Nouvelle Calédonie
La gauche métropolitaine et les leaders indépendantistes prônent la primauté du droit du sang sur le droit du sol.
Les premières analyses chiffrent le coût des émeutes à 2,2 milliards d’euros.
Une énième exaction, qui frappe l’île des Pins.
Un incendie qui intervient une semaine après la mort d’un multirécidiviste de la tribu de Saint-Louis.
Loin de s’être calmée après le passage d’Emmanuel Macron, l’île reste dans un état de violente effervescence.
« Les insurgés continuent d’agir exactement comme avant le passage de monsieur Macron : barrages filtrants, feux… »
Quoi qu’il en soit, pas d’effet « Waouh » après cette équipée calédonienne du Président.
Il faut arrêter de parler de racisme anti-Blanc.
L’application chinoise est inaccessible sur l’archipel depuis le 15 mai dernier.
On imagine qu’il se gardera de paroles définitives du genre « Je vous ai compris ».
Un indicateur de plus de la faillite industrielle européenne face au rouleau compresseur chinois devenu inarrêtable
Les choses sérieuses commencent, pour Gabriel Attal.
Les gouvernements de droite et de gauche se sont évertués à transformer la France en mosaïque multiculturelle.
En 2018. A une écrasante majorité (81,01 %), l’indépendance fut rejeté par le corps électoral.
« Je suis en désaccord complet avec cette proposition », nous dit Marion Maréchal.
Le gouvernement découvre que la Nouvelle-Calédonie est depuis longtemps en proie à des tentatives de déstabilisation.
Plusieurs lectures de la question calédonienne sont possibles, mais l’ extrême gauche s’en tient à la « colonisation ».
« Il y a une chasse aux Blancs, c’est clairement cela ! On se sent regardé pour sa couleur de peau ».
Ce mercredi 15 mai, Gérald Darmanin a annoncé la mise en place de l’état d’urgence en Nouvelle-Calédonie.
Mardi à l’Assemblée, le député communiste André Chassaigne contribuait à brouiller encore un peu plus les cartes.
Emmanuel Macron a décrété, ce mercredi 15 mai, l’état d’urgence.
La Nouvelle-Calédonie est en proie à une véritable guerre civile, depuis quelques jours.
Les erreurs et les faiblesses de nos gouvernements successifs n’y sont pas pour rien.
Il n’est pas étonnant qu’un Mélenchon approuve l’attitude des indépendantistes et refuse toute légitimité au scrutin.
Le FLNKS – Front de libération nationale kanak et socialiste – a appelé à la « non-participation » en raison de la crise sanitaire et réclamé le report du vote en 2022.
La gauche métropolitaine et les leaders indépendantistes prônent la primauté du droit du sang sur le droit du sol.
Les premières analyses chiffrent le coût des émeutes à 2,2 milliards d’euros.
Une énième exaction, qui frappe l’île des Pins.
Un incendie qui intervient une semaine après la mort d’un multirécidiviste de la tribu de Saint-Louis.
Loin de s’être calmée après le passage d’Emmanuel Macron, l’île reste dans un état de violente effervescence.
« Les insurgés continuent d’agir exactement comme avant le passage de monsieur Macron : barrages filtrants, feux… »
Quoi qu’il en soit, pas d’effet « Waouh » après cette équipée calédonienne du Président.
Il faut arrêter de parler de racisme anti-Blanc.
L’application chinoise est inaccessible sur l’archipel depuis le 15 mai dernier.
On imagine qu’il se gardera de paroles définitives du genre « Je vous ai compris ».
Un indicateur de plus de la faillite industrielle européenne face au rouleau compresseur chinois devenu inarrêtable
Les choses sérieuses commencent, pour Gabriel Attal.
Les gouvernements de droite et de gauche se sont évertués à transformer la France en mosaïque multiculturelle.
En 2018. A une écrasante majorité (81,01 %), l’indépendance fut rejeté par le corps électoral.
« Je suis en désaccord complet avec cette proposition », nous dit Marion Maréchal.
Le gouvernement découvre que la Nouvelle-Calédonie est depuis longtemps en proie à des tentatives de déstabilisation.
Plusieurs lectures de la question calédonienne sont possibles, mais l’ extrême gauche s’en tient à la « colonisation ».
« Il y a une chasse aux Blancs, c’est clairement cela ! On se sent regardé pour sa couleur de peau ».
Ce mercredi 15 mai, Gérald Darmanin a annoncé la mise en place de l’état d’urgence en Nouvelle-Calédonie.
Mardi à l’Assemblée, le député communiste André Chassaigne contribuait à brouiller encore un peu plus les cartes.
Emmanuel Macron a décrété, ce mercredi 15 mai, l’état d’urgence.
La Nouvelle-Calédonie est en proie à une véritable guerre civile, depuis quelques jours.
Les erreurs et les faiblesses de nos gouvernements successifs n’y sont pas pour rien.
Il n’est pas étonnant qu’un Mélenchon approuve l’attitude des indépendantistes et refuse toute légitimité au scrutin.
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