résurrection d’une cathédrale si ce n’est seulement comme « quelque chose qui appartient à notre culture, à notre histoire littéraire, architecturale, religieuse et laïque, à l’imaginaire de France » ?
Après le débat sur la flèche, finalement tranché par Emmanuel Macron reconnaissant le consensus national autour d’une restauration à l’identique, l’archevêché de Paris évoque l’hypothèse d’intégrer des vitraux d’art contemporain et du mobilier du XXIe siècle.
Cette magnifique cathédrale, si elle appartient à l’héritage des catholiques en France, si elle est le navire amiral de notre Église de France, il n’en demeure pas moins que, dans les faits, elle appartient à la nation qui en donne l’usage exclusif à l’Église catholique.
Un livre à (re)lire à l’heure où Notre-Dame de Paris pleure le général Georgelin qui a tant œuvré pour elle.
Le général Georgelin, qui dirige l’établissement public, touche un revenu mensuel de 6.000 euros. Le tout réglé grâce à l’argent des souscriptions.
Et si l’on convenait que ce renoncement était le point final des gesticulations contemporaines en tous genres, et donc le point zéro de la reconstruction… du pays ?
Que voulez-vous, on ne se refait pas, on est héritier des bâtisseurs de cathédrales ou on ne l’est pas.
Pour l’historien Michel Pastoureau, « une solution de moindre mal serait de transformer la cathédrale en musée… »
Le soir de l’incendie, tout le monde disait « On va mettre vingt ans avant de reconstruire ». Il fallait arrêter cela.
Il s’agit de sauver le cœur battant de la France : la maîtrise de Notre-Dame de Paris.
Je voudrais dire à mon ancien de Saint-Cyr, le général Georgelin, désigné comme « nouveau grand architecte de la cathédrale de Paris », de résumer son vaste chantier en cinq mots : spiritualité, travail, tradition, conscience, patriotisme.
On compte sur le général Georgelin pour qu’il ne vende pas son âme au progressisme laïcard, ni notre cathédrale aux marchands du temple.
Le mystère demeure sur le plan de réaménagement intérieur qui sera présenté, ce jeudi 9 décembre, à la Commission nationale du patrimoine et de l’architecture qui donnera un avis.
Tous ces termes lus laissent présager d’un second sacrilège.
Mais à quoi bon célébrer la résurrection d’une cathédrale si ce n’est seulement comme « quelque chose qui appartient à notre culture, à notre histoire littéraire, architecturale, religieuse et laïque, à l’imaginaire de France » ?
Après le débat sur la flèche, finalement tranché par Emmanuel Macron reconnaissant le consensus national autour d’une restauration à l’identique, l’archevêché de Paris évoque l’hypothèse d’intégrer des vitraux d’art contemporain et du mobilier du XXIe siècle.
Cette magnifique cathédrale, si elle appartient à l’héritage des catholiques en France, si elle est le navire amiral de notre Église de France, il n’en demeure pas moins que, dans les faits, elle appartient à la nation qui en donne l’usage exclusif à l’Église catholique.
Un livre à (re)lire à l’heure où Notre-Dame de Paris pleure le général Georgelin qui a tant œuvré pour elle.
Le général Georgelin, qui dirige l’établissement public, touche un revenu mensuel de 6.000 euros. Le tout réglé grâce à l’argent des souscriptions.
Et si l’on convenait que ce renoncement était le point final des gesticulations contemporaines en tous genres, et donc le point zéro de la reconstruction… du pays ?
Que voulez-vous, on ne se refait pas, on est héritier des bâtisseurs de cathédrales ou on ne l’est pas.
Pour l’historien Michel Pastoureau, « une solution de moindre mal serait de transformer la cathédrale en musée… »
Le soir de l’incendie, tout le monde disait « On va mettre vingt ans avant de reconstruire ». Il fallait arrêter cela.
Il s’agit de sauver le cœur battant de la France : la maîtrise de Notre-Dame de Paris.
Je voudrais dire à mon ancien de Saint-Cyr, le général Georgelin, désigné comme « nouveau grand architecte de la cathédrale de Paris », de résumer son vaste chantier en cinq mots : spiritualité, travail, tradition, conscience, patriotisme.
On compte sur le général Georgelin pour qu’il ne vende pas son âme au progressisme laïcard, ni notre cathédrale aux marchands du temple.
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